
C'est l'espèce de cube en carrelage de salle de bain au milieu d'un vieux quartier élaguant de la ville. C'est un cadeau pompeux de Jacques Chirac à son copain le maire de Québec.
Bon... vous allez dire : "Mais Espilon, en quoi cette chose est-elle pompeuse ?" oui, certes, c'est loin d'être une œuvre d'art, mais ce qui la rend pompeuse c'est que au contraire, quant bien même elle n'ai que 24 arrêtes, cette œuvre est qualifié "d’œuvre d'art" par certaines classes de gens prétentieuse. Si ça c'est une œuvre d'art, alors c'est moi qui l'ai inventé ! Quant j'avais quatre ans, en superposant deux cubes puis un plus petit au sommet. BREF !
La ville s'en ai débarrassé, la réduit en poussière, la terrassé, a renvoyé les débris à son créateur. La population est en extase, la ville c'est débarrassé de cette œuvre de maçonnerie élémentaire, dépourvu d’imagination, de technique et de beauté. Les artistes dégénérés quant à eux hurlent au scandale, peu effrayé de se rendre complice du vandalisme de cette belle ville. L'auteur de cette choses insipide n'a pas honte de réclamer sa reconstruction. Il devrait trembler de honte et craindre que le peuple ne l'attrape et lui jette des œufs et des trognons de chou. La place publique n'est pas là pour servir de totem à la mort de l'art ; le publique n'a pas à subir la folie de ces lunatiques. La place publique se doit d'être belle en l'honneur des gens qui marche au milieu d'elle et de leur ancêtres qui l'ont battis !
Elle était belle l'époque où on les monuments publiques étaient de véritable œuvres d'art, des piliers exalté à la gloire du talent de l'humanité. Je vous laisse contempler sous leur innombrables angles ces nombreux monuments qui peuplent nos villes anciennes (voyez par exemple le monument aux girondins de Bordeaux). Pourtant elles partagent leur existence avec celle des monstruosités contemporaine, qui ont parfois au mieux l'honneur d'être recherché et techniquement intéressante... d'autres en revanche, comme "dialogue avec l'histoire", n'ont aucune forme d'inspiration. Ce sujet sera pour moi la galerie d'exposition de l'horreur.