Mormon a écrit :
Non, pas en Occident, seulement par les catholiques.
Tiré de Jésus le Christ :
Le nom de la femme qui vint ainsi trouver le Christ et dont le repentir était si sincère qu'il apporta à son âme reconnaissante et contrite l'assurance de la rémission, n'est pas rapporté. Rien ne prouve qu'elle figure dans un autre incident rapporté par les Écritures. Certains écrivains prétendent qu'elle est la Marie de Béthanie qui, peu avant que le Christ ne fût trahi, oignit la tête de Jésus de parfums. Mais la supposition qu'il s'agit là d'une seule et même personne n'est pas du tout fondée et constitue une critique injustifiable de la vie passée de Marie, sœur dévouée et aimante de Marthe et de Lazare. La tentative que d'autres font d'identifier cette pécheresse repentante et pardonnée avec Marie-Madeleine est également fausse, aucune période de la vie de celle-ci n'ayant été marquée par le péché d'impureté, du moins s'il faut en croire les Écritures. Le fait qu'il est important de se garder de commettre des erreurs dans l'identité de ces femmes fait estimer sage d'ajouter ce qui suit à l'étude ci-dessus.
Dans le chapitre qui suit, celui où sont rapportés les incidents que nous venons d'étudier, Luc déclare que Jésus traversa la région, visitant toutes les villes et tous les villages, prêchant l'Évangile et annonçant la bonne nouvelle. Les Douze l'accompagnaient ainsi que « quelques femmes qui avaient été guéries d'esprits mauvais et de maladies : Marie, appelée Madeleine, de qui étaient sortis sept démons, Jeanne, femme de Chuza, intendant d'Hérode, Suzanne, et plusieurs autres, qui les assistaient de leurs biens. » Les Écritures parlent encore de certaines de ces femmes honorables ou d'elles toutes à propos de la mort, de l'ensevelissement et de la résurrection de notre Seigneur, et il est particulièrement fait mention de Marie-Madeleine . Marie-Madeleine dont le deuxième prénom est probablement dérivé de sa ville natale, Magdala, avait été guérie, par une administration de Jésus, de maladies physiques et mentales, ces dernières s'accompagnant de possession par des esprits mauvais.
On nous dit que le Christ avait chassé d'elle sept démons , mais même une affliction aussi terrible ne permet nullement d'affirmer que cette femme était sans vertu ou sans chasteté.
merci pour ce rappel
Catholicisme était toujour anti féministe ( souvenez vous de la chasse de sorciéres et no des sorciers)