Je viens vous préparer à cet événement : L’illumination des consciences
Edité par deux éditeurs catholiques et distribué par plusieurs librairies religieuses
Préfacé par deux prêtres du Canada
Prologue
« Heureux êtes-vous, mes enfants, si vous arrivez à rester éveillés dans la prière en cette nuit si profonde de la grande apostasie. Vous serez dignes de paraître debout devant le Fils de l’homme quand vous allez entrer dans ce mouvement de la Miséricorde de Dieu, l’illumination des consciences. »
Marie, Reine de la paix
26 novembre 2011
Préfaces
I Chers lecteurs et lectrices,
Après avoir lu ces courts messages d’amour et de tendresse, je constate qu’il n’y a pas d’affirmation contraire à la
foi catholique et que la finalité de ces inspirations nous aident à nous tourner vers Dieu.
Le chemin que le Seigneur nous propose est un chemin d’amour et d’abandon à la Volonté du Père, en passant par
la Vierge Marie qui nous fait comprendre la grandeur et la valeur de la souffrance offerte à Jésus qui nous conduit à
la croix, source de joie et d’espérance qui est le vrai chemin de conversion.
C’est aussi une constante invitation à répondre aux appels continuels de Jésus et de notre bonne Maman du Ciel, Maman
Marie, que sont les sacrements, la prière, l’adoration, le jeûne et la charité.
J’ai trouvé qu’à chaque invitation à la conversion, le Ciel nous bénit ; profitions de cette bénédiction trinitaire et mariale
pour y puiser les grâces dont nous avons besoin.
Père J. Rubén Riveros, prêtre
St-Étienne de Bolton, QC
II En lisant ce volume, on pourrait se dire : pas encore une personne qui reçoit des messages du Ciel.
Eh oui ! Dieu, dans sa bonté et sa miséricorde, ne cesse de se choisir des témoins pour réveiller ses enfants qui se sont
endormis et qui ne savent plus pourquoi ils sont sur la terre.
La situation ressemble au temps de Noé : on fêtait, on mangeait, on buvait sans se préoccuper d’écouter l’appel de Dieu
à la conversion.
Beaucoup de gens croient que l’Église vit ses derniers moments. Tout semble s’écrouler, mais le Seigneur a promis
d’être avec elle jusqu’à la fin des temps. Je le crois profondément ; Il le fera car Il est toujours fidèle à ses promesses.
L’Église doit passer par son Vendredi saint afin de vivre le dimanche de Pâques.
Ces messages sont remplis de fraîcheur et ne cessent d’inviter à la prière, à la conversion, aux sacrements du
pardon et de l’Eucharistie. En effet, l’amour s’est refroidi ; un peu partout dans le monde, nous voyons la violence se
répandre. Dieu souffre de voir ainsi ses enfants s’entredéchirer. Le remède à cette situation : lever les yeux vers
Dieu, demander la Lumière de son Esprit. En recevant cette Lumière, comme saint Paul, des écailles tomberont de nos
yeux pour que nous puissions mieux voir et mieux vivre.
Rappelons-nous la grande ville de Ninive qui s’est convertie suite à la proclamation de Jonas. La miséricorde de Dieu
est toujours à l’oeuvre. Des Jonas sont là un peu partout dans le monde. Ils parlent avec force, mais nous sommes sourds,
trop préoccupés par des babioles. La justice de Dieu va nous faire découvrir ce qui est essentiel : préparer nos coeurs à la
Grande Rencontre.
Des événements bouleversants sont annoncés, mais le Seigneur nous dit : « N’ayez pas peur. »
Ces événements arriveront pour le bien de tous. L’homme a besoin de vivre des épreuves pour lever les yeux vers Dieu
et crier vers lui.
Pour lire ce livre, je conseille de prendre un message par jour, le méditer, le prier et vous demander comment vous
pour riez changer votre vie pour qu’elle soit conforme à l’Évangile.
Je bénis chaque lecteur, lectrice. Je demande à Dieu de vous envahir de son Esprit pour que vous goûtiez sa paix et
que vous la répandiez autour de vous.
Guy Giroux, prêtre
Paroisse St-Philippe, Windsor, QC
11
Introduction
Dialogue entre Marie, Jésus et Sulema
Marie : Paix à toi, ma fille. Pourquoi ce chagrin, ce malaise que tu portes dans ton petit coeur ? Pourquoi ? Tu ne
veux pas continuer à écrire ? Ne sais-tu pas, mon enfant, que c’est à cause de ta nullité que tu as été choisie ? Sans rien com -
prendre, tu as dit oui, tu as prononcé ton fiat sans savoir où cela t’amènera, tu as sauté dans les bras de mon divin Fils
dans un abandon total.
Ouvre le livre des 24 heures de la Passion du Christ (éd. Résiac, 1999) et regarde ce que tu vas y trouver.
Sulema : J’ai ouvert le livre et j’ai lu en fin de page 5 que Luisa Piccarreta n’a fait que sa première année de scolarité ;
que ses écrits étaient bourrés de fautes bien que les termes appropriés étaient en parfaite correspondance avec ses révé -
lations inspirées par Notre-Seigneur.
Marie : Elle est une grande sainte et pourtant ses écrits ont touché seulement un certain nombre d’enfants. On ne veut
pas accueillir ses miels ruisselants. Regarde autour de toi, on suscite d’un peu partout des porte-paroles pour aller rejoindre
différents groupes d’enfants, car vous ne pouvez pas plaire à tous les coeurs.
Ma fille, on essaiera de trouver des failles, on disséquera les dons de prophéties et de voyance qui sont déposés en toi,
laisse-les faire, garde ta paix et n’oublie jamais que tu es sous notre protection.
Voici venir mon Fils : Jésus : Et c’est pour cela qu’il y a tant de messagers, car chacun d’eux est destiné à aller rejoindre un groupe de per -sonnes. Regarde-Moi, Je n’étais pas accepté par tout le peuple ; seuls les petits, les humbles m’ont accueilli, moi, Jésus, le Fils
de Dieu, la Parole de Dieu.
Pourquoi croire qu’un messager peut aller toucher tous les coeurs ? Non, mes enfants, vous devez me suivre. Moi qui
suis pourtant la Tête de l’Église, j’ai aussi été rejeté, méprisé et on me traitait de blasphémateur alors que je prêchais la vérité.
Regarde quand j’ai choisis les douze, je n’ai pas choisi des docteurs de la loi, ni des scribes ; J’ai choisi des pêcheurs,
des collecteurs d’impôts, ceux qui n’étaient rien aux yeux du monde et par ma grâce, ils sont devenus les Apôtres, ceux qui
jugeront les douze tribus d’Israël.
Je t’ai choisie comme tu es, par ta nullité, la grâce passe. Par toi, j’irai rejoindre les coeurs endurcis ; par toi, je ferai de
grandes choses ! Je t’ai choisie parce que je n’ai pas trouvé une autre plus petite que toi. Tu as su t’oublier toi-même en
renonçant à tout pour moi ; tu aimes rester cachée dans les bras de ma Très Sainte Mère car sans Moi tu n’es rien. Oui, je
suis tout en toi. Aurais-tu peur de me suivre tous les jours ?
Sulema : Non, mon Seigneur et mon Dieu.
Jésus : Les critiques, vous les aurez toujours. Lisez les Évangiles pour mieux me comprendre. Chose certaine, mon
petit coeur d’amour, si tu étais quelqu’un qui maîtrise bien la langue française, je ne t’aurais pas choisie. Alors, reste en
paix, continue d’écrire, car ce que tu as écrit jusqu’à aujourd’hui n’est rien à comparer à ce que tu écriras. Reste
dans les bras de ma Mère, fais tout ce qu’elle te dira, car rien ne saura arrêter cette oeuvre que le Père a confiée à sa fille
bien-aimée, Marie, Mère de Dieu. Vous serez étonnés de tout ce que je ferai et ce que je suis en train de faire par ce volume.
