"Mais les contrebandiers ont du répondant. Le préfet de police reçoit alors une gifle, Jacques Meric un coup de pied et le chauffeur un coup de poing. S'il est impuissant à mettre hors d'état de nuire ce commerce illicite, le préfet Boucault peut désormais poursuivre ses agresseurs pour violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique."