La raison de l'infamie dans l'église
La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 04 oct.18, 00:26Elle prend sa source dans la manière dont les hommes se sont saisis de la religion chrétienne.
Preuves en sont :
Apocalypse 13:18
"C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six."
Apocalypse 13
10 "Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. 11 Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. "
Constantin Satan, les rois sont les 8 papes déclarés souverains en titre pontifical depuis 1929 accord de Latran déclarant le Vatican un état pour part entière, le pape ayant pouvoir d'autorité de gouvernance régnant sur ses sujets.
Pourquoi Satan en Constantin ?
Parce qu'il est l'empereur qui a su jouer de ruse pour s'approprier l'ensemble du peuple romain qui se divisaient alors car d'un côté des sujets païens adorateurs des dieux et de l'autre des romains mus par la foi chrétienne dont le nombre augmentait de jours en jours.
Tout chrétien sait que la foi c'est Dieu qui la donne gratuitement dès lors Jésus est mort pour que nous l'ayons tous.
Se servir de torches humaines dans les rues de Rome afin de dissuader n'avait aucune emprise, il fallait trouver un subterfuge et Constantin l'a trouvé en inventant une soi disant apparition divine qui lui a donné à lui du prestige "avec ce signe tu vaincras" et désormais ayant mis les chrétiens dans sa poche et ayant étendu son pouvoir à tous les romains du royaume, il a pu vaquer à d'autres occupations qui lui tenaient à cœur, entre autres, donner à Byzance son Nom soit Constantinople lui qui n'a pas pu donner son nom à Rome, il l'a fait pas loin, en Turquie.
Mais il réunit d'une manière sérieuse tous les évêques d'alentour pour que tous unanimement répandent une même et seule Bonne Nouvelle, selon ses prescriptions à lui Constantin.
Donc en 325 Constantin a promu cette loi terrestre pour l'ensemble des chrétiens :
325 : Ier concile de Nicée dit concile des cinq patriarcats, il condamne la gnose et l'arianisme (doctrine d'Arius). Adoption du Symbole de Nicée. Adoption de la consubstantialité du Père et du Fils. Fixation de la date de Pâques. Adoption de l'ordre des sièges patriarcaux Rome, Alexandrie, Antioche et Jérusalem. Adoption du dogme de la trinité.
Constantin a donné par ce premier concile mot d'ordre et tous les autres ont suivi.
Par conséquent la Chrétienté, tenue prisonnière par Satan, a fait des émules parmi les prêtres qui ont continué à perpétrer le mensonge à travers le temps, c'est pour cela que les prêtres d'aujourd'hui montrent une image si peu crédibles de la foi car Dieu bien sûr ne base pas la Chrétienté sur le mensonge.
381 : Ier concile de Constantinople (Églises des deux conciles) contre la négation de la divinité du Saint-Esprit et contre les ariens. Adoptions de la consubstantialité de l'Esprit saint avec le Père et le Fils, du Symbole de Nicée-Constantinople. Attribue le 2e rang au siège patriarcal de Constantinople, reléguant Alexandrie au troisième rang.
431 : Ier concile d'Éphèse (Églises des trois conciles) proclame Marie Mère de Dieu et condamne Nestorius. Proclame l'Unité de Personne en Jésus-Christ. Adoption du Symbole d'Éphèse en 433.
451 : concile de Chalcédoine condamne la doctrine d'Eutychès selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, Divine, la nature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature divine, doctrine dite des monophysites. Au contraire, le concile affirme ses deux natures, divine et humaine en l'unique personne de Jésus-Christ. Adoptions du Symbole de Chalcédoine et de la Discipline des Sacrements.
553 : IIe concile de Constantinople condamne les œuvres suspectes du nestorianisme (Cf. Nestorius).
680-681 : IIIe concile de Constantinople condamne le monothélisme. Les monothélites, disciples de Sergius, évêque de Constantinople, modifiaient, en partie, l'erreur d'Eutychès (voir supra) : ils enseignaient qu'il n'y a qu'une seule volonté de Jésus-Christ, la volonté divine qui absorbe et anéantit la volonté humaine.
692 : concile in Trullo, dit aussi synode de Constantinople ou concile Quinisexte : il n'est qu'un complément, sur les seules questions de discipline, aux deux conciles précédents. Il n'a été reçu que par les Églises chrétiennes d'Orient.
787 : IIe concile de Nicée (Églises des sept conciles) condamne l'iconoclasme. Il autorise et précise le culte des images (pas de l'image en elle-même, mais de ce qu'elle entend représenter).
869-870 : IVe concile de Constantinople, contre le schisme de Photius. Ce concile affirme que la Tradition est l'une des règles de foi. La trichotomie est condamnée (l'homme est composé d'un corps, d'une âme et d'un esprit) et la dichotomie est affirmée (l'homme est composé d'un corps et d'une âme). L'Église orthodoxe ne le reconnaît pas.
Autres conciles (régionaux)[modifier | modifier le code]
251 : concile de Carthage accepte la réconciliation des lapsi sous conditions (1993 CHPRZ).
262 : concile de Rome condamne le modalisme.
264 : concile d'Antioche.
268 : concile d'Antioche condamne Malchion et le malchionisme (1904 CHP/ 1917 CPR).
269 : concile d'Antioche condamne Paul de Samosate et sa théorie du logos impersonnel.
305-306 : concile d'Elvire sur le mariage des chrétiens, et sur le célibat des clercs.
314 : concile d'Ancyre, publication de textes canoniques, (de la) Nomination d'évêques ; Acta : « Canones XXV » (1994 CEHP), « Nomina episcoporum » (1993 CDPRZ).
314 : concile d'Arles ; tenu le 1er août 314, ce concile condamne le donatisme (1971 CDPR).
325 : concile d'Antioche, sur la nomination des évêques (1993 CDPRZ).
340 ou 355 : concile de Gangres condamnant Eustathe de Sébaste.
341 : concile d'Antioche.
344 (ou 343) : concile de Sardica en Illyrie5 ; affirme la primauté du pontife romain et combat les ariens.
351 : concile de Sirmium, confirmation de la profession de 342 à Trèves, anathème contre Photin, évêque arien de Sirmium.