Continue à écrire, nous devons rattraper le temps perdu.
Le Père respecte votre liberté et votre volonté. C’est à vous de faire le bon choix. Moi, j’ai fait mon choix. Un peu
partout dans le monde j’ai choisi mes prophètes, mes messagers, mes porte-paroles et pour cette oeuvre, c’est vous
que j’ai choisis de toute éternité pour être auprès de mon instrument. Merci à vous tous mes collaborateurs que j’aime
tant. Merci de votre désir de la protéger et de la soutenir. Tout ce que vous faites pour elle, c’est à Moi que vous le faites. Je
vous enveloppe de ma bénédiction toute spéciale, je dépose sur chacun de vos fronts, Mon baiser de Paix.
Au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Jésus, votre crucifié d’amour
2010
Marie, Reine de la paix 30 novembre 2010
Première semaine de l’Avent
1 – On pense à tout, sauf au suprême Sacrifice de Jésus-Amour, prisonnier dans une petite Hostie.
Merci, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur,
pour la Gloire de Dieu son Père. Oui, mon enfant, le moment est à l’adoration, à la méditation des Saintes Écritures qui nous parlent de la Passion de mon Fils, mon Dieu et mon Seigneur.
Dans les temps où vous vivez, mon enfant, on parle de tout, sauf du suprême Sacrifice, le crucifiement de mon divin Jésus-Amour. On a oublié ses souffrances atroces, tout ce qu’il a enduré pour vous sauver, sa douloureuse agonie au Jardin des Oliviers. On ne pense plus à tout cela. Qui est là pour Le remercier ? Qui pense à Lui dire : « Merci Jésus de t’être fait homme par amour pour moi, pour tout le genre humain ? »
Lui, de condition divine, a tout quitté : sa Gloire auprès du Père, pour se faire l’un de nous. On a oublié qu’il est vrai Dieu et vrai homme. De plus en plus, on se sent gêné de parler de Lui, de penser à Lui, l’auteur de la Vie, l’auteur de tout le créé visible et invisible, Lui qui n’a rien épargné, qui vous a tout donné jusqu’à la dernière goutte de son Précieux Sang…
Remerciez-le souvent, mes enfants, pour tant d’amour. Comme il l’a dit (Jn 15, 13) : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime ! » Il est allé jusqu’à devenir prisonnier dans une petite hostie. Lui, l’infiniment grand est devenu l’infiniment petit : sottise aux yeux des hommes, merveille aux yeux des anges !
Quand vous allez le recevoir, faites-le avec un grand respect, une grande dévotion, une grande reconnaissance, une grande humilité et surtout un grand amour. Qu’il trouve l’amour dans vos coeurs. Réchauffez-le avec votre amour.
Il meurt d’amour pour ses enfants. Suivez-le tous les jours et ne craignez rien, Il est là votre Jésus-Amour, aimez-le, aimez-le, mes enfants.
Merci de consoler la Vie de ma vie, la Lumière de mes yeux, le Coeur de mon coeur, mon Dieu mon Seigneur.
Merci, mon enfant, d’écouter mon Coeur de Mère si affligé par tant et tant d’enfants qui ne pensent plus que Dieu existe, qu’il y a un Dieu qui les a créés et qui les attend. Soyez bénis, mes enfants, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 4 décembre 2010
Premier samedi du mois
2 – S’exercer à la vertu de patience ; la paix et la sérénité suivront.
Signe-toi et écris, mon enfant, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de
Dieu son Père.
Il faut, mon enfant, exercer la vertu de la patience envers soi-même et surtout envers les autres. Tu sais, pour arriver aux
autres il faut se vaincre soi-même pour arriver à l’oubli de soi. On peut y arriver autrement, mais c’est plus difficile.
Tous les jours, je dirais même à chaque instant, on doit se pratiquer sans se décourager. Mes enfants de lumière, comme
vous vous êtes exercés dans la foi et dans la confiance, vous devez aussi le faire avec la patience. Et vous verrez ce qui se
produira en chacun de vous : vous vivrez une paix plus intense et la sérénité s’installera peu à peu dans votre coeur, grâce à
votre persévérance. Merci, mes enfants, de continuer à prier à mes intentions.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 6 décembre 2010
3 – Méditons sur la foi.
Chantez comme les enfants dans la fournaise. Béni soit mon divin Fils Jésus Christ le Seigneur. Signe toi et écris, mon enfant, couverte de son Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu son Père.
Mon enfant, méditons sur la foi d’Abraham. Il a tout quitté pour suivre son Seigneur et son Dieu. Il est allé jusqu’à offrir
en sacrifice son fils unique, car il était sûr que le Seigneur allait ressusciter Isaac pour accomplir sa promesse de lui
donner une grande descendance plus nombreuse que les étoiles dans le ciel, plus nombreuse que les grains de sable de la mer
(c.f Gn). C’est-à-dire que sa foi était absolue et inébranlable, une foi sans défaillance et totale en Dieu son Père. Il n’a
pas eu d’arrière-pensée, encore moins de doute, il écoutait la voix du Très-Haut et à l’instant même il accomplissait ce qu’il
avait entendu.
Pour le mettre à l’épreuve, le Seigneur lui a demandé le sacrifice suprême de son fils et, merveille des merveilles, aussitôt
dit aussitôt fait, jusqu’à la venue de l’ange qui l’a arrêté. Quelle foi ! C’est pour cela qu’on l’a appelé le père de la foi.
Tout cela pour vous faire comprendre que le Seigneur tient ses promesses, qu’il est fidèle, et qu’il soutient les accablés. Donc, n’ayez pas peur, ne vous laissez pas effrayer. Soyez forts, prenez courage, car il est le Dieu de l’impossible.
Vous le savez très bien, il vous a manifesté sa Gloire, et cela à plusieurs reprises. Réfléchissez-y mes enfants…
Alors, persévérez et chantez comme les enfants dans la fournaise (Da 3, 51), ils ne se sont pas apitoyés sur eux mêmes,
ils avaient foi en Dieu, leur Père. Ils savaient que jamais Il n’était pour les abandonner. Enfin mes enfants, que
votre foi soit plus ferme et plus forte. Continuez à prier, à chanter, à rendre grâce, à croire et surtout à espérer dans la
paix que seul le Seigneur peut vous donner.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 10 décembre 2010
4 – Que vos coeurs soient très reconnaissants et pleins d’amour pour accueillir le Nouveau-Né.
Que la paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le
Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père.
Oui, mon enfant, que la paix soit avec vous tous, en ce beau temps de l’Avent qui prépare les coeurs de bonne volonté
à accueillir Dieu fait homme, l’Enfant de la crèche, le Créateur de tout l’univers, cet Enfant d’amour qui vous a aimés jus qu’à
la folie de la croix. Que vos coeurs soient très reconnaissants.
Remerciez-Le en tout et partout. Mes enfants, ce temps est très important pour préparer vos coeurs à l’arrivée de ce
Nouveau-Né qui a tout changé sur la face de la terre. Préparez-vous pour qu’il puisse trouver un endroit chaud,
accueillant et plein d’amour. Que vos coeurs soient des berceaux où Il puisse se reposer, en ce temps où l’on pense seulement
aux cadeaux, aux achats, au réveillon… en excluant totalement le vrai sens de Noël, la naissance du Sauveur du monde.
Mon Coeur Immaculé saigne de voir tant et tant d’indifférence chez la grande majorité de nos enfants, l’oubli presque
total de la naissance du Fils de Dieu, Jésus l’Emmanuel.
Soyez bénis de penser à lui, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Mère des affligés 14 décembre 2010
5 – Quand un pauvre appelle, le Seigneur entend. Croyez et vous ne serez pas déçus.
La paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le
Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père.
Ne vous découragez pas, mes enfants. Soyez forts, tenez bon, car rien n’est impossible au Dieu Trinitaire ; Il a tous vos
soucis en main, faites-Lui confiance.
Quand un pauvre appelle, le Seigneur entend pour de vrai mes enfants (Ps 33). Plus que jamais, croyez et vous ne
serez pas déçus, car le Seigneur est proche de tous ceux qui espèrent en sa Divine Providence, proche de ceux qui se
confient à Lui, le Père trois fois saint. Continuez à prier, à croire et à espérer.
Moi, votre céleste Maman, l’Immaculée Conception, je me tiens près de vous, avec vous. Jamais je ne vous abandonnerai, croyez-moi.
Soyez bénis de continuer à prier à mes intentions au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen,
alléluia.
Jésus-Eucharistie 15 décembre 2010
Le monde s’en va vers un chaos économique. Apprendre à vivre avec l’essentiel, savoir partager.
Ne craignez pas, mes enfants. Signe-toi et écris, couverte de mon Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu mon Père. La
paix soit avec toi, mon enfant. Pourquoi toute cette agitation ? Pourquoi cette angoisse ? Pourquoi cette insécurité ? Où est votre confiance ? Je sais, moi, ce qu’il y a de mieux pour vous tous, mes enfants. Je connais, Moi, le moment précis de ce qui doit survenir. Il est
écrit : il y a un temps pour chaque chose, et chaque chose en son temps (Qo 3, 1). Alors, pourquoi ? Avez-vous confiance
en moi votre Jésus, votre Seigneur et votre Dieu ? Je vous ai dit : rien de mal ne saurait vous arriver. Croyez-le. Mes enfants, vous devez comprendre et accepter vos limites. Je ne peux pas vous dire que tout va changer, non mes enfants. Le monde s’en va vers un très grand chaos économique. Il va falloir apprendre à vivre uniquement avec l’essentiel, savoir partager. Ce n’est pas parce que Dieu veut
qu’il en soit ainsi, c’est parce que l’homme a tout détruit ! Et là, on met la faute sur l’un, on accuse l’autre, personne ne
prend sa responsabilité. On dit des paroles inutiles, pleines de poison pour tuer les âmes, pour tuer les esprits fragiles qui
se laissent empoisonner par le démon qui s’est bien déguisé.
C’est pour cela que je vous dis : soyez vigilants, faites attention, ne vous laissez pas entraîner par les faux courants de
pensée du monde.
Restez en prière, accrochez-vous aux sacrements, venez vous réfugier dans le Coeur Immaculé de ma très Sainte Mère.
Et vous, mes tout-petits, n’ayez pas peur, car elle vous garde sous son manteau de protection. Soyez humbles de coeurs,
continuez à prier à ses intentions. Donnez-lui la main. Ce faisant, vous serez protégés de tout le mal qui est à vos portes.
Gardez courage, soyez forts, soyez fidèles. Je vous porte tous dans mon Sacré-Coeur ; n’ayez pas peur, votre délivrance est
proche (Lc 21, 28) ; continuez à prier, à adorer et à croire.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen alléluia.
L’Enfant-Dieu 25 décembre 2010
Le Jour de Noël, le matin
7 – Je veux partager avec vous ma joie, ma paix et mon grand amour.
Merci, mon enfant, signe-toi, couverte de mon Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu mon Père.
Merci pour vos souhaits, pour vos chants et surtout pour votre amour. Je veux partager avec vous ma joie, ma paix et
surtout le grand amour que J’ai pour vous tous. Ne craignez pas, car Je suis avec vous (cf. Mt 28, 20).
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 25 décembre 2010
Le soir
Réjouissez-vous avec moi et soyez très reconnaissants. Mon enfant, que la paix soit avec toi et avec tous les hommes de bonne volonté (cf. Lc 2), car aujourd’hui un Sauveur vous est né : le divin Enfant, l’Enfant Dieu, le Fils unique de Dieu le Père, le Saint des saints.
Réjouissez-vous ! Que sa joie soit dans vos coeurs et que sa paix règne aussi dans vos coeurs. Soyez bénis, soyez
humbles à l’exemple de Dieu qui s’est manifesté à tous les peuples de la terre, en Enfant nouveau-né qui a choisi une
étable pour palais, une crèche pour berceau (Lc 2, 7) ! Soyez très reconnaissants pour tant d’amour et soyez bénis !
Marie, Reine de la paix 28 décembre 2010
8 – S’abandonner comme un enfant, avec confiance. Laisser agir à sa guise le divin Enfant.
Merci, mon enfant, signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la
Gloire de Dieu son Père, Seigneur Sabaoth. Oui, mes enfants, vous devez vous exercer à avoir plus de confiance en Celui qui vous a tout donné, à croire à cent pour cent à sa puissance, à espérer tout, malgré toute apparence, à vous laisser conduire par sa main toute-puissante, à croire en sa Parole, car Il est la Parole du Père trois fois saint.
Je vous en prie, cessez de blesser son Sacré-Coeur avec toutes vos pensées négatives, vos peurs, vos craintes, vos
doutes. Une fois pour toutes, dites-Lui : « Oui, mon Seigneur et mon Dieu, je m’abandonne entre tes mains, fais de moi ce
qu’Il te plaira » comme un enfant qui sait s’abandonner entre les bras de sa mère, entre les bras de son père, car il sent la
protection, la sécurité, la confiance de ses parents.
Ce n’est pas trop vous demander, puisque je connais la grandeur de votre amour pour mon divin Enfant, Jésus-
Amour, faites-Lui confiance et laissez-Le agir à sa guise.
Continuez à prier à nos intentions et soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen,
alléluia.
Jésus de Nazareth, votre Roi d’amour 30 décembre 2010
9 – L’apostasie est à son comble : le temps de la miséricorde s’achève.
La paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte de mon Précieux Sang pour la Gloire de Dieu mon Père.
Mon enfant, mon Coeur Sacré est triste jusqu’à la mort de voir une telle indifférence de la part de mes enfants. Plus que
jamais, on rejette tout ce qui est sacré. On ne veut rien savoir du Père trois fois saint, du Fils qui a donné Sa vie pour vous
racheter, du Saint-Esprit qui vient plus que jamais vous partager tous Ses dons et hélas, presque personne ne veut recevoir
ces dons de Dieu.
L’apostasie est à son comble. On a laissé toute la place au monde, à la chair et au démon. Voilà ce qui occupe la
première place chez les enfants de cette génération qui s’en vont directement à leur perdition, à leur destruction.
Ma très Sainte Mère et Moi avons réussi à retenir encore un peu les bras de la Justice divine, mais… ce ne sera plus
pour longtemps : vous le constatez de plus en plus ici et là sur la Terre.
Priez, priez, priez, mes enfants, car vous ne savez pas ce qui vous attend dans un avenir proche. Soyez certains de notre
protection. On est à préparer un autre complot contre mon fils Benoît XVI. Priez beaucoup pour lui, pour qu’il ait la force
nécessaire pour tenir bon.
Mon Coeur est si triste pour cette génération qui est la pire de toutes ! La dépravation a dépassé toutes les limites,
l’immoralité a pris toute la place. Il n’y a plus de respect pour Dieu ni pour personne. Mes enfants sont devenus pires que
les animaux. Le tout petit reste est devenu encore plus petit, pour que s’accomplisse ma Parole : « Quand le Fils de l’homme
reviendra, trouvera-t-il la foi ?» (Lc 18, 7)
Continuez, mes enfants, à demander la grâce de la persévérance finale pour tenir jusqu’au bout du combat, car
votre Jésus-Amour est sur son chemin de Retour pour vaincre le monde, la chair et le démon.
Préparez vos coeurs à cette rencontre avec votre Dieu et votre Seigneur. Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et
au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 30 décembre 2010
10 – Consolez le Coeur de mon divin Enfant en priant pour le retour au bercail des brebis égarées.
Console le Coeur si peu aimé de mon divin Fils Jésus Christ. Signe-toi et écris, mon enfant, couverte de son Précieux
Sang, pour la Gloire de Dieu son Père.
Merci, mes enfants, de consoler le Sacré-Coeur de mon divin Enfant. Si vous saviez comme Il souffre de voir à quel
point son sacrifice a été en vain pour tant de nos enfants, spécialement pour ceux qui, après avoir été des priants, ont
renoncé à la Lumière pour accueillir les ténèbres du monde, pour suivre l’instinct de la chair, pour suivre le malin qui vous
connaît. Il reconnaît ceux qui aiment le péché, il sait que le nombre de damnés progresse d’heure en heure ; il sait aussi
que Dieu Tout-Puissant respecte votre liberté.
C’est pourquoi l’on vous demande des prières d’intercession pour essayer d’en sauver quelques-uns avant qu’il ne
soit trop tard. Mais le temps de la miséricorde achève, mes enfants. Il va falloir que la Justice divine sanctionne cette
génération qui a perdu le sens du sacré.
Priez, priez, priez, mes enfants, pour que vos frères et vos soeurs accueillent les grâces du repentir et reviennent au
bercail avant que la porte ne se ferme et qu’il ne soit trop tard.
Le temps presse mes enfants, je dirais même, qu’il n’y a plus de temps.
Merci de vouloir toujours faire la sainte Volonté du Très-Haut. Merci de votre oui d’amour. Soyez bénis au nom
du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 31 décembre 2010
11 – Beaucoup oublient de dire merci au Père et de Lui consacrer la nouvelle année.
Loué soit à tout jamais mon divin Enfant, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père. Signe-toi, mon
enfant, couverte de son Précieux Sang, et écris cette manne céleste.
Voilà, vous êtes rendus au dernier jour de cette année 2010. Dans quelques heures débutera la nouvelle année. Que
votre coeur et votre esprit soient dans le recueillement, unis à votre Dieu, votre Seigneur, votre Père. Remerciez-Le pour
tous les bienfaits reçus durant cette année, pour tant de grâces, de grandes faveurs, pour tant d’amour.
Si vous saviez, mes enfants, à quel point on a oublié de remercier Dieu le Père. Vous devriez même le remercier pour
l’air que vous respirez, pour le souffle de vie que vous donne l’Esprit Saint, pour le sang précieux qui circule dans vos
veines, car votre corps est devenu le temple du Saint-Esprit. Vous devez le protéger, prendre soin de ce corps sacré qui ne
vous appartient pas, car votre corps est la demeure du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Hélas ! combien d’enfants ont profané et continuent de profaner, de saccager ce corps qu’ils ont reçu ; il est devenu la
cause de votre perdition et de votre damnation, sottise humaine.
Bénissez le Très-Haut jour et nuit, bénissez-le pour le don de la vie, pour la paix qui habite dans vos coeurs, pour la joie
que seul Dieu le Fils peut vous donner. Bénissez-le pour sa sainte protection. Consacrez-lui votre vie, votre esprit, tout
votre être. Continuez à l’aimer davantage pour que vous arriviez à aimer comme il veut vous l’apprendre, pour que
vous deveniez ce canal d’amour, de grâce, d’eau vive pour consoler tous ceux qui seront autour de vous. (cf. Jn 4, 10)
Je vous aime dans l’Amour du Christ. Soyez bénis, mes enfants, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-
Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 1er janvier 2011
Premier samedi du mois
12 – Ce sera une année très difficile. Entrez dans les Coeurs unis de Jésus et de Marie pour être à l’abri de tout mal.
En ce premier jour de la nouvelle année, que la paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux
Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père.
Oui, mon enfant, que le Seigneur vous protège et vous garde, qu’il se penche sur vous tous pour vous envelopper de
sa bénédiction paternelle en ce début de l’année 2011. Soyez bénis de croire en Sa Parole, son Fils unique notre Seigneur,
qui a pris chair dans mon sein virginal pour accomplir la rédemption du genre humain, afin de rétablir cette relation
filiale entre le Créateur et ses créatures. Merci d’aimer mon Enfant-Dieu, l’Âme de mon âme, la Vie de ma vie.
Regardez la grandeur du Très-Haut : il a choisi que l’année commence avec la journée de la semaine dédiée à mon Coeur
Immaculé « le premier samedi du mois », cette dévotion si chère à mon Coeur. Et, en plus, c’est la fête de Marie, Mère
de Dieu. Comme tu le vois, mon enfant, il y a un sens à tout cela. Une année mariale commence pour toi et pour tous mes
enfants de bonne volonté : ceux qui ont dit non au mal et qui ont dit oui au bien, oui à l’Amour, oui au Père.
Cette année, mon enfant, sera une année très, très difficile, une année hors de l’ordinaire, une année sans pareille,
unique en tous les sens ; tu le verras en temps et lieu. Une année où vous devrez vous approcher plus que jamais du
Sacré-Coeur de Jésus pour qu’il vous conduise au Père Tout-Puissant, et où vous devrez vous accrocher à moi, l’Immaculée
Conception, pour être à l’abri de toutes les attaques de l’ennemi, pour être protégés de tant de désastres naturels qui vont
s’intensifier d’une façon extraordinaire dans les mois à venir.
Vous devrez entrer dans les Coeurs unis de Jésus et de Marie pour être préservés de tout mal ; ce sera la nouvelle
Arche, votre bateau de sauvetage, votre lieu sûr où vous pourrez vous reposer pour refaire vos forces, pour suivre nos directives.
Je le répète, l’année qui débute sera une année dévastatrice, comme mon doux Jésus t’a laissé entrevoir avant-hier.
Priez, priez, priez mes enfants, car l’heure est très grave. Adorez, priez, adorez, priez tandis qu’il y a encore du temps et
soyez bénis. Remerciez le Très-Haut pour tant de bienfaits, je vous enveloppe de mon manteau de protection et vous bénis
au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 3 janvier 2011
13 – Jésus est rejeté comme à sa première venue. Mais « on ne se moque pas de Dieu ! »
Loué sois mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père. Signe-toi et écris, couverte de son
Précieux Sang. Merci, mon enfant, de répondre rapidement à mon appel, merci de bien vouloir entendre mes paroles et de
les accueillir avec tant d’amour, merci, merci, merci.
Continue, je t’en prie, à prier à mes intentions, à nos intentions qui, de jour en jour, sont de plus en plus nombreuses. Il
faut essayer de sauver quelques âmes de plus, car mes enfants sont devenus aveugles, pas seulement des yeux, mais aussi
du coeur.
Tout, je dis bien tout, est devenu banal : on a oublié le respect qu’on doit aux enfants, aux aînés, à la vie et surtout
le respect qu’on doit à Dieu le Père Tout-Puissant, à Dieu le Fils et à Dieu le Saint-Esprit, et cela, mon enfant, c’est très
grave ; il va falloir que justice se fasse, car on ne se moque pas de Dieu. (Gal 6, 7)
Il a été très patient envers la présente génération, en souhaitant un changement dans les coeurs de ses enfants. Mais,
de jour en jour, on court pour ne pas dire qu’on vole vers la perdition. On a renoncé volontairement à la foi, à l’amour et
au respect envers Dieu le Très-Haut, envers Dieu le Créateur, le Père, l’essence de la sainteté. On ne veut rien savoir de son
Fils unique, son Verbe, sa Parole, Celui qui est venu apporter la lumière, sa lumière. Hélas ! ses enfants ne le reconnaissent
pas plus aujourd’hui qu’il y a de 2 000 ans. En toute vérité, si Jésus revenait en sa Sainte humanité parmi vous, on commettrait le même crime que la première fois, on le ferait crucifier. Pire encore, on veut même vous faire oublier son saint nom « Jésus », car le nom de Jésus
dérange, on ne veut pas l’entendre.
