agecanonix a écrit : ↑04 nov.24, 08:25
2 Cor 5:20
- Nous faisons donc 3767 les fonctions d'ambassadeurs 4243 5719 pour 5228 Christ 5547
https://www.lueur.org/bible/2corinthien ... ond-strong
Philémon 1:13
- J 1473'aurais désiré 1014 5711 le 3739 retenir 2722 5721 auprès 4314 de moi 1683, pour 2443 qu'il me 3427 servît 1247 5725 à ta 4675 place 5228
https://www.lueur.org/bible/philemon1.13/segond-strong.
Nous avons bien le même mot grec ὑπέρ (huper) - Strong 5228, traduit par "pour" dans ta version de 2 Corinthiens 2, et par "à la place" dans cette autre version qui n'est pas la TMN.
Je rappelle, à toute fin utile, que les codes strong, des nombres comme ici le 5228, suivent immédiatement les mots qui les traduisent.
Par exemple, en 1 Cor 2, la fin se termine par le code 5547 qui signifie "Christ". Le précédent, 5228, peut donc être traduit, comme en Philémon, par "à la place de".
Donc, je confirme que le code 5228 se trouve bien en Philémon et qu'il a été traduit par "à la place" ...
Tu ne vas pas nous refaire le coup des sauterelles à 4 pattes .
Le 2443 est situé 5 places avant le 5228 et je ne vois pas où tu trouves le 4012 en Philémon.
Tu ne vas pas nous refaire le coup de la virgule...
2 Corinthiens 5:20 : Dans ce verset, le contexte parle de l’œuvre de réconciliation opérée par Dieu en Christ et du rôle des apôtres en tant qu’ambassadeurs. Le passage dit : « Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ». Ici, « ὑπέρ » est traduit par « pour » parce qu’il exprime une notion de représentation ou de médiation. Les apôtres sont envoyés pour représenter Christ et son message. On peut comprendre « pour » dans le sens de « au nom de » ou « en faveur de ».
Philémon 1:13 : Dans ce verset, Paul exprime qu’il aurait voulu que Philémon laisse Onésime rester auprès de lui pour l’assister « à sa place ». Ici, « ὑπέρ » est traduit par « à la place de » parce qu'il exprime l’idée de substitution. Onésime, l’esclave de Philémon, serait ainsi resté pour le servir « à la place » de son maître absent.
Dans les deux cas, le même mot grec est utilisé,
mais il prend une nuance de sens en fonction de l’intention du texte. Dans le premier cas, « ὑπέρ » exprime
la représentation, et
dans le second, il exprime la substitution. Ces traductions visent donc à rendre au mieux le sens original dans un contexte particulier pour être compréhensibles en français.
Tu vois bien que c'est illicite !