353 : concile d'Arles, condamnation d'Athanase, l’évêque d’Alexandrie ; convoqué par l'empereur Constantin II, ce concile consacre la victoire temporaire de l'arianisme.
356 : concile de Béziers – Saturnin, évêque arien d'Arles, exile l'évêque Hilaire.
357 : concile de Sirmium, triomphe du parti radical arien.
358 : concile d'Ancyre, sous la direction de Basile d'Ancyre, de tendance homoiousienne, anathémise le parti arien6.
359 : concile de Sirmium, à l'initiative de Constance II, compromis entre les anoméens et les homéens, appelé par dérision le credo daté.
359 : concile de Rimini. Les évêques de Vienne et de Narbonne suivent leur chef l'évêque d'Arles Saturnin à ce concile qui définit un dogme différent du Symbole de Nicée (dogme arien).
359 : concile de Séleucie.
361 : concile de Paris, condamne Saturnin d'Arles et l'arianisme.
362 : concile d'Alexandrie. Acta : « Epistula synodalis siue Tomus ad Antiochenos » (1979 CHPR).
Entre 343 et 380 : concile de Laodicée : l'invocation de noms angéliques autres que ceux des trois archanges Michel, Gabriel et Raphaël est condamnée pour éviter les pratiques magiques et idolâtres.
374 : concile de Valence7,8 (CPL 1776c).
379 : concile d'Antioche, condamnation du symbolisme (1916 CP).
380 : concile de Saragosse, condamne le priscillianisme.
381 : concile d'Aquilée condamne les évêques ariens Pallade et Sécondien.
382 : concile de Rome condamne l'apollinarisme.
390 : concile de Carthage, définit les règles de nomination des évêques (1972 CHDPRZ).
396 : concile de Nîmes, tenu le 1er octobre (CPL 1779).
4019 : concile de Turin sur les conflits territoriaux et de préséance entre les évêchés d'Arles et Marseille.
402 : concile de Milève pour la Numidie.
410 : concile de Séleucie.
411 ou 412 : concile de Carthage pour l'Afrique proconsulaire.
414 : concile de Jérusalem contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.
414 ou 415 : concile de Diospolis, contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.
415 : synode de Jérusalem.
416 : concile de Milève pour la Numidie.
416 : concile de Carthage.
418 : 16e concile de Carthage, pour l'Afrique proconsulaire et la Numidie.
441 : premier concile d'Orange.
449 : second concile d'Éphèse, aussi connu sous le nom de « Brigandage d'Éphèse » à la suite de l'annulation de ses actes au concile de Chalcédoine.
465 : concile de Vannes.
484 : concile de Beth Lapat.
486 : concile de Séleucie.
490-502 : concile d'Arles II. Actes : textes canoniques (1997 CDPRZ).
506 : concile d'Agde définit entre autres le rite selon lequel tout catholique doit recevoir la communion 3 fois par an, à Pâques, à la Pentecôte et à Noël.
511 : concile d'Orléans.
516 : concile d'Agaune, modifia la règle jusqu'alors suivie dans le monastère Saint-Maurice d’Agaune.
517 : concile d'Épaone en Burgondie sur l'administration de l'Église.
529 : concile de Vaison.
529 : concile d'Orange, présidé par Césaire, ce concile condamne le semi-pélagianisme et donne une formulation théologique de la grâce telle qu'elle avait été prônée par Augustin, contre ceux qui, comme Jean Cassien, donnaient un rôle plus important au libre arbitre.
535 : concile de Clermont (16 décrets), dont l'évêque sera librement élu par le clergé et le peuple, avec le consentement du métropolitain (archevêque).
549 : le 28 octobre, le cinquième concile d'Orléans, réuni à l'initiative du roi de Paris Childebert Ier, exige du pape qu'il condamne les thèses d'un recueil favorable à Nestorius, insistant sur la nature humaine de Jésus. Il stipule un assentiment royal à l'élection des évêques.
550 : concile de Toul (contre les mariages incestueux).
551 : concile d'Eauze, tenu par les évêques de la Novempopulanie, et présidé par l'évêque métropolitain Aspais.
553 : concile de Paris convoqué par Childebert.
557 : concile de Paris.
561-563 : Ier concile de Braga.
571 : IIe concile de Braga.
573 : concile de Paris.
584 : second concile de Valence10.
589 : IIIe concile de Tolède (Espagne wisigothique).
614 : concile de Paris (15 décrets), dont l'évêque obtient la juridiction exclusive sur les clercs de son diocèse.
647-653 : concile de Chalon-sur-Saône.
649 : concile de Latran (Rome) condamne les monothélistes.
650 : concile de Rouen ; il impose des surveillants pour faire respecter le repos dominical.
694 : concile de Tolède (royaume wisigoth, en Hispanie).
754 : concile de Hiéreia I : condamne l'idolâtrie du culte rendu aux images et reliques, officialise l'iconoclasme.
754 : concile de Quierzy-sur-Oise, convaincu par Chrodegang, Pépin le Bref y fait adopter la liturgie romaine et le chant romain11.
755 : concile de Ver.
757 : concile de Compiègne.
765 : concile d'Attigny.
769 : concile de Latran (Rome).
794 : concile de Francfort (empire d'Occident) sur l'iconoclastie.
809 : concile d'Aix-la-Chapelle (empire d'Occident) ajoute le Filioque pour les Églises franques.
813 : concile de Tours, l'un des cinq conciles régionaux réunis par Charlemagne au mois de mai 813, avec ceux de Mayence, de Chalon, de Reims et d’Arles.
817 : concile d'Aix-la-Chapelle (empire d'Occident), précise la règle d'Aix (à partir de la règle de saint Chrodegang), un peu moins stricte au sujet de la pauvreté.
818-819 : second concile d'Aix-la-Chapelle. Dans les actes du concile : capitulaire civil, capitulaire ecclésiastique (Bor. no 138, manuscrits) ; instructions aux « missi » impériaux (1954 CDHMP).
835 : concile de Thionville.
843 : concile de Germigny.
855 : troisième concile de Valence.
859 : concile de Langres.
862 : concile de Širakawan (Églises arménienne, byzantine et jacobite).