Mes enfants, je vous en prie, priez et adorez, car vous n’avez pas la moindre idée de tout ce qui est à vos portes.
Cependant, gardez votre paix, votre confiance et surtout votre foi en Celui qui vous a tout donné par amour pour vous, Ses
tout-petits. Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 7 janvier 2011
14 – Quel grand privilège que d’assister à la sainte messe et de communier
Se préparer avec grand recueillement. Que toute Gloire soit rendue à Dieu le Père de Notre Seigneur Jésus Christ. Signe-toi et écris mon enfant, couverte de son Précieux Sang. Merci de bien vouloir recevoir mes enseignements, cette manne céleste, ce miel ruisselant qui se
déverse dans ton petit coeur. Dieu est Amour (1 Jn 4, 16), vous a dit saint Jean le bien aimé.
Il a compris le grand amour de Dieu le Père qui vous a donné son Fils unique, le Verbe. Il a compris le grand amour
de Dieu le Fils, le Verbe, qui a pris chair dans mon sein virginal pour accomplir la Volonté du Père, la rédemption de ses enfants
dispersés. Il a compris le grand amour de Dieu le Saint-Esprit, l’essence de l’amour du Père et du Fils, qui est venu me couvrir
de son ombre pour engendrer le Verbe de Dieu, la parole de vie, la vérité tout entière en Jésus le Christ Notre Seigneur,
dans le mystère de l’Incarnation, le sublime mystère où le Fils de Dieu fait homme est descendu du Ciel pour se faire l’un de
nous et habiter parmi nous. Quelle merveille !
Et tout cela, mon enfant, pour vous faire comprendre jusqu’où est allé l’amour de Dieu le Fils qui a pensé à instituer les
sacrements pour rester avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde et qui a pensé à se faire tout petit pour être dans une
Hostie ! Hélas, Il est le plus grand solitaire dans tant de tabernacles, où Il est devenu, par sa propre Volonté, prisonnier de
son amour pour ses enfants, ses frères et ses soeurs de la terre.
Vois-tu quel grand privilège vous avez d’assister à la sainte messe, de recevoir votre Créateur dans vos coeurs, de
recevoir son Corps et son Sang qui viennent préparer vos coeurs et vos corps à vivre le mystère de l’Incarnation dans vos
coeurs, à recevoir le Fils de Dieu, le Fils de l’homme, vrai Dieu et vrai homme, Jésus Christ le Seigneur ?
Bien sûr, toutes ces merveilles s’opèrent dans un coeur qui est en état de grâce, un coeur qui se prépare à recevoir le
Roi des rois, le Seigneur des seigneurs. C’est pour cela qu’on vous demande d’arriver quelque temps à l’avance pour vous préparer, vous débarrasser de vos soucis, vos distractions, vos inquiétudes, pour vivre le saint sacrifice de la messe. Et en vidant votre coeur, vous laisser
remplir de toutes les grâces que le Père, le Fils et le Saint- Esprit veulent vous accorder pour vous aider à devenir chaque
jour plus saint, selon l’exemple de votre Père céleste.
Comprends-tu, petite fille, l’importance de vous préparer dans un grand recueillement avant la sainte messe ? Hélas ! on
arrive à la dernière minute. On gaspille les grâces que mon divin Fils vous a méritées par sa Passion et sa mort. Et les
enfants partent les mains vides sans avoir voulu recevoir les trésors que le Père trois fois saint voulait leur donner. Les
anges pleurent de voir toutes ces grâces perdues. Merci, mon enfant, de recevoir avec amour mes enseignements, merci de nous prendre au sérieux. Sois bénie au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen,
alléluia.
Marie, Reine de la paix 8 janvier 2011
15 – Une expérience heureuse ou malheureuse selon l’état des consciences.
Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur. Signe-toi mon enfant et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin
Fils, Jésus Christ pour la Gloire de Dieu son Père.
Oui, mon enfant, tu dois te préparer à vivre ce changement que les enfants de lumière vont vivre d’une façon
spéciale. Ce sera un événement pour tous les enfants de la terre, mais vous, vous allez le vivre d’une façon différente.
Ce qui pour les autres sera une occasion de confusion, de peur, de détresse, de grande crainte, pour vous sera la joie de sentir
et d’entrevoir Celui que votre coeur aime.
Oui, je te parle de l’illumination des consciences, ce que d’autres appellent l’avertissement. Continuez de réciter l’acte
de contrition au fur et à mesure que vous en sentez le besoin et surtout dépêchez-vous d’aller au sacrement du Pardon pour
recevoir le pardon de Dieu et les grâces qui en découlent. (Pour bien se confesser, cliquez sur ce lien) : Je ne te dis pas que cela va arriver bientôt, tout de suite.
Certaines choses doivent arriver auparavant, des événements naturels ; oui, il va y avoir un froid glacial qui va vous enve -
lopper, un froid inconnu de mes enfants… Continue à écrire, fille bien-aimée, c’est moi l’Immaculée
Conception, la Mère de Dieu, qui te parle en ce moment par le divin vouloir de Dieu le Père, Seigneur Sabaoth (cf.1 Sa 1, 3).
Mes enfants ne veulent pas comprendre le langage de la nature et même s’ils arrivent à découvrir les choses à temps, ils ne
veulent pas accepter la vérité.
Regarde bien : crois-tu que c’est une coïncidence que la mort de tant et tant d’oiseaux en différentes parties de la
planète, de tant de poissons ? En vérité, mon enfant, Je te le dis, c’est le présage de ce qui s’en vient, de ce qui est à vos
portes : un méga tremblement de terre, un froid brutal, et que dire de la folie du vent, un élément nouveau qui va balayer
tout ce qu’il trouve sur son passage ; et après, arrivera une chaleur étouffante...
Quand cela arrivera, dis-toi bien que l’illumination des consciences est tout proche pour laisser place à la grande
persécution que subira l’Église, afin de donner une entrée triomphale à l’antéchrist.
Pourquoi est-ce que je te dis cela aujourd’hui ? Pour t’avertir mon enfant. Et lorsque tu l’entendras des autres tu
diras au fond de ton coeur : « Maman Marie me l’avait dit. »
Comme mon divin Fils, Jésus-Amour, l’a dit : tu seras avertie, instruite, renseignée directement par nous pour que tu com -
mences déjà à prier, à te préparer et garder la paix que seul Dieu peut donner. Et, ce faisant, tu transmets la paix à ceux
qui sont affligés, tu pacifies les coeurs angoissés. Sois bénie, enfant de ma tendresse, au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 9 janvier 2011
16 – S’arrêter à l’essentiel, la Parole de Dieu.
Combien renient leur Baptême, la saine doctrine ! Bénie sois-tu, mon enfant, de bien accueillir mes ensei -
gnements. Signe-toi et écris couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de
Dieu son Père.
Oui, mon enfant, par le Baptême vous êtes devenus à nouveau les enfants de Dieu le Père. Par l’eau, le prêtre vous
a lavés du péché originel, cette tache qui empêchait la grâce de circuler dans vos coeurs, cette tache qui vous éloignait de
votre Dieu, votre Créateur.
Si tu savais combien d’enfants en ce moment renient leur Baptême ! Et que dire de cette nouvelle génération qui laisse
les enfants sans recevoir aucun sacrement ? Sottise humaine.
