
Avec toute l'information et la désinformation qui a lieu de nos jours, c'est à ce demander quoi en faire. Par exemple, l'un dit ceci et l'un dit celà. Grattons-nous pas la tête, puisque nous n'avons qu'à garder les choses simplement bien casées dans notre tête.
L'un nous dit viens ici et tu y trouveras Jésus. Il te proposeras des choix et les étendras devant toi d'une façon bien informée. Et tu peut te demander, avec raison d'ailleurs, si tu as un choix. Puisqu'il te dit que tu as le choix d'accepter ou de refuser son appel à Jésus.
Quand les pasteurs t'appellent et te disent que si tu viendrais à Jésus tu obéit au principes de l'Évangile tu seras sauvé. Et que dans le sens contraire, si tu n'accepte pas de venir à Jésus et d'obéir à ces préceptes, tu n'iras pas au ciel. C'est pourtant dur comme le roc. C'est clair, c'est net, et carrément exprimé. Sois tu obéit à Jésus, ou soit tu n'obéit pas.
Le dilème n'est pas là. Le dilème est à savoir : es-tu vraiment laisser avec un libre arbitre ou bien il y a t-il de la coertion en bout de ligne?
Voici donc justement un exemple de ce qu'est la coertion et de quand quelqu'un t'enlève ton libre arbitre. Lorsque tu te vois enlever ton libre arbitre, tu te fais donc enlever ta dignité en tant qu'enfant de Dieu, et tu te fais réduire à un état animal.
Mon pasteur et sa famille ont résidé dans un quartier d'une ville aux États-Unis dans lequel il s'y trouvait des maisons luxueuse aux abords d'un terrain de golf. Il n'y avait pas de clôture pour séparer les cours des maisons du voisinage d'avec la belle herbe luxueusement épaisse et verte du terrai de golf. Celà s'adonnait aussi qu'il y avait un règlement municipal dans cette ville là qui interdissait de poser des clôture à cause de la polique de bon goût: il ne fallait pas et à tout prix, déplaire à l'oeil esthétiquement. Donc pas de clôture.
Lorsque le pasteur s'enquérit d'auprès d'un propriétaire d'une maison qui habitait justement là avec un beau gros chien qui était bon gardien et qui n'errait jamais nulle part. "Comment ça que ton chien ne sort jamais de sa cours. Il n'y a pas de clôture pour l'arrêter de errer, mais il ne va pas jamais dans la rue, ni sur le terrain du voisin, encore moins sur la belle herbe toffue du beau terrain de golf tout vert." (Il est sous-entendu ici, pour ceux qui connaissent bien leur chiens, que les chiens aime les verts pâturages).
Et le propriétaire du chien répondit au pasteur ceci: "Y a pas de problême. Mon chien obéit à la perfection. Mon chien a un collier d'obéissance. Et j'y ai mis un poteau ici, un poteau là, et un poteau par labas. Donc s'il se rend aux endroits où il y a des poteaux, il rêçoit un choc électrique, et il s'arrête et change son capot de bord, et va se coucher bien tranquille."
L'obligation d'obéir ce n'est pas dutout de l'obéissance. C'est de la coercion. Tandis que confier à Jésus sa vie et de lui remettre les guide pour qu'il nous donne ce qui est bon et bien pour nous, de façon volontaire c'est tout autre chose. De lui obéir de la même façon qu'un enfant obéit à son père. C'est le libre arbitre.
Supposons qu'un enfant vient pour se mettre sa petite menotte sur une porte de fourneau chaud. Et que le dit, "non mon chérit ne met pas ta main là tu vas te brûler."
L'enfant est effectivement libre d'y mettre sa main. Mais que pensez vous qui va lui arriver? Il va se brûler.
Donc le père n'a pas fait de coertion. Il lui a transmis sa sagesse de l'expérience de toute une vie. Il lui a transmis "sa raison". Libre au flo de le faire.
Maintenant il y a bel et bien des occasion dans lesquelles où le père doit intervenir, parcontre. Quand il voit son flo entrain de prendre un course vers la rue et qu'il y a des autos qui s'en vienne. Le père se doit de se lever, de courrir, et de prendre dans ses bras son jeunes. Afin de l'aimer et de le protéger. En bon père de famille.
Y a t-il eut de la coertion dans ce dernier cas? Non. Le père s'est conduit en bon et bienveillant père de famille. En homme, en homme responsable.