864 : concile de Pitres, le 20 juin.
866 : premier concile de Soissons.
879 : concile régional de Mantaille. Formation du royaume de Provence.
891 : concile de Meung-sur-Loire12.
897 : concile cadavérique de Rome.
909 : concile de Trosly, dans la province de Reims, les évêques proposent d'octroyer un territoire aux Vikings.
994 : concile d'Anse.
989 : concile de Charroux (Auvergne).
1041 : concile de Nice, institution de la trêve de Dieu.
1046 : concile de Sutri (Italie).
1049 : concile de Reims.
Liste des conciles à partir du grand schisme d'Orient en 1054[modifier | modifier le code]
Conciles généraux[modifier | modifier le code]
Les conciles ci-dessous réunissent, en plus des seuls évêques catholiques, les généraux des ordres monastiques, les princes et des universitaires ; tant d'Occident que d'Orient — l'Église catholique englobe l'Occident mais le dépasse tout autant, nombre d'Églises d'Orient étant unies à Rome sans être pour autant de rite latin. Les décrets de ces conciles œcuméniques ne sont actuellement reconnus que par l'Église catholique.
1123 : Ier concile du Latran.
1130 : concile de Clermont. Il condamne la pratique du tournoi.
1139 : IIe concile du Latran.
1179 : IIIe concile du Latran définit les règles pour les élections papales.
1184 : concile de Vérone excommunie les vaudois.
1215 : IVe concile du Latran condamne les vaudois et les albigeois (cathares), décrète sur la confession, la communion, le mariage et la hiérarchie des sièges patriarcaux.
1229 : concile de Toulouse, interdiction de lire la Bible13 ou d'en posséder une dans la langue vernaculaire et de la traduire à partir du latin dans la langue vernaculaire.
1245 : Ier concile de Lyon, réforme les règles d'élection des évêques.
1274 : IIe concile de Lyon, réforme les règles d'élection du pape.
1311-1312 : concile de Vienne condamne des bégards et des béguines.
1414-1418 : concile de Constance, fin du grand schisme d'Occident qui débuta en 1378, à l'ouverture du concile, trois papes se disputent le Saint-Siège.
1431-1442 : concile de Bâle affirme explicitement l'autorité des conciles sur le pape — le conciliarisme, et de ce fait n'est pas compté comme œcuménique ; il fut continué à Ferrare 1438 et à Florence (1439-1445).
1512-1517 : Ve concile du Latran – schisme luthérien (1520) – schisme anglican (1534) condamne la supériorité du concile sur le pape et réaffirme, par la bulle Æternus Pastor, la supériorité du pape.
1545-1563 : concile de Trente définit la foi catholique sur les points niés par le protestantisme et entreprend une réforme radicale du fonctionnement de l'Église. Il fixe la doctrine sur le nombre et la nature des sacrements, réorganise l'Église autour du prêtre et renforce la primauté du pape.
1869-1870 : Ier concile du Vatican, définit le dogme de l'infaillibilité pontificale.
1962-1965 : IIe concile du Vatican.
Autres conciles[modifier | modifier le code]
1059 : concile de Rome sur la présence réelle et contre Béranger de Tours.
1080 : concile d’Avignon, qui révoque l’archevêque d’Arles Aicard, et nomme officiellement Gibelin sur ce diocèse. Gibelin est consacré par le pape.
1082 : concile de Meaux14.
1087 : concile de Bénévent.
1095 : concile de Plaisance.
1095 : concile de Clermont, prédication de la première croisade par le pape Urbain II.
1107 : concile de Troyes (France) sur les investitures.
1121 : deuxième concile de Soissons. Condamne Abélard.
1140 : concile de Sens (France) condamnation d'Abélard à l'instigation de saint Bernard.
1140 : concile de Dieulouard (Lorraine).
1160 : concile de Pavie (Italie) sur la succession d'Adrien IV.
1227 : concile de Narbonne.
1252 : concile de Sens, tenu à Paris15.
1253 : concile de Paris (novembre). À la suite du meurtre du chantre de l'église de Chartres, le clergé de la cathédrale de Chartres est transféré à Mantes15.
1255 : concile de Paris. Sentence contre les meurtriers du chantre de l'église de Chartres15.
1256 : concile de Paris. Débat sur les clercs chartrains mêlés au meurtre du chantre15.
1274 : concile de Lyon.
1311 : concile de Vienne.
1326 : concile de Saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.
1337 : nouveau concile de Saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé à nouveau par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.
1347 : concile de Sens, 14 mars 134616.
1409 : concile de Pise (Italie) — convoqué pour tenter de régler le sérieux problème du grand schisme d'Occident.
1414-1418 : concile de Constance — résout la crise sus-nommée.
1423 : concile de Pavie (Italie).
1431-1449 : concile de Bâle (Suisse).
1551 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.
1567 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.
1583 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque saint Turibio de Mongrovejo ?
1727 : concile d'Embrun, archevêché d'Embrun — convoqué par l'archevêque Pierre Guérin de Tencin pour déposer l'évêque Mgr Soanen.
1601 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque saint Turibio de Mongrovejo.
1772 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Diego Antonio de Posada.
1797 : concile de Paris17 (Église constitutionnelle).
1800 : concile de Rouen (Église constitutionnelle).
1801 : concile de Paris17 (Église constitutionnelle).
1811 : concile de Paris.
Preuves en sont :
Apocalypse 13:18
"C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six."
Apocalypse 13
10 "Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. 11 Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. "
Constantin Satan, les rois sont les 8 papes déclarés souverains en titre pontifical depuis 1929 accord de Latran déclarant le Vatican un état pour part entière, le pape ayant pouvoir d'autorité de gouvernance régnant sur ses sujets.
Pourquoi Satan en Constantin ?
Parce qu'il est l'empereur qui a su jouer de ruse pour s'approprier l'ensemble du peuple romain qui se divisaient alors car d'un côté des sujets païens adorateurs des dieux et de l'autre des romains mus par la foi chrétienne dont le nombre augmentait de jours en jours.
Tout chrétien sait que la foi c'est Dieu qui la donne gratuitement dès lors Jésus est mort pour que nous l'ayons tous.
Se servir de torches humaines dans les rues de Rome afin de dissuader n'avait aucune emprise, il fallait trouver un subterfuge et Constantin l'a trouvé en inventant une soi disant apparition divine qui lui a donné à lui du prestige "avec ce signe tu vaincras" et désormais ayant mis les chrétiens dans sa poche et ayant étendu son pouvoir à tous les romains du royaume, il a pu vaquer à d'autres occupations qui lui tenaient à cœur, entre autres, donner à Byzance son Nom soit Constantinople lui qui n'a pas pu donner son nom à Rome, il l'a fait pas loin, en Turquie.
Mais il réunit d'une manière sérieuse tous les évêques d'alentour pour que tous unanimement répandent une même et seule Bonne Nouvelle, selon ses prescriptions à lui Constantin.
Donc en 325 Constantin a promu cette loi terrestre pour l'ensemble des chrétiens :
325 : Ier concile de Nicée dit concile des cinq patriarcats, il condamne la gnose et l'arianisme (doctrine d'Arius). Adoption du Symbole de Nicée. Adoption de la consubstantialité du Père et du Fils. Fixation de la date de Pâques. Adoption de l'ordre des sièges patriarcaux Rome, Alexandrie, Antioche et Jérusalem. Adoption du dogme de la trinité.
Constantin a donné par ce premier concile mot d'ordre et tous les autres ont suivi.
Par conséquent la Chrétienté, tenue prisonnière par Satan, a fait des émules parmi les prêtres qui ont continué à perpétrer le mensonge à travers le temps, c'est pour cela que les prêtres d'aujourd'hui montrent une image si peu crédibles de la foi car Dieu bien sûr ne base pas la Chrétienté sur le mensonge.
381 : Ier concile de Constantinople (Églises des deux conciles) contre la négation de la divinité du Saint-Esprit et contre les ariens. Adoptions de la consubstantialité de l'Esprit saint avec le Père et le Fils, du Symbole de Nicée-Constantinople. Attribue le 2e rang au siège patriarcal de Constantinople, reléguant Alexandrie au troisième rang.
431 : Ier concile d'Éphèse (Églises des trois conciles) proclame Marie Mère de Dieu et condamne Nestorius. Proclame l'Unité de Personne en Jésus-Christ. Adoption du Symbole d'Éphèse en 433.
451 : concile de Chalcédoine condamne la doctrine d'Eutychès selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, Divine, la nature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature divine, doctrine dite des monophysites. Au contraire, le concile affirme ses deux natures, divine et humaine en l'unique personne de Jésus-Christ. Adoptions du Symbole de Chalcédoine et de la Discipline des Sacrements.
553 : IIe concile de Constantinople condamne les œuvres suspectes du nestorianisme (Cf. Nestorius).
680-681 : IIIe concile de Constantinople condamne le monothélisme. Les monothélites, disciples de Sergius, évêque de Constantinople, modifiaient, en partie, l'erreur d'Eutychès (voir supra) : ils enseignaient qu'il n'y a qu'une seule volonté de Jésus-Christ, la volonté divine qui absorbe et anéantit la volonté humaine.
692 : concile in Trullo, dit aussi synode de Constantinople ou concile Quinisexte : il n'est qu'un complément, sur les seules questions de discipline, aux deux conciles précédents. Il n'a été reçu que par les Églises chrétiennes d'Orient.
787 : IIe concile de Nicée (Églises des sept conciles) condamne l'iconoclasme. Il autorise et précise le culte des images (pas de l'image en elle-même, mais de ce qu'elle entend représenter).
869-870 : IVe concile de Constantinople, contre le schisme de Photius. Ce concile affirme que la Tradition est l'une des règles de foi. La trichotomie est condamnée (l'homme est composé d'un corps, d'une âme et d'un esprit) et la dichotomie est affirmée (l'homme est composé d'un corps et d'une âme). L'Église orthodoxe ne le reconnaît pas.
Autres conciles (régionaux)[modifier | modifier le code]
251 : concile de Carthage accepte la réconciliation des lapsi sous conditions (1993 CHPRZ).
262 : concile de Rome condamne le modalisme.
264 : concile d'Antioche.
268 : concile d'Antioche condamne Malchion et le malchionisme (1904 CHP/ 1917 CPR).
269 : concile d'Antioche condamne Paul de Samosate et sa théorie du logos impersonnel.
305-306 : concile d'Elvire sur le mariage des chrétiens, et sur le célibat des clercs.
314 : concile d'Ancyre, publication de textes canoniques, (de la) Nomination d'évêques ; Acta : « Canones XXV » (1994 CEHP), « Nomina episcoporum » (1993 CDPRZ).
314 : concile d'Arles ; tenu le 1er août 314, ce concile condamne le donatisme (1971 CDPR).
325 : concile d'Antioche, sur la nomination des évêques (1993 CDPRZ).
340 ou 355 : concile de Gangres condamnant Eustathe de Sébaste.
341 : concile d'Antioche.
344 (ou 343) : concile de Sardica en Illyrie5 ; affirme la primauté du pontife romain et combat les ariens.
351 : concile de Sirmium, confirmation de la profession de 342 à Trèves, anathème contre Photin, évêque arien de Sirmium.
353 : concile d'Arles, condamnation d'Athanase, l’évêque d’Alexandrie ; convoqué par l'empereur Constantin II, ce concile consacre la victoire temporaire de l'arianisme.
356 : concile de Béziers – Saturnin, évêque arien d'Arles, exile l'évêque Hilaire.
357 : concile de Sirmium, triomphe du parti radical arien.
358 : concile d'Ancyre, sous la direction de Basile d'Ancyre, de tendance homoiousienne, anathémise le parti arien6.
359 : concile de Sirmium, à l'initiative de Constance II, compromis entre les anoméens et les homéens, appelé par dérision le credo daté.
359 : concile de Rimini. Les évêques de Vienne et de Narbonne suivent leur chef l'évêque d'Arles Saturnin à ce concile qui définit un dogme différent du Symbole de Nicée (dogme arien).
359 : concile de Séleucie.
361 : concile de Paris, condamne Saturnin d'Arles et l'arianisme.
362 : concile d'Alexandrie. Acta : « Epistula synodalis siue Tomus ad Antiochenos » (1979 CHPR).
Entre 343 et 380 : concile de Laodicée : l'invocation de noms angéliques autres que ceux des trois archanges Michel, Gabriel et Raphaël est condamnée pour éviter les pratiques magiques et idolâtres.
374 : concile de Valence7,8 (CPL 1776c).
379 : concile d'Antioche, condamnation du symbolisme (1916 CP).
380 : concile de Saragosse, condamne le priscillianisme.
381 : concile d'Aquilée condamne les évêques ariens Pallade et Sécondien.
382 : concile de Rome condamne l'apollinarisme.
390 : concile de Carthage, définit les règles de nomination des évêques (1972 CHDPRZ).
396 : concile de Nîmes, tenu le 1er octobre (CPL 1779).
4019 : concile de Turin sur les conflits territoriaux et de préséance entre les évêchés d'Arles et Marseille.
402 : concile de Milève pour la Numidie.
410 : concile de Séleucie.
411 ou 412 : concile de Carthage pour l'Afrique proconsulaire.
414 : concile de Jérusalem contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.
414 ou 415 : concile de Diospolis, contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.
415 : synode de Jérusalem.
416 : concile de Milève pour la Numidie.
416 : concile de Carthage.
418 : 16e concile de Carthage, pour l'Afrique proconsulaire et la Numidie.
441 : premier concile d'Orange.
449 : second concile d'Éphèse, aussi connu sous le nom de « Brigandage d'Éphèse » à la suite de l'annulation de ses actes au concile de Chalcédoine.
465 : concile de Vannes.
484 : concile de Beth Lapat.
486 : concile de Séleucie.
490-502 : concile d'Arles II. Actes : textes canoniques (1997 CDPRZ).
506 : concile d'Agde définit entre autres le rite selon lequel tout catholique doit recevoir la communion 3 fois par an, à Pâques, à la Pentecôte et à Noël.
511 : concile d'Orléans.
516 : concile d'Agaune, modifia la règle jusqu'alors suivie dans le monastère Saint-Maurice d’Agaune.
517 : concile d'Épaone en Burgondie sur l'administration de l'Église.
529 : concile de Vaison.
529 : concile d'Orange, présidé par Césaire, ce concile condamne le semi-pélagianisme et donne une formulation théologique de la grâce telle qu'elle avait été prônée par Augustin, contre ceux qui, comme Jean Cassien, donnaient un rôle plus important au libre arbitre.
535 : concile de Clermont (16 décrets), dont l'évêque sera librement élu par le clergé et le peuple, avec le consentement du métropolitain (archevêque).
549 : le 28 octobre, le cinquième concile d'Orléans, réuni à l'initiative du roi de Paris Childebert Ier, exige du pape qu'il condamne les thèses d'un recueil favorable à Nestorius, insistant sur la nature humaine de Jésus. Il stipule un assentiment royal à l'élection des évêques.
550 : concile de Toul (contre les mariages incestueux).
551 : concile d'Eauze, tenu par les évêques de la Novempopulanie, et présidé par l'évêque métropolitain Aspais.
553 : concile de Paris convoqué par Childebert.
557 : concile de Paris.
561-563 : Ier concile de Braga.
571 : IIe concile de Braga.
573 : concile de Paris.
584 : second concile de Valence10.
589 : IIIe concile de Tolède (Espagne wisigothique).
614 : concile de Paris (15 décrets), dont l'évêque obtient la juridiction exclusive sur les clercs de son diocèse.
647-653 : concile de Chalon-sur-Saône.
649 : concile de Latran (Rome) condamne les monothélistes.
650 : concile de Rouen ; il impose des surveillants pour faire respecter le repos dominical.
694 : concile de Tolède (royaume wisigoth, en Hispanie).
754 : concile de Hiéreia I : condamne l'idolâtrie du culte rendu aux images et reliques, officialise l'iconoclasme.
754 : concile de Quierzy-sur-Oise, convaincu par Chrodegang, Pépin le Bref y fait adopter la liturgie romaine et le chant romain11.
755 : concile de Ver.
757 : concile de Compiègne.
765 : concile d'Attigny.
769 : concile de Latran (Rome).
794 : concile de Francfort (empire d'Occident) sur l'iconoclastie.
809 : concile d'Aix-la-Chapelle (empire d'Occident) ajoute le Filioque pour les Églises franques.
813 : concile de Tours, l'un des cinq conciles régionaux réunis par Charlemagne au mois de mai 813, avec ceux de Mayence, de Chalon, de Reims et d’Arles.
817 : concile d'Aix-la-Chapelle (empire d'Occident), précise la règle d'Aix (à partir de la règle de saint Chrodegang), un peu moins stricte au sujet de la pauvreté.
818-819 : second concile d'Aix-la-Chapelle. Dans les actes du concile : capitulaire civil, capitulaire ecclésiastique (Bor. no 138, manuscrits) ; instructions aux « missi » impériaux (1954 CDHMP).
835 : concile de Thionville.
843 : concile de Germigny.
855 : troisième concile de Valence.
859 : concile de Langres.
862 : concile de Širakawan (Églises arménienne, byzantine et jacobite).
864 : concile de Pitres, le 20 juin.
866 : premier concile de Soissons.
879 : concile régional de Mantaille. Formation du royaume de Provence.
891 : concile de Meung-sur-Loire12.
897 : concile cadavérique de Rome.
909 : concile de Trosly, dans la province de Reims, les évêques proposent d'octroyer un territoire aux Vikings.
994 : concile d'Anse.
989 : concile de Charroux (Auvergne).
1041 : concile de Nice, institution de la trêve de Dieu.
1046 : concile de Sutri (Italie).
1049 : concile de Reims.
Liste des conciles à partir du grand schisme d'Orient en 1054[modifier | modifier le code]
Conciles généraux[modifier | modifier le code]
Les conciles ci-dessous réunissent, en plus des seuls évêques catholiques, les généraux des ordres monastiques, les princes et des universitaires ; tant d'Occident que d'Orient — l'Église catholique englobe l'Occident mais le dépasse tout autant, nombre d'Églises d'Orient étant unies à Rome sans être pour autant de rite latin. Les décrets de ces conciles œcuméniques ne sont actuellement reconnus que par l'Église catholique.
1123 : Ier concile du Latran.
1130 : concile de Clermont. Il condamne la pratique du tournoi.
1139 : IIe concile du Latran.
1179 : IIIe concile du Latran définit les règles pour les élections papales.
1184 : concile de Vérone excommunie les vaudois.
1215 : IVe concile du Latran condamne les vaudois et les albigeois (cathares), décrète sur la confession, la communion, le mariage et la hiérarchie des sièges patriarcaux.
1229 : concile de Toulouse, interdiction de lire la Bible13 ou d'en posséder une dans la langue vernaculaire et de la traduire à partir du latin dans la langue vernaculaire.
1245 : Ier concile de Lyon, réforme les règles d'élection des évêques.
1274 : IIe concile de Lyon, réforme les règles d'élection du pape.
1311-1312 : concile de Vienne condamne des bégards et des béguines.
1414-1418 : concile de Constance, fin du grand schisme d'Occident qui débuta en 1378, à l'ouverture du concile, trois papes se disputent le Saint-Siège.
1431-1442 : concile de Bâle affirme explicitement l'autorité des conciles sur le pape — le conciliarisme, et de ce fait n'est pas compté comme œcuménique ; il fut continué à Ferrare 1438 et à Florence (1439-1445).
1512-1517 : Ve concile du Latran – schisme luthérien (1520) – schisme anglican (1534) condamne la supériorité du concile sur le pape et réaffirme, par la bulle Æternus Pastor, la supériorité du pape.
1545-1563 : concile de Trente définit la foi catholique sur les points niés par le protestantisme et entreprend une réforme radicale du fonctionnement de l'Église. Il fixe la doctrine sur le nombre et la nature des sacrements, réorganise l'Église autour du prêtre et renforce la primauté du pape.
1869-1870 : Ier concile du Vatican, définit le dogme de l'infaillibilité pontificale.
1962-1965 : IIe concile du Vatican.
Autres conciles[modifier | modifier le code]
1059 : concile de Rome sur la présence réelle et contre Béranger de Tours.
1080 : concile d’Avignon, qui révoque l’archevêque d’Arles Aicard, et nomme officiellement Gibelin sur ce diocèse. Gibelin est consacré par le pape.
1082 : concile de Meaux14.
1087 : concile de Bénévent.
1095 : concile de Plaisance.
1095 : concile de Clermont, prédication de la première croisade par le pape Urbain II.
1107 : concile de Troyes (France) sur les investitures.
1121 : deuxième concile de Soissons. Condamne Abélard.
1140 : concile de Sens (France) condamnation d'Abélard à l'instigation de saint Bernard.
1140 : concile de Dieulouard (Lorraine).
1160 : concile de Pavie (Italie) sur la succession d'Adrien IV.
1227 : concile de Narbonne.
1252 : concile de Sens, tenu à Paris15.
1253 : concile de Paris (novembre). À la suite du meurtre du chantre de l'église de Chartres, le clergé de la cathédrale de Chartres est transféré à Mantes15.
1255 : concile de Paris. Sentence contre les meurtriers du chantre de l'église de Chartres15.
1256 : concile de Paris. Débat sur les clercs chartrains mêlés au meurtre du chantre15.
1274 : concile de Lyon.
1311 : concile de Vienne.
1326 : concile de Saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.
1337 : nouveau concile de Saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé à nouveau par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.
1347 : concile de Sens, 14 mars 134616.
1409 : concile de Pise (Italie) — convoqué pour tenter de régler le sérieux problème du grand schisme d'Occident.
1414-1418 : concile de Constance — résout la crise sus-nommée.
1423 : concile de Pavie (Italie).
1431-1449 : concile de Bâle (Suisse).
1551 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.
1567 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.
1583 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque saint Turibio de Mongrovejo ?
1727 : concile d'Embrun, archevêché d'Embrun — convoqué par l'archevêque Pierre Guérin de Tencin pour déposer l'évêque Mgr Soanen.
1601 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque saint Turibio de Mongrovejo.
1772 : concile de Lima (Pérou) — convoqué pour l'archevêque Diego Antonio de Posada.
1797 : concile de Paris17 (Église constitutionnelle).
1800 : concile de Rouen (Église constitutionnelle).
1801 : concile de Paris17 (Église constitutionnelle).
1811 : concile de Paris.



"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 04 oct.18, 21:49L'infamie dans l'église est que les judéo chrétiens ont pris le diable, Satan, et en ont fait leur dieu à l'aide de l'argent et de l'armée romaine.
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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 04 oct.18, 23:36Et c'est la même personne qui nous affirme que l'apostasie ne commence que maintenant et que l'Eglise Catholique est l'Eglise de Dieu




Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 05 oct.18, 01:04Estrabolio a écrit :Et c'est la même personne qui nous affirme que l'apostasie ne commence que maintenant![]()
![]()

Donc puisque le feu précède l'Avènement de Jésus et que l'apostasie précède le feu, l'apostasie n'a pas encore lieu..



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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 01 nov.18, 10:28Il faut cliquer sur le lien, la vidéo a été désactivée si elle n'est pas regardée sur YouTube directement.
https://www.youtube.com/watch?v=JmnouTMLntg
Le 31 octobre 2018
https://www.youtube.com/watch?v=JmnouTMLntg
Le 31 octobre 2018



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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 01 nov.18, 10:37Sauf que si l'apostasie se produit DEPUIS le premier siècle, elle précède bien le feu !prisca a écrit :Donc puisque le feu précède l'Avènement de Jésus et que l'apostasie précède le feu, l'apostasie n'a pas encore lieu..
Pierre a montré que les derniers jours commençaient à la pentecôte de l'an 33 puisqu'il a dit que s'accomplissait la prophétie de Joël, Jean confirme en écrivant, en tant que dernier apôtre, que la dernière heure est commencée. Il ne parle évidemment pas de sa propre dernière heure puisqu'il parle des antéchrists, il parle donc de la dernière heure de l'Eglise.