Qu’est-ce qu’ils vont répondre à la question que leur posera Dieu le Fils : qu’as-tu fait de mes enfants ? Qui es-tu pour
enlever le droit de Dieu le Père de recevoir à nouveau ses enfants ? Ne sais-tu pas que chaque enfant a le droit de devenir
héritier du Royaume ? Prie, mon enfant, pour tous ces insensés qui ne veulent pas profiter des grâces que leur donne chaque sacrement, car un jour ils vont le regretter amèrement. On en est rendu à laisser de côté la saine doctrine ; chaque jour, on change les rites liturgiques. On trouve que c’est trop long. Cette génération a oublié l’essentiel : le temps le plus important, c’est le temps donné au Seigneur.
Vous avez oublié la valeur du temps. Au soir de sa vie, chaque être humain doit rendre compte de son temps. Malheur
à ceux qui ont gaspillé leur temps dans les choses du monde, de la chair et du démon. Malheur à ceux qui ont perdu leur
temps. Malheur à ceux qui se sont arrêtés dans leurs bonnes intentions sans passer à l’action. Malheur à ceux qui ont eu le
temps pour tout, sauf pour Dieu.
Oui, mon enfant, je suis triste, mon Coeur Immaculé pleure des larmes de sang de voir le petit nombre de ceux qui
pensent, qui aiment vraiment, qui adorent Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit.
Combien d’enfants se laissent distraire par toutes sortes de choses ! C’est pour cela, mon enfant, que je vous dis : soyez
vigilants, ne vous laissez pas désorienter, laissez passer le bruit, laissez passer le vent. Arrêtez-vous à l’essentiel qui est
la Parole de Dieu dans les Saintes Écritures.
Tout vous a été dit et tout doit s’accomplir. Rien ni personne ne peut changer la Bible ; on ne peut rien y ajouter et
encore moins y enlever, car c’est l’Esprit Saint qui a écrit par la main des prophètes, des évangélistes et des apôtres.
Gardez votre lampe allumée, car il se fait tard. Gardez-la avec l’huile de la foi que vous allez puiser dans les Saintes
Écritures, dans la Parole de Dieu qui est le Chemin qui vous conduit sur la bonne voie ; il est la Vie qui vous donne le goût
de continuer malgré tout ; il est la Vérité qui vous donne la lumière en ce temps de grande confusion.
Faites attention aussi de ne pas tomber dans le piège de la curiosité, de vouloir tout savoir. Tout doit s’accomplir. Priez,
priez, priez pour ne pas succomber à la tentation. C’est par la prière, par l’adoration, que vous allez arriver à traverser tout
ce qui est à vos portes. Consacrez-vous au Sacré-Coeur de Jésus et au Coeur Immaculé de votre céleste Maman. Soyez
bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 10 janvier 2011
17 – Le temps de la Miséricorde divine tire à sa fin pour laisser place à la Justice divine.
Que toute la Gloire soit rendue à Dieu le Père, à Dieu le Fils et à Dieu le Saint-Esprit. Signe-toi et écris, mon enfant,
couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur.
Le temps passe mon enfant, le temps de la miséricorde tire à sa fin pour laisser place à la Justice divine. C’est pour
cela que vous devez vous préparer en gardant votre âme en état de grâce, en étant charitables envers votre prochain, en
vous exerçant à être plus patients les uns envers les autres, en essayant de voir ce qu’il y a de meilleur en celui qui est devant
vous, en essayant aussi de vivre la sainte humilité et de vouloir toujours servir votre prochain, à l’exemple du Maître
qui est venu pour servir et non se faire servir.
Mais pour arriver à cela, il faut pratiquer la sainte obéissance, toujours être prêts à obéir. Qu’est-ce que cela coûte
de suivre les pas de mon doux Jésus qui s’est fait obéissant jusqu’à la mort sur une croix ?
Pourquoi te parler de tout cela ? Parce que tu dois, mon enfant, t’exercer de plus en plus à pratiquer les vertus comme
tous mes enfants de lumière.
Si vous vivez dans un monde où règne l’égoïsme, vous devez y opposer la charité ; où vous êtes entourés de beaucoup
d’impatience, vous devez y être très patients ; où règne l’orgueil, vous devez briller par votre humilité en gardant dans
votre esprit que le plus grand dans le Royaume est celui qui est le plus petit au service des autres.
Vous êtes dans un monde de libertinage où chacun fait ce qu’il veut… Vous devez obéir aux lois de Dieu, respecter
chacun des Commandements (Ex 20). Et si tu aimes le Seigneur, tu verras que c’est facile d’aimer ton prochain, d’aimer tous
ceux qui sont autour de toi, ceux qui se confient à toi, etc.
Ah ! mon enfant, si le monde suivait la doctrine que mon divin Fils est venu vous enseigner, le monde serait si différent !
Il n’y aurait ni guerre, ni toutes sortes d’injustices, il n’y aurait plus de faim, plus de haine. Partout règneraient la paix,
l’amour et l’harmonie. L’Amour du Père circulerait librement dans tous les coeurs. Tous les enfants pourraient vivre dans
la Divine Volonté en disant : « Oui, Père, que ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel ! » Ce serait le paradis sur
la terre. Prie, mon enfant, pour qu’un jour tous les coeurs acceptent de s’ouvrir pour accueillir les grâces et qu’ils puissent
dire leur fiat à leur tour avant qu’il ne soit trop tard. Merci, mon enfant, de me donner ton temps. Va te reposer et sois
bénie au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 11 janvier 2011
18 – Les théories mensongères du Nouvel Âge. Plusieurs reviendront à Dieu après l’illumination.
L’Esprit Saint est descendu, il a plané sur les eaux du Jourdain pour montrer aux peuples que Jésus est le Fils de
Dieu, son Fils bien-aimé et hélas ! les grands de ce monde ne l’ont pas reconnu comme vrai Dieu et vrai homme. Signe toi
et écris, mon enfant, couverte de son Précieux Sang pour la Gloire de Dieu son Père.
L’histoire se répète aujourd’hui comme hier : on ne veut pas reconnaître que Jésus est vrai Dieu, né de Dieu, né de la
Lumière, qu’Il a été engendré par l’Esprit Saint pour venir accomplir la Volonté de Celui qui l’a envoyé, Dieu le Père.
Seuls les plus petits du petit reste l’ont accueilli comme vrai Dieu, comme le Messie, comme le Rédempteur.
Dans toutes les générations, l’histoire s’est répétée jusqu’à la génération actuelle où, même dans le petit reste, la
division et le doute sont entrés. On se pose ces questions :
• Est-ce que Dieu existe vraiment ?
• Y a-t-il vraiment il y a une vie après la mort ?
Et les enfants se laissent tromper par ces théories du Nouvel-Âge qui vous font croire que tout finit avec la mort
du corps, que l’âme est une invention des grands-parents, qu’il faut vivre pleinement en cette vie, car après tout est
fini, que la résurrection est une fable que les apôtres ont inventée...
Mon enfant, je me demande jusqu’où va aller la présente génération avec cette science qui va jusqu’à nier totalement
l’existence de Dieu et, par conséquent, vous amène à renier la saine doctrine, à renier vos origines.
