Elections américaines 2016
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Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 09 nov.16, 00:44Pouvons nous parlez d'une victoire de la démocratie?
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 09 nov.16, 01:26Donald Trump annonce qu’il obligera les Alliés – dont la France – à entrer en guerre contre l’islamisme global
Posted by La Rédaction on 6th septembre 2016 | 2259 views

BREIZATAO – ETREBROADEL (06/09/2016) Absolument pas rapporté dans les médias hexagonaux, le discours de politique étrangère de Donald Trump, prononcé le 15 août 2016 à l’université d’état de Youngstown (Ohio), marque un tournant historique et se voulant comme tel.
Déclaration de guerre formelle et globale contre l’islamisme
Dans celui-ci, le candidat républicain rompt avec plus d’une dizaine d’années de coopération active avec l’islamisme – Frères Musulmans en tête – de la part des administrations Bush et Obama, notamment au Moyen-Orient. Politique qui a également été suivie par l’ambassade américaine en France (lire ici) où la CIA a activement fait pression en faveur de l’islam, d’organisations islamistes et de l’immigration de masse afro-musulmane.
Donald Trump consacre l’essentiel de ce discours à la lutte contre l’islam radical, enterrant au passage toute la politique moyen-orientale US entamée à partir de 2001.
Le candidat républicain place son discours dans une perspective historique : la victoire contre le communisme remportée sous Ronald Reagan. Pour le candidat à la présidence américaine, la question ne fait pas le moindre doute : les USA sont en guerre contre l’islam radical et cette guerre est globale, équivalente à celle menée contre le communisme pendant près de 50 ans.
Elle implique, pour lui et sa future administration en cas de victoire à l’élection présidentielle US de novembre, un alignement de l’Otan et des Alliés – dont la France – dans cette guerre contre l’Occident déclarée par le monde musulman radicalisé. Et ceci tant en Europe que partout dans le monde.
Extraits du discours traduit par BREIZ ATAO (source) :
Au XXème siècle, les États-Unis ont vaincu le fascisme, le nazisme et le communisme. Maintenant, une menace différente pose un défi à notre monde : le terrorisme islamique radical.
Donald Trump dénonce formellement le Discours du Caire de Barack Obama, prononcé en 2009, point majeur de la collaboration active entre le Parti Démocrate américain au pouvoir à Washington et les Frères Musulmans. Largement influencé par une vision tiers-mondiste, il faisait l’apologie de l’islam et dénigrait l’Amérique et l’Occident.
Peut-être qu’aucun discours n’a été aussi erroné que le discours du président Obama au monde musulman donné au Caire, en Égypte, en 2009.
En gagnant la Guerre Froide, le président Ronald Reagan a constamment rappelé la supériorité de la liberté sur le communisme et appelé l’URSS « l’Empire du Mal ».
Pourtant, quand le président Obama a donné son discours au Caire, aucun courage de cet ordre ne peut être trouvé […] Ses mots naïfs furent suivis d’actions encore plus naïves.
L’heure est venue pour une nouvelle approche.
Notre stratégie actuelle d’exportation de la démocratie et de changement de régime est un échec avéré. Nous avons créé les vides qui ont permis aux terroristes de croître et de prospérer.
Après avoir dénoncé l’intervention en Libye décidée par Clinton au profit des Frères Musulmans, Donald Trump poursuit en indiquant que les alliés des USA – dont la France – auront l’obligation de s’aligner et de combattre l’ennemi nouvellement désigné :
J’étais un opposant à la guerre d’Irak depuis le début, une différence majeure entre moi et mon adversaire.
Mais il est temps de mettre les erreurs du passé derrière nous et de dessiner une nouvelle voie.
Si je deviens président, l’ère de la construction [armée, NDLR] de la démocratie sera terminée. Notre nouvelle approche – qui doit être partagée par les deux partis en Amérique, par nos alliés outre-mer, et par nos amis au Moyen-Orient – devra être de stopper l’expansion de l’islam radical.