D'ailleurs Jésus a annoncé l'apostasie dans la parabole du bon grain mais il a dit aussi Jean 9:4Il faut que je fasse, tandis qu'il est jour, les oeuvres de celui qui m'a envoyé; la nuit vient, où personne ne peut travailler. 5Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.…" parlant ainsi de la nuit de l'apostasie qui allait s'abattre sur l'Eglise dés qu'il serait mort avec l'adversaire venant semer l'ivraie...
Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 01 nov.18, 10:57Déjà l'apostasie signifie que des gens renoncent à la foi chrétienne.
Est ce que tu as été témoin que depuis que le Christianisme existe que des gens ont renoncé à la foi chrétienne ? Oui ? Quand ?
Ensuite Pierre annonce qu'en ce jour c'est à dire à l'Avènement de Jésus les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu'elle renferme sera consumée. Est ce que tu as entendu dire que les cieux sont passés avec fracas, que les éléments embrasés se sont dissous , et que la terre avec les oeuvres qu'elle renferme s'est consumée. ? Si oui quand ?
Est ce que tu as été témoin que depuis que le Christianisme existe que des gens ont renoncé à la foi chrétienne ? Oui ? Quand ?
Ensuite Pierre annonce qu'en ce jour c'est à dire à l'Avènement de Jésus les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu'elle renferme sera consumée. Est ce que tu as entendu dire que les cieux sont passés avec fracas, que les éléments embrasés se sont dissous , et que la terre avec les oeuvres qu'elle renferme s'est consumée. ? Si oui quand ?



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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 24 nov.18, 03:23
Comment des gens qui s'arguent d'être des chrétiens peuvent ils être sourds à l'offense en exposant à tour de bras des statues à l'effigie de dieux alors que Dieu est clair à ce sujet : il n'y a pas d'autre Dieu que Dieu.
Ils n'ont pas lu Esaïe ? Ils sont idiots ?






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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 24 nov.18, 12:24Ils sont civilisés et préfèrent la beauté à l'obscurantisme.prisca a écrit :Ils n'ont pas lu Esaïe ? Ils sont idiots ?
Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 24 nov.18, 21:54prisca a écrit :Ils n'ont pas lu Esaïe ? Ils sont idiots ?
Les athées dont tu es ne comprennent pas qu'il est terrible de faire une telle offense à Dieu du fait que l'Eglise est un édifice de rassemblement des CHRETIENS et qu'il n'y a aucune place DONC à l'adoration d'idoles.Saint Glinglin a écrit :
Ils sont civilisés et préfèrent la beauté à l'obscurantisme.
Si c'est la beauté de la sculpture, il y a des musées pour ça.
Comme il y a des musées pour l'Egypte ancienne.
Comme il y a des musées pour l'holocauste des Juifs.
Pour l'histoire donc, il y a des lieux pour les expositions et pour raconter l'histoire, mais pas l'Eglise, même si ces gens là disent que c'est dans une aile du Vatican qu'ils appellent musée, parce qu'une aile d'une Eglise reste toujours l'Eglise qui est d'ailleurs bordée de statues, surmontée de statue, et parts et autres il y a des statues.
Comme la Bible le dit Esaïe 21:9
"Et voici, il vient de la cavalerie, des cavaliers deux à deux ! Elle prit encore la parole, et dit : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone, Et toutes les images de ses dieux sont brisées par terre !-"



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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 24 nov.18, 23:47Les statues sont faites pour être contemplées et non adorées.
Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 25 nov.18, 03:57Saint Glinglin a écrit :Les statues sont faites pour être contemplées et non adorées.
Dans l'église, on expose pas des effigies à des personnes ayant vécu ou imaginaires comme les dieux grecs ou romains, car l'église est un lieu dédié à Dieu et non pas à des hommes et des femmes ni à des dieux et des déesses mythologiques.
Dieu est Vivant donc encore une fois, toi athée, tu n'as pas conscience que c'est un outrage, parce que tu n'as aucune notion de ce que représente le respect envers Dieu.
Le culte des Saints et la prière des gens qui visitent les églises et se mettent à genoux devant eux pour intercéder auprès de Dieu est une hérésie car déjà les saints n'ont pas à être exposés ni à être quémandés c'est ridicule, c'est comme si un jour toi St Glinglin, tu arrives à la sanctification et on met une statue qui te représente dans une église, c'est d'un ridicule car comme CQFD tout le monde doit parvenir à se rendre saint parce que le Paradis n'accueille que des Saints, on ne va pas vénérer tous les humains de la terre à tour de rôle.
Seulement les catholiques sont venus à faire croire que les saints sont des gens à part et qu'ils méritent à être élevés par des statues comme ce pseudo saint là, Escriva de Balaguer qui fait des émules car des milliers de personnes le prient or, il se trouve qu'Escriva de Balaguer déjà n'est surement pas au Ciel puisque les catholiques d'un côté savent que les vivants et les morts sont jugés à la fin des temps, donc ces pseudo saints ne sont déjà pas au Ciel donc je ne vois pas qui ils prient, déjà, et de plus ils ne sont pas saints, car il n'y a que Dieu qui juge les vivants et les morts, et voilà que la papauté a décrété, en bon antichrist qu'elle est, à dire qu'untel est saint et l'autre pas, donc non seulement il y a une vaste exposition de pseudo saints (sainte Hélène par exemple qui est la Jézabel dont parle la Bible donc voilà qu'ils exposent des diablesses) et en plus réincarnés jusqu'à la fin des temps, ils sont parmi nous, en anonymat, parce que même pas eux savent qu'ils sont là, à faire leur preuve jusqu'à la fin des temps, car avant l'heure ce n'est pas l'heure.
En fait tout cet apparat, ce pourpre, est une vaste mascarade. qui va être mise à mal dans peu de temps.





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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 25 nov.18, 04:20Je suis cultivé et tu es inculte. C'est ce qui nous différencie.prisca a écrit :Dans l'église, on expose pas des effigies à des personnes ayant vécu ou imaginaires comme les dieux grecs ou romains, car l'église est un lieu dédié à Dieu et non pas à des hommes et des femmes ni à des dieux et des déesses mythologiques.