Je souffre de voir ce qui vous attend, la surprise que vont vivre ceux qui ont refusé d’accueillir la grâce… Dis-toi bien,
mon enfant, que les suppôts de Satan vont vous faire croire que l’illumination des consciences est le résultat de la peur
que vont vivre nos enfants avec tous les événements qui vont la précéder, et ils vont accueillir cette théorie. Je parle de ceux
qui ont dit non à l’Amour…
Mais d’autres enfants comprendront le mal qu’ils ont fait à leur âme et le regretteront. À ce moment, ils courront pour
chercher de l’aide. Ils ouvriront leurs coeurs pour accueillir et connaître les Saintes Écritures, pour mieux connaître Jésus, le
Père et le Saint-Esprit…
Et, à ce moment-là, l’heure sonnera pour que les enfants de lumière viennent à leur aide pour les évangéliser, les
accueillir, les guérir, les encourager, leur faire connaître Jésus, leur enseigner que Dieu est Amour (1 Jn 4, 16) et que Dieu
qui est leur Père les a tant aimés qu’Il leur a donné son Fils unique pour les sauver.
Vois-tu, mon enfant, la tâche immense qui vous attend ?
C’est pour cela qu’on vous demande d’adorer pour vous laisser former, pour recevoir de l’Esprit Saint les grâces nécessaires,
les dons et les charismes dont chaque enfant aura besoin pour accomplir la mission que Dieu le Père lui a confiée.
Je vous demande de prier aussi pour le Saint-Père Benoît XVI. Il faut le soutenir par vos prières qui lui donneront la force d’aller jusqu’au bout, sans oublier de prier pour tous mes fils de prédilection, les prêtres, qui ont tant besoin de vos prières.
Merci de votre générosité. Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 13 janvier 2011
19 – Il reste quelques miettes de temps. Suivront l’épreuve de la foi et le passage vers une ère de paix et d’amour.
Que la paix du Seigneur soit avec toi, mon enfant. Signe toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils,
Jésus Christ le Seigneur. Tu peux te demander, te surprendre ou même t’habituer progressivement à recevoir mes enseignements tous les jours.
Au fond de toi, tu sais mon enfant, qu’il n’y a plus de temps à perdre ; les miettes de temps que vous avez en ce
moment tirent à leur fin. Et un jour doit s’accomplir aussi « le moment du grand silence » où vous devrez passer l’ultime
épreuve de la foi, pour que s’accomplisse la Parole (Lc 18, 7) :
« Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il encore la foi ?»
C’est pour cela qu’on vous demande de nous donner votre temps pour recevoir cette manne céleste qui vous aidera
tellement aux moments de grande détresse. Vous irez puiser l’eau vive (cf. Jn 4, 10) dans les Saintes Écritures, et aussi
dans les enseignements que le Père trois fois saint vous a permis de recevoir : il veut avertir ses enfants de ce qui
les attend, de ce qu’ils doivent faire, de se préparer par les sacrements et de rester en état de grâce afin d’accueillir
l’Esprit Saint qui vient pour les réveiller et les faire sortir de cette léthargie où sont tombés un grand nombre de ses
enfants.
C’est pour cela que je vous demande de prier, de louer, d’adorer, de fermer les portes aux mauvaises pensées, de
fermer votre coeur à toutes sortes de tentations, d’être plus vigilants et de passer à l’action.
C’est bien de demander la force de ne pas tomber, mais vous devez agir en conséquence en évitant de faire le mal, ou
encore de vous approcher du mal : fuyez le mal mes enfants !
Lisez la vie des saints et vous allez voir et comprendre tout ce qu’ils ont fait pour observer les Commandements
(Ex 20), pratiquer les vertus, rester en état de grâce. Tous les enfants sont appelés à vivre dans la grâce sanctifiante pour
devenir des saints à l’exemple du Père trois fois saint. Si vous l’aimez vraiment, vous allez vivre dans son amour, vous allez
tout faire pour son amour. Et petit à petit, vous allez commencer à vivre dans la Nouvelle Terre et les Nouveaux Cieux.
Et vous allez franchir allégrement ce passage de la grande purification à la nouvelle ère de paix, d’Amour Trinitaire
où l’Amour du Père va circuler librement sur la terre comme au Ciel.
Priez mes enfants pour que le temps soit abrégé. Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-
Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 14 janvier 2011
20 – Quelle humilité l’Enfant-Dieu dégage dans la crèche ! Il vient allumer le feu de l’amour dans les coeurs.
Il vous faudra beaucoup d’humilité, de douceur et de paix, mon enfant, pour aimer à rester cachés avec moi à l’ombre de
Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit. Signe-toi et écris, mon enfant, couverte du Précieux Sang de mon divin
Fils Jésus, pour la Gloire de Dieu son Père.
Regarde, mon enfant, quelle humilité, quelle douceur et quelle paix dégage l’Enfant-Dieu dans la crèche : Lui, l’infi -
niment grand se présente à l’humanité infiniment petit, en Nouveau-Né. Merveille des merveilles ! Le Créateur de toute
la création visible et invisible choisit une grotte pour être pauvre parmi les pauvres.
Il a choisi les bergers comme ses premiers adorateurs pour vous apprendre la béatitude (Mt 5, 8) : « Heureux les
coeurs purs, car ils verront Dieu. » C’est cette béatitude que vous devez vous exercer à vivre dès ici-bas pour que votre
coeur soit uni au Sacré-Coeur de Jésus, pour apprendre à aimer avec et dans son amour : 1) Aimer Dieu le Père et Lui donner
la première place dans votre vie ; 2) Aimer votre prochain avec cet amour filial qui doit exister dans les coeurs de tous les
enfants du Père ; 3) Imiter la sainte humilité de Celui qui est venu servir et non pas être servi ; de Celui qui est venu faire la
Volonté de Celui qui l’a envoyé, qui lui a remis tout honneur, toute Gloire et tout son Amour ; 4) Apprendre la douceur qu’il
faut opposer à toute contrariété dans la vie quotidienne ; 5) Et, arriver à devenir doux et humble à l’exemple de ce Coeur
qui vous a tant aimés. Le Sacré-Coeur de Jésus s’est laissé transpercer par l’Amour ardent qui brûlait tout son être, une soif d’Amour,
une soif d’âmes amoureuses, qui à leur tour, se laisseraient brûler de son amour dans la fournaise de son Coeur. Il désire
que ces âmes puissent allumer à leur tour toutes les étincelles qui attendent un souffle d’espoir, d’amour, de compassion,
d’écoute et leur dire : ma soeur tu n’es pas seule, je suis là, l’Amour m’envoie vers toi pour t’aider, t’encourager, te
donner à boire pour que tu n’aies plus jamais soif, soif de sa Parole, soif de son amour. Viens refaire tes forces et reprendre
les chemins qui te conduisent au Père. Monte sur la montagne sainte où tu verras la lumière dans cette nuit où tu es tombée,
cette nuit des ténèbres qui te garde prisonnière.
Vois-tu, mon enfant, tout ce que vous pouvez faire avec vos prières, votre adoration ? Vous pouvez devenir des instruments, des vases communicants, pour nourrir vos frères et vos soeurs qui seront sur votre route, pour les accueillir tels qu’ils sont à l’exemple de Celui qui a eu pitié de la foule, une foule sans berger pour la guider, et que le monde a laissé à son compte.
Aujourd’hui comme hier, mon doux Jésus a pitié de la foule. Il a besoin de vos mains pour bénir, de vos pieds pour
aller accueillir et de votre voix pour proclamer votre foi. Merci mes enfants pour votre oui d’amour. Soyez bénis au nom de
Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Marie, Reine de la paix 15 janvier 2011
21 – Le saint abandon filial produit l’amour comme le disait la petite Thérèse.
Que ton coeur soit très reconnaissant, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Signe-toi mon enfant et écris, couverte
du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur, pour la Gloire de Dieu son Père. Ne craignez pas, mes enfants,
car Dieu le Père sait ce dont vous avez besoin avant même que vous le lui demandiez. Que votre foi soit plus forte, que votre
confiance soit sans borne !