Toutes les actions devraient être orientées vers ce but et n’importe quel pays qui partage ce but sera notre allié. Nous ne pouvons pas toujours choisir nos amis mais nous ne pouvons jamais échouer à reconnaître nos ennemis.
En tant que président, j’appellerai pour une conférence internationale centrée sur ce but. Nous travaillerons avec tous ceux qui reconnaissent que cette idéologie de mort doit être éteinte.
Nous travaillerons aussi étroitement avec l’Otan sur cette nouvelle mission.
Donald Trump évoque une nouvelle ère dans les relations américano-russes :
Je crois également que nous pourrions trouver un terrain d’entente avec la Russie dans le combat contre l’État Islamique. Ils ont également beaucoup en jeu dans le résultat de la guerre en Syrie et ont eu leurs propres batailles contre le terrorisme islamique.
Le candidat a également présenté l’enjeu central de la lutte idéologique contre l’islam radical :
Le lutte militaire, cyber et financière sera essentielle dans le démantèlement du terrorisme islamique. Mais nous devons également utilisé la guerre idéologique.
Exactement comme nous avons gagné la Guerre Froide, en partie, en exposant les maux du communisme et les vertus du marché libre, nous devons également confronter l’idéologie de l’Islam Radical.
Pour vaincre le terrorisme islamique, nous devons également parler puissamment contre l’idéologie haineuse qui fournit le terreau fertile pour que la violence et le terrorisme croissent.
Donald Trump a logiquement établi un lien de causalité entre le terrorisme islamique et l’immigration musulmane, annonçant des mesures de guerre pour encadrer cette menace.
Des sondages montrent que dans beaucoup de pays dans lesquels se trouvent de nombreux immigrés, les opinions extrémistes religieuses – telle que la peine de mort pour ceux qui abandonnent la foi – sont courantes.
Durant la Guerre Froide, nous avions une évaluation idéologique. Le temps est venu de développer des tests d’évaluation pour les menaces que nous affrontons aujourd’hui.
En plus d’analyser tous les membres ou les sympathisants de groupes terroristes, nous devons également analyser tous ceux qui ont des attitudes hostiles à l’encontre de nos pays ou de ses principes, ou qui pensent que la charia [la loi islamique, NDLR] devrait supplanter la loi américaine.
Pour mettre en place ces nouvelles procédures, nous devrons temporairement suspendre l’immigration de certains des régions les plus dangereuses et instables du monde qui ont un historique d’exportation du terrorisme.
Entreprenant de réduire à néant la politique pro-islamique de l’administration Obama, Donald Trump annonce une politique de destruction systématique de tous les réseaux musulmans actifs aux USA :
Pour atteindre un but, vous devez vous fixer une mission : les réseaux de soutien aux à l’islam radical dans ce pays seront dénombrés et extirpés, un par un.
Analyse : Il ne fait pas de doute que ce discours constituerait une rupture historique dans les rapports entre l’Occident et le monde musulman, ravagé par la prolifération de l’islamisme. C’est un discours de guerre qui désigne formellement l’ennemi et détaille toutes les sphères où la lutte serait engagée une fois Donald Trump élu président des USA.
Outre cette rupture historique et ce passage du pacifisme – voire de la bienveillance à l’égard du monde musulman et de ses ferments islamistes – à la contre-attaque, la première puissance du globe imposerait à ses alliés européens d’entrer en guerre contre l’ennemi précité.
Cette rupture imposée par les USA et l’Otan en cas de victoire de Trump heurterait de plein fouet la politique pro-musulmane de la France, tant en termes géopolitiques que de politique intérieure, notamment migratoire. De fortes tensions entre forces pro-musulmanes et anti-musulmanes, au sein de la société comme dans l’appareil d’état, ne manqueraient pas d’éclater.