Dieu est Vivant donc encore une fois, toi athée, tu n'as pas conscience que c'est un outrage, parce que tu n'as aucune notion de ce que représente le respect envers Dieu.
Il n'y a pas de statues de dieux grecs dans les églises.
Et Prisca excommunie Jésus-Christ :Le culte des Saints et la prière des gens qui visitent les églises et se mettent à genoux devant eux pour intercéder auprès de Dieu est une hérésie car déjà les saints n'ont pas à être exposés ni à être quémandés c'est ridicule, c'est comme si un jour toi St Glinglin, tu arrives à la sanctification et on met une statue qui te représente dans une église, c'est d'un ridicule car comme CQFD tout le monde doit parvenir à se rendre saint parce que le Paradis n'accueille que des Saints, on ne va pas vénérer tous les humains de la terre à tour de rôle.
Mc 16.16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Les catholiques connaissent mieux les Evangiles que toi :Seulement les catholiques sont venus à faire croire que les saints sont des gens à part et qu'ils méritent à être élevés par des statues comme ce pseudo saint là, Escriva de Balaguer qui fait des émules car des milliers de personnes le prient or, il se trouve qu'Escriva de Balaguer déjà n'est surement pas au Ciel puisque les catholiques d'un côté savent que les vivants et les morts sont jugés à la fin des temps, donc ces pseudo saints ne sont déjà pas au Ciel donc je ne vois pas qui ils prient, déjà, et de plus ils ne sont pas saints, car il n'y a que Dieu qui juge les vivants et les morts, et voilà que la papauté a décrété, en bon antichrist qu'elle est, à dire qu'untel est saint et l'autre pas, donc non seulement il y a une vaste exposition de pseudo saints (sainte Hélène par exemple qui est la Jézabel dont parle la Bible donc voilà qu'ils exposent des diablesses) et en plus réincarnés jusqu'à la fin des temps, ils sont parmi nous, en anonymat, parce que même pas eux savent qu'ils sont là, à faire leur preuve jusqu'à la fin des temps, car avant l'heure ce n'est pas l'heure.
Lc 23.42 Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne.
23.43 Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis.
Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 25 nov.18, 04:45prisca a écrit :Dans l'église, on expose pas des effigies à des personnes ayant vécu ou imaginaires comme les dieux grecs ou romains, car l'église est un lieu dédié à Dieu et non pas à des hommes et des femmes ni à des dieux et des déesses mythologiques.
Dieu est Vivant donc encore une fois, toi athée, tu n'as pas conscience que c'est un outrage, parce que tu n'as aucune notion de ce que représente le respect envers Dieu.
Oui il y a Apollon au VaticanSaint Glinglin a écrit : Je suis cultivé et tu es inculte. C'est ce qui nous différencie.
Il n'y a pas de statues de dieux grecs dans les églises.

prisca a écrit :Le culte des Saints et la prière des gens qui visitent les églises et se mettent à genoux devant eux pour intercéder auprès de Dieu est une hérésie car déjà les saints n'ont pas à être exposés ni à être quémandés c'est ridicule, c'est comme si un jour toi St Glinglin, tu arrives à la sanctification et on met une statue qui te représente dans une église, c'est d'un ridicule car comme CQFD tout le monde doit parvenir à se rendre saint parce que le Paradis n'accueille que des Saints, on ne va pas vénérer tous les humains de la terre à tour de rôle.
Aucun lien entre ce que je dis et ce que tu réponds.Saint Glinglin a écrit : Et Prisca excommunie Jésus-Christ :
Mc 16.16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
prisca a écrit :Seulement les catholiques sont venus à faire croire que les saints sont des gens à part et qu'ils méritent à être élevés par des statues comme ce pseudo saint là, Escriva de Balaguer qui fait des émules car des milliers de personnes le prient or, il se trouve qu'Escriva de Balaguer déjà n'est surement pas au Ciel puisque les catholiques d'un côté savent que les vivants et les morts sont jugés à la fin des temps, donc ces pseudo saints ne sont déjà pas au Ciel donc je ne vois pas qui ils prient, déjà, et de plus ils ne sont pas saints, car il n'y a que Dieu qui juge les vivants et les morts, et voilà que la papauté a décrété, en bon antichrist qu'elle est, à dire qu'untel est saint et l'autre pas, donc non seulement il y a une vaste exposition de pseudo saints (sainte Hélène par exemple qui est la Jézabel dont parle la Bible donc voilà qu'ils exposent des diablesses) et en plus réincarnés jusqu'à la fin des temps, ils sont parmi nous, en anonymat, parce que même pas eux savent qu'ils sont là, à faire leur preuve jusqu'à la fin des temps, car avant l'heure ce n'est pas l'heure.
Saint Glinglin a écrit : Les catholiques connaissent mieux les Evangiles que toi :
Lc 23.42 Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne.
23.43 Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis.
"Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis."
Jésus a dit aujourd'hui même au bon laron qu'il sera au Paradis avec lui, le jour venu bien sûr.
Tout le monde le sait que ce n'est qu'au Jugement Dernier que les vivants et les morts seront jugés.



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Re: La raison de l'infamie dans l'église
Ecrit le 25 nov.18, 05:17Saint Glinglin a écrit :Je suis cultivé et tu es inculte. C'est ce qui nous différencie.
Il n'y a pas de statues de dieux grecs dans les églises.
Dans un musée.prisca a écrit :Oui il y a Apollon au Vatican
Saint Glinglin a écrit :Et Prisca excommunie Jésus-Christ :
Mc 16.16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Tu ferais bien de te relire.prisca a écrit :Aucun lien entre ce que je dis et ce que tu réponds.
Saint Glinglin a écrit :Les catholiques connaissent mieux les Evangiles que toi :
Lc 23.42 Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne.
23.43 Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis.
Jésus dit "moi je vous dis" ou "en vérité je vous dis" mais jamais "aujourd'hui je vous dis".prisca a écrit :"Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis."
Jésus a dit aujourd'hui même au bon laron qu'il sera au Paradis avec lui, le jour venu bien sûr.
Le dogme n'est pas à une contradiction près.Tout le monde le sait que ce n'est qu'au Jugement Dernier que les vivants et les morts seront jugés.
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