Nous allons parler aujourd’hui du saint abandon. La petite Thérèse disait : « l’abandon, c’est le fruit délicieux de l’amour » ;
plus vous allez apprendre à aimer votre Dieu, votre Père, plus vous avancerez dans cette voie de l’abandon, qui est une voie
mystérieuse de l’amour infini du Père pour ses enfants de la terre. Comme il aime voir ses enfants venir se jeter dans ses
bras dans un abandon confiant, en cette belle relation Pèrefils/fille, un enfant qui attend tout de lui, qui espère tout de lui,
qui a confiance en Lui son Dieu, son Créateur.
Hélas ! ils sont peu nombreux ceux qui arrivent à vivre cet abandon filial. Car, pour plusieurs enfants, il est très diffi -
cile de reconnaître leur impuissance, leurs limites, de renoncer à leur façon de faire, à leurs vieilles habitudes. Très difficile
de renoncer au vieil homme avec toute son arrogance, son air de supériorité, son orgueil, pour laisser la place à l’homme
nouveau revêtu de la grâce sanctifiante (Eph 4, 24), cet homme nouveau qui aime, qui adore, qui loue, qui respecte
son Dieu, son Créateur, son Père. Par tout cet amour, il découvre au fond de lui la connaissance de savoir jusqu’où le Père
l’a aimé en lui donnant son Fils unique venu le racheter par sa Passion et sa Mort et lui ouvrir les portes du Ciel.
Quand cet amour a pris racine en lui, son coeur commence à s’ouvrir pour accueillir les grâces, les vertus, les fruits
que l’Esprit Saint vient déposer en lui. C’est à ce moment qu’il commence à connaître son Père, à lui faire confiance,
et, petit à petit, il goûte les fruits savoureux de l’abandon quand il comprend que Dieu est son Père, que Dieu est amour
(1 Jn 4, 16), que Dieu l’a aimé le premier tel qu’il était avant même sa conception.
Cette pensée dépasse son intelligence, car il n’est pas habitué à recevoir tant d’amour et, dès ce moment, avec un
coeur contrit il demande pardon pour son arrogance, son orgueil et humblement il accepte de mourir à lui-même pour
enfin vivre dans le saint abandon.
Voilà ce que je voulais te dire ce soir pour que tu comprennes jusqu’où doit vous mener la vie dans un abandon
total entre les bras de Dieu le Père : un dépouillement total « du faire » pour accueillir « d’être » ce que le Père espère de
chacun de vous qui arrivera à être cet enfant de lumière qui vit pour accomplir, la volonté de Celui qui l’a créé, lui aussi.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
Ton Sacré-Coeur de Jésus 16 janvier 2011
22 – L’Église vit sa passion, on la croira morte ; elle ressuscitera et connaîtra une nouvelle Pentecôte d’amour.
Que la paix soit avec toi petite fille de mon Sacré-Coeur. Signe-toi et écris, couverte de mon Précieux Sang, pour la
Gloire de Dieu mon Père.
Vois-tu, mon enfant, comment ma très Sainte Mère t’a préparée d’avance à recevoir cette brochure qui est un puits
où tu viendras puiser l’eau vive (cf. Jn 4, 10) qui coule de mon Sacré-Coeur, car je t’amène à vivre la spiritualité de ce Coeur
qui a tant aimé ses frères et soeurs. Regarde comment je suis tout amour, toute délicatesse, comment je prends soin de tout
quand je trouve une âme qui se donne totalement à moi, une âme qui honore et qui aime cette dévotion si chère à mon
Coeur. En ce moment l’on voit les séminaires, les communautés, les monastères se vider : on croit qu’ils vont tous disparaître
un jour, que l’Église s’en va directement à sa mort comme son fondateur. Mais ce que les enfants du mal ignorent, c’est que
mon Église aussi doit passer par son Vendredi saint. On la croira morte comme ils ont cru qu’ils en avaient fini avec moi
à la mise au tombeau… Et c’est à ce moment que j’ai remporté la victoire, j’ai vaincu la mort, mon dernier ennemi. La
Vie a vaincu la mort avec ma Résurrection.
Et quand l’heure va sonner, l’Église aussi ressuscitera toute belle, toute humble, toute pure comme aux premiers
temps. Car vous allez tous vivre ma nouvelle Pentecôte d’Amour où l’Esprit Saint viendra laver tout ce qui est souillé,
vous remplir de sa force, guérir vos faiblesses pour que vous puissiez marcher sans aucun danger sur les chemins de ce
monde. Il viendra inspirer vos paroles pour cette grande tâche de la nouvelle évangélisation où vous allez allumer la divine
flamme de l’Amour Trinitaire dans les coeurs de ceux que je placerai sur vos routes, pour faire fuir l’ennemi qui veut la
perte de mes enfants et ramener au Père tous ses enfants dispersés. Mon Église recevra un nouveau souffle pour rendre
tout honneur, toute Gloire, tout amour au Dieu Trinitaire. Tu verras aussi, mon enfant, comment tous mes prêtres
ont au fond de leur coeur cet appel reçu le jour de leur ordination lorsque l’évêque les a appelés par leur nom, et qu’ils
ont répondu « Me voici ». Avec le temps, certains ont étouffé cette réponse et sont partis vers des chimères, ils se sont
éloignés et même ils ont renoncé à suivre le Saint-Père, successeur de Pierre.
Tu verras, mon enfant, comment peu à peu les écailles de leurs yeux vont commencer à tomber. Ils vont se réveiller, ils
vont comprendre tout le mal qu’ils ont fait, tout le mal qu’ils se sont fait à eux-mêmes, et à ce moment ils vont revenir au
bercail en demandant pardon, en reconnaissant la gravité de leurs fautes. Ils vont se jeter au pied des évêques en demandant pardon. Le Père sera là pour les accueillir comme ses bien-aimés, comme ses fils de prédilection. C’est pour cela
mon enfant qu’on ne doit pas juger un prêtre ; on doit prier pour lui, le soutenir, l’encourager. Lorsque vous entendez dire
qu’on condamne un prêtre, vous ne savez pas si c’est vrai ou si c’est une calomnie.
Priez pour le Saint-Père, priez pour les prêtres. Priez aussi pour les religieuses pour que les communautés deviennent des
maisons de prières, d’adoration, de jeûne, de sacrifices, où l’on vit la charité, la paix, dans une grande humilité. Qu’on
ferme les portes aux tendances du monde pour laisser toute la place à l’essentiel : la spiritualité de chaque fondateur ; qu’on
revienne aux origines, aux règles que l’Esprit Saint leur a inspirées.
Vois-tu, mon enfant, l’importance de prier, de faire des offrandes pour tous mes consacrés ? Merci pour ta grande
générosité de prier pour eux, jour et nuit. Et à toi aussi je dis : Occupe-toi de mes affaires et laisse-moi m’occuper des tiennes !
Je ne t’ai pas oubliée. Dans les jours à venir, vous verrez à nouveau la Gloire de Dieu (Jn 11, 40). Continuez à croire,
à prier et à espérer. Voilà ce que j’avais à te dire aujourd’hui. Reçois ma bénédiction et mon baiser de paix, au nom du Père, au nom
du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.
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Le christianisme est une religion monothéiste et abrahamique, issue d'apôtres célébrant la vie et les enseignements de Jésus. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, Fils de Dieu, ou Dieu incarner, néanmoins Prophete.
Le christianisme est une religion monothéiste et abrahamique, issue d'apôtres célébrant la vie et les enseignements de Jésus. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, Fils de Dieu, ou Dieu incarner, néanmoins Prophete.
L'Illumination des consciences - top important
Ecrit le 18 janv.13, 02:25- medico
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
- Christianisme [Témoins_de_Jéhovah]
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Re: L'Illumination des consciences - top important
Ecrit le 18 janv.13, 05:33deux sujets identiques il en a un de trop .
je le ferme.
je le ferme.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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