BREIZ ATAO soutiendra, en Bretagne, les objectifs fondamentaux énoncés par Donald Trump dans le domaine de l’information. Les intérêts bretons et américains convergeant dans cette lutte existentielle contre l’islam
Posted by La Rédaction on 6th septembre 2016 | 2259 views

BREIZATAO – ETREBROADEL (06/09/2016) Absolument pas rapporté dans les médias hexagonaux, le discours de politique étrangère de Donald Trump, prononcé le 15 août 2016 à l’université d’état de Youngstown (Ohio), marque un tournant historique et se voulant comme tel.
Déclaration de guerre formelle et globale contre l’islamisme
Dans celui-ci, le candidat républicain rompt avec plus d’une dizaine d’années de coopération active avec l’islamisme – Frères Musulmans en tête – de la part des administrations Bush et Obama, notamment au Moyen-Orient. Politique qui a également été suivie par l’ambassade américaine en France (lire ici) où la CIA a activement fait pression en faveur de l’islam, d’organisations islamistes et de l’immigration de masse afro-musulmane.
Donald Trump consacre l’essentiel de ce discours à la lutte contre l’islam radical, enterrant au passage toute la politique moyen-orientale US entamée à partir de 2001.
Le candidat républicain place son discours dans une perspective historique : la victoire contre le communisme remportée sous Ronald Reagan. Pour le candidat à la présidence américaine, la question ne fait pas le moindre doute : les USA sont en guerre contre l’islam radical et cette guerre est globale, équivalente à celle menée contre le communisme pendant près de 50 ans.
Elle implique, pour lui et sa future administration en cas de victoire à l’élection présidentielle US de novembre, un alignement de l’Otan et des Alliés – dont la France – dans cette guerre contre l’Occident déclarée par le monde musulman radicalisé. Et ceci tant en Europe que partout dans le monde.
Extraits du discours traduit par BREIZ ATAO (source) :
Au XXème siècle, les États-Unis ont vaincu le fascisme, le nazisme et le communisme. Maintenant, une menace différente pose un défi à notre monde : le terrorisme islamique radical.
Donald Trump dénonce formellement le Discours du Caire de Barack Obama, prononcé en 2009, point majeur de la collaboration active entre le Parti Démocrate américain au pouvoir à Washington et les Frères Musulmans. Largement influencé par une vision tiers-mondiste, il faisait l’apologie de l’islam et dénigrait l’Amérique et l’Occident.
Peut-être qu’aucun discours n’a été aussi erroné que le discours du président Obama au monde musulman donné au Caire, en Égypte, en 2009.
En gagnant la Guerre Froide, le président Ronald Reagan a constamment rappelé la supériorité de la liberté sur le communisme et appelé l’URSS « l’Empire du Mal ».
Pourtant, quand le président Obama a donné son discours au Caire, aucun courage de cet ordre ne peut être trouvé […] Ses mots naïfs furent suivis d’actions encore plus naïves.
L’heure est venue pour une nouvelle approche.
Notre stratégie actuelle d’exportation de la démocratie et de changement de régime est un échec avéré. Nous avons créé les vides qui ont permis aux terroristes de croître et de prospérer.
Après avoir dénoncé l’intervention en Libye décidée par Clinton au profit des Frères Musulmans, Donald Trump poursuit en indiquant que les alliés des USA – dont la France – auront l’obligation de s’aligner et de combattre l’ennemi nouvellement désigné :
J’étais un opposant à la guerre d’Irak depuis le début, une différence majeure entre moi et mon adversaire.
Mais il est temps de mettre les erreurs du passé derrière nous et de dessiner une nouvelle voie.
Si je deviens président, l’ère de la construction [armée, NDLR] de la démocratie sera terminée. Notre nouvelle approche – qui doit être partagée par les deux partis en Amérique, par nos alliés outre-mer, et par nos amis au Moyen-Orient – devra être de stopper l’expansion de l’islam radical.
Toutes les actions devraient être orientées vers ce but et n’importe quel pays qui partage ce but sera notre allié. Nous ne pouvons pas toujours choisir nos amis mais nous ne pouvons jamais échouer à reconnaître nos ennemis.
En tant que président, j’appellerai pour une conférence internationale centrée sur ce but. Nous travaillerons avec tous ceux qui reconnaissent que cette idéologie de mort doit être éteinte.
Nous travaillerons aussi étroitement avec l’Otan sur cette nouvelle mission.
Donald Trump évoque une nouvelle ère dans les relations américano-russes :
Je crois également que nous pourrions trouver un terrain d’entente avec la Russie dans le combat contre l’État Islamique. Ils ont également beaucoup en jeu dans le résultat de la guerre en Syrie et ont eu leurs propres batailles contre le terrorisme islamique.
Le candidat a également présenté l’enjeu central de la lutte idéologique contre l’islam radical :
Le lutte militaire, cyber et financière sera essentielle dans le démantèlement du terrorisme islamique. Mais nous devons également utilisé la guerre idéologique.
Exactement comme nous avons gagné la Guerre Froide, en partie, en exposant les maux du communisme et les vertus du marché libre, nous devons également confronter l’idéologie de l’Islam Radical.
Pour vaincre le terrorisme islamique, nous devons également parler puissamment contre l’idéologie haineuse qui fournit le terreau fertile pour que la violence et le terrorisme croissent.
Donald Trump a logiquement établi un lien de causalité entre le terrorisme islamique et l’immigration musulmane, annonçant des mesures de guerre pour encadrer cette menace.
Des sondages montrent que dans beaucoup de pays dans lesquels se trouvent de nombreux immigrés, les opinions extrémistes religieuses – telle que la peine de mort pour ceux qui abandonnent la foi – sont courantes.
Durant la Guerre Froide, nous avions une évaluation idéologique. Le temps est venu de développer des tests d’évaluation pour les menaces que nous affrontons aujourd’hui.
En plus d’analyser tous les membres ou les sympathisants de groupes terroristes, nous devons également analyser tous ceux qui ont des attitudes hostiles à l’encontre de nos pays ou de ses principes, ou qui pensent que la charia [la loi islamique, NDLR] devrait supplanter la loi américaine.
Pour mettre en place ces nouvelles procédures, nous devrons temporairement suspendre l’immigration de certains des régions les plus dangereuses et instables du monde qui ont un historique d’exportation du terrorisme.
Entreprenant de réduire à néant la politique pro-islamique de l’administration Obama, Donald Trump annonce une politique de destruction systématique de tous les réseaux musulmans actifs aux USA :
Pour atteindre un but, vous devez vous fixer une mission : les réseaux de soutien aux à l’islam radical dans ce pays seront dénombrés et extirpés, un par un.
Analyse : Il ne fait pas de doute que ce discours constituerait une rupture historique dans les rapports entre l’Occident et le monde musulman, ravagé par la prolifération de l’islamisme. C’est un discours de guerre qui désigne formellement l’ennemi et détaille toutes les sphères où la lutte serait engagée une fois Donald Trump élu président des USA.
Outre cette rupture historique et ce passage du pacifisme – voire de la bienveillance à l’égard du monde musulman et de ses ferments islamistes – à la contre-attaque, la première puissance du globe imposerait à ses alliés européens d’entrer en guerre contre l’ennemi précité.
Cette rupture imposée par les USA et l’Otan en cas de victoire de Trump heurterait de plein fouet la politique pro-musulmane de la France, tant en termes géopolitiques que de politique intérieure, notamment migratoire. De fortes tensions entre forces pro-musulmanes et anti-musulmanes, au sein de la société comme dans l’appareil d’état, ne manqueraient pas d’éclater.
BREIZ ATAO soutiendra, en Bretagne, les objectifs fondamentaux énoncés par Donald Trump dans le domaine de l’information. Les intérêts bretons et américains convergeant dans cette lutte existentielle contre l’islam
Modifié en dernier par yacoub le 09 nov.16, 03:25, modifié 1 fois.

Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 09 nov.16, 01:46ben alors mon Bébert va falloir sortir les gousses d'ails 

Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 09 nov.16, 05:41La Russie vue par Donald Trump.
Sur Vladimir Poutine :
« Je suis allé à Moscou il y a deux ans, et voilà ce que j’ai à dire : on peut s’arranger avec ces gens, et très bien. On peut faire affaire avec eux » ;
« Poutine ne respecte pas notre président [Barack Obama]. Mais il [Poutine] bénéficie d’une immense popularité en Russie, il est aimé là-bas pour ce qu’il fait, il est aimé pour ce qu’il représente » ;
« Je n’ai aucune relation avec lui [avec Poutine], outre le fait qu’il m’a qualifié de génie. Il a dit que Donald Trump était un génie et qu’il dirigerait son parti et qu’il dirigerait le monde. À part ça, c’est vrai que ce serait bien d’avoir de bonnes relations avec les autres pays. Je pense que j’aurai de bonnes relations avec Poutine » ;
« Je veux bien être ferme avec Vladimir Poutine, mais je ne peux même pas imaginer ce que je pourrais bien vouloir obtenir de plus qu’une Russie amicale ».
(Toutes les citations sont extraites de la BBC.)
Sur la Russie :
« Si nous pouvions faire une chose aussi remarquable pour notre pays qu’arranger nos relations avec la Russie, ce serait fantastique, je voudrais vraiment essayer » (citation BBC.)
Sur les agissements de la Fédération de Russie en Syrie :
« Je considère que l’État islamique est un problème très important, et je suis très heureux que la Russie bombarde l’EI. À mon avis, ils doivent continuer. » (CBS)
Sur l’opposition syrienne :
« J’ai parlé avec les généraux, et ils m’ont dit que nous fournissions de l’équipement qui coûte des milliards de dollars à des gens dont nous ne savons strictement rien. Ils sont peut-être encore pires qu’Assad. » (CBS)
Sur la question de la Crimée :
« De ce que j’en sais, le peuple de Crimée voulait être avec la Russie, et pas là où il était. Et cela aussi, il faut le prendre en compte. » (RIA Novosti).
Sur une levée des sanctions contre la Russie :
« Nous l’envisageons. Oui, nous l’envisageons. »


Sur Vladimir Poutine :
« Je suis allé à Moscou il y a deux ans, et voilà ce que j’ai à dire : on peut s’arranger avec ces gens, et très bien. On peut faire affaire avec eux » ;
« Poutine ne respecte pas notre président [Barack Obama]. Mais il [Poutine] bénéficie d’une immense popularité en Russie, il est aimé là-bas pour ce qu’il fait, il est aimé pour ce qu’il représente » ;
« Je n’ai aucune relation avec lui [avec Poutine], outre le fait qu’il m’a qualifié de génie. Il a dit que Donald Trump était un génie et qu’il dirigerait son parti et qu’il dirigerait le monde. À part ça, c’est vrai que ce serait bien d’avoir de bonnes relations avec les autres pays. Je pense que j’aurai de bonnes relations avec Poutine » ;
« Je veux bien être ferme avec Vladimir Poutine, mais je ne peux même pas imaginer ce que je pourrais bien vouloir obtenir de plus qu’une Russie amicale ».
(Toutes les citations sont extraites de la BBC.)
Sur la Russie :
« Si nous pouvions faire une chose aussi remarquable pour notre pays qu’arranger nos relations avec la Russie, ce serait fantastique, je voudrais vraiment essayer » (citation BBC.)
Sur les agissements de la Fédération de Russie en Syrie :
« Je considère que l’État islamique est un problème très important, et je suis très heureux que la Russie bombarde l’EI. À mon avis, ils doivent continuer. » (CBS)
Sur l’opposition syrienne :
« J’ai parlé avec les généraux, et ils m’ont dit que nous fournissions de l’équipement qui coûte des milliards de dollars à des gens dont nous ne savons strictement rien. Ils sont peut-être encore pires qu’Assad. » (CBS)
Sur la question de la Crimée :
« De ce que j’en sais, le peuple de Crimée voulait être avec la Russie, et pas là où il était. Et cela aussi, il faut le prendre en compte. » (RIA Novosti).
Sur une levée des sanctions contre la Russie :
« Nous l’envisageons. Oui, nous l’envisageons. »



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Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 10 nov.16, 09:50point de non retour à Dieu ! oui il y a un point de non retour !
citation du premier message sous la vidéo :
Scott Simpsonil y a 3 mois
That Eagle on Trump's throat is proof of his presidency.
Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 11 nov.16, 06:16Donald Trump président : un tremblement de terre géopolitique
http://referentiel.nouvelobs.com/file/1 ... itique.jpg[/img]
Avec l'élection de Donald Trump (ici le 3 octobre dans le Colorado), le monde entre dans l’une des périodes les plus dangereuses depuis les années 1960. (Theo Stroomer / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
L'élection du candidat républicain résonne comme un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’impensable – le cauchemar – devient donc réalité : le 20 janvier prochain, la première puissance militaire et économique de la planète sera dirigée par un président raciste, erratique et isolationniste. Un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’Europe se réveille en se demandant, effarée, si le Grand Frère qui l’a protégée depuis 1945 continuera à assurer sa défense. La panique va probablement s’emparer des pays frontaliers de la Russie, en particulier, les Baltes, l’Ukraine et la Pologne. Non seulement Donald Trump a menacé de réduire l’engagement américain vis-à-vis de l’Otan mais il n’a jamais clairement dit qu’il s’opposerait vigoureusement à une nouvelle aventure militaire de Vladimir Poutine sur ses flancs occidentaux. Cette victoire affaiblit dramatiquement les tenants de la démocratie libérale en Europe et dans le monde. Elle va donner des ailes aux "hommes forts" du Vieux Continent, à tous les Mussolini en herbe, les leaders polonais, hongrois, slovaque, et à tous les chefs populistes, Marine Le Pen en premier lieu qui le soutient ouvertement.
En Asie, la course à l’armement nucléaire, si redoutée par tous les spécialistes, risque d’être brutalement accélérée. Le président élu a non seulement fait part de son admiration pour le leader nord coréen, Kim Jong Un (celui-ci a d’ailleurs appelé à voter pour lui), qui disposera bientôt de la bombe H, mais il a mis en doute l’engagement américain à défendre le Japon et la Corée du Sud, incitant ces deux pays à se doter de leur propre force de frappe atomique. Une spirale terrifiante.
"Un monde s'effondre"
Ce n’est pas tout. Les tensions sino-américaines vont sans doute s’accroître dangereusement. A l’évidence, la Chine, contre laquelle Donald Trump a tenu des propos d’une extrême virulence, va vouloir tester le leadership du nouveau locataire de la Maison-Blanche dans la région, et particulièrement en Mer de Chine. Jusqu’où le président américain sera-t-il prêt à aller ? De cette réponse, dépend peut-être l’avenir de la planète.
http://referentiel.nouvelobs.com/file/1 ... itique.jpg[/img]
Avec l'élection de Donald Trump (ici le 3 octobre dans le Colorado), le monde entre dans l’une des périodes les plus dangereuses depuis les années 1960. (Theo Stroomer / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
L'élection du candidat républicain résonne comme un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’impensable – le cauchemar – devient donc réalité : le 20 janvier prochain, la première puissance militaire et économique de la planète sera dirigée par un président raciste, erratique et isolationniste. Un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’Europe se réveille en se demandant, effarée, si le Grand Frère qui l’a protégée depuis 1945 continuera à assurer sa défense. La panique va probablement s’emparer des pays frontaliers de la Russie, en particulier, les Baltes, l’Ukraine et la Pologne. Non seulement Donald Trump a menacé de réduire l’engagement américain vis-à-vis de l’Otan mais il n’a jamais clairement dit qu’il s’opposerait vigoureusement à une nouvelle aventure militaire de Vladimir Poutine sur ses flancs occidentaux. Cette victoire affaiblit dramatiquement les tenants de la démocratie libérale en Europe et dans le monde. Elle va donner des ailes aux "hommes forts" du Vieux Continent, à tous les Mussolini en herbe, les leaders polonais, hongrois, slovaque, et à tous les chefs populistes, Marine Le Pen en premier lieu qui le soutient ouvertement.
En Asie, la course à l’armement nucléaire, si redoutée par tous les spécialistes, risque d’être brutalement accélérée. Le président élu a non seulement fait part de son admiration pour le leader nord coréen, Kim Jong Un (celui-ci a d’ailleurs appelé à voter pour lui), qui disposera bientôt de la bombe H, mais il a mis en doute l’engagement américain à défendre le Japon et la Corée du Sud, incitant ces deux pays à se doter de leur propre force de frappe atomique. Une spirale terrifiante.
"Un monde s'effondre"
Ce n’est pas tout. Les tensions sino-américaines vont sans doute s’accroître dangereusement. A l’évidence, la Chine, contre laquelle Donald Trump a tenu des propos d’une extrême virulence, va vouloir tester le leadership du nouveau locataire de la Maison-Blanche dans la région, et particulièrement en Mer de Chine. Jusqu’où le président américain sera-t-il prêt à aller ? De cette réponse, dépend peut-être l’avenir de la planète.

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Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 11 nov.16, 07:30Peut être qu'il continuera à faire coudre les vêtements de sa ligne de vêtement en Chineyacoub a écrit :[Ce n’est pas tout. Les tensions sino-américaines vont sans doute s’accroître dangereusement. A l’évidence, la Chine, contre laquelle Donald Trump a tenu des propos d’une extrême virulence, va vouloir tester le leadership du nouveau locataire de la Maison-Blanche dans la région, et particulièrement en Mer de Chine. Jusqu’où le président américain sera-t-il prêt à aller ? De cette réponse, dépend peut-être l’avenir de la planète.
ou... ira t'il les faire coudre au Vietnam?
Jusqu'où ira t'il?
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 11 nov.16, 08:55Trump et la fin annoncée du wahhabisme saoudien
10 Nov 2016 | 8:46 A LA UNE, TRIBUNE, Tunisie 8

Bientôt, le premier clash entre le roi Salmane Ibn Abdelaziz et Donald Trump.
L’accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis n’est pas une bonne nouvelle pour l’Arabie saoudite. Elle annonce, entre autres, la fin de l’islam politique.
Par Mohamed Rebai *
L’élection de Donald Trump à la magistrature suprême aux Etats-Unis annonce-t-elle la fin de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale et le commencement d’une nouvelle ère basée sur le pragmatisme et l’action? Dans la foulée du changement continu du comportement humain, le wahhabisme obscurantiste saoudien va-t-il, par conséquent, se disloquer de lui même?
Le wahhabisme au service de l’islam politique
Le wahhabisme du nom de Mohamed Ibn Abdelwahab (1703-1792), largement inspiré d’Ibn Taymiyya, est un dogme religieux inventé par les Al-Saoud pour maintenir à la pointe de l’épée un royaume théocratique héréditaire qui compte aujourd’hui près de 30.000 princes. C’est aussi une manière machiavélique pour rester longtemps au pouvoir. L’épée arborée sur le drapeau saoudien, qui fait peur et horreur depuis bien des années, en est le parfait signe. Elle sert à couper les têtes récalcitrantes. En seulement six mois de l’année 2016, plus d’une centaine de personnes condamnées à mort ont été décapitées au sabre dans les places publiques.
Une alliance a été scellée entre deux familles pour le partage du pouvoir et des richesses qui se poursuit jusqu’à nos jours. Celle de Mohamed Ibn Abdelwahab serait chargée des questions religieuses et celle d’Abdelaziz Ibn Saoud chargée des questions politiques et militaires. Ce sont, en effet, les descendants du premier, «oulémas», qui dominent les institutions de l’Etat fournissant l’impulsion idéologique à l’expansion «djihadiste» saoudienne qui arrive dare-dare jusqu’en Europe et aux Etats-Unis.
Les Saoudiens vassaux encombrants des Américains
Faut-il se rappeler que les Saoudiens ont été les complices des Américains pour porter l’estocade à l’Union soviétique en inondant les marchés de pétrole à un prix dérisoire (7 dollars US le baril au lieu de 35 en 1985). Ils sont les seuls à pouvoir le faire en produisant à faible coût. Ils recourent de nos jours au même procédé pour causer des ennuis financiers à la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak et l’Algérie. Le Venezuela en Amérique latine est déjà asphyxié.
Le niveau de production du pétrole saoudien est laissé au bon vouloir des Américains. Ces derniers qui les protègent militairement ne s’intéressent qu’à leur pétrole. Dans le temps, ils se foutaient de leur wahhabisme qui a terrorisé et terrorise toujours les musulmans. Les recettes qui en découlent sont ventilées par les Américains en trois morceaux. Un tiers va pour la famille royale, un tiers pour acheter du matériel militaire obsolète et le dernier tiers devrait rester dans les banques américaines. C’est à prendre ou à laisser.
Actuellement avec la chute vertigineuse du cours du baril de pétrole (45,71 dollars US), le royaume, qui connait un déficit budgétaire abyssal (87 milliards de dollars), est allé jusqu’à sabrer le salaire de ses ministres. Il ne lui reste que la manne du pèlerinage estimée à 60 milliards de dollars, qui va grimper aux horizons de 2020 à 90 milliards de dollars. Le pèlerinage qui augmente par paliers entiers serait plus rentable que le pétrole.
Les Américains changent de méthode
Maintenant les parrains américains commencent à réfléchir face à la montée de l’extrémisme religieux saoudien qui n’épargne personne. Donald Trump, fraîchement élu à la maison blanche, a décrit le Royaume de l’Arabie saoudite comme une vache grasse laiteuse et a ajouté qu’il n’y a pas d’intérêt pour les Etats-Unis à soutenir le régime despotique et tôt ou tard un soulèvement populaire va éclater avec des ambitions démocratiques que les Américains devront soutenir.
Faut-il se rappeler, sans faire d’amalgame avec les bons Saoudiens, que 15 des 19 terroristes qui ont frappé les Twin Towers à New York, le 11 septembre 2011, sont des extrémistes saoudiens ? Et les exemples à travers le monde sont encore nombreux. Ce sont les Saoudiens qui ont encouragé les islamistes d’Algérie, dans les années 90, à mener une guérilla civile contre le gouvernement. Ils ont également soutenu et financé, des groupes d’insurgés islamistes, pour phagocyter et saboter les soulèvements populaires du «Printemps arabe» en Tunisie, en Libye, en Egypte, en Syrie, au Liban, en Irak, au Soudan et au Yémen, au point que les autorités américaines de l’administration sortante avaient annoncé que le soutien sécuritaire accordé à l’Arabie Saoudite n’est pas un chèque en blanc!
Au congrès américain des voix s’élèvent pour demander aux autorités de s’occuper des affaires intérieures du pays et de renoncer graduellement au rôle néfaste et coûteux de gendarme du monde.
La fin du wahhabisme dévastateur
L’administration démocrate américaine a d’ores et déjà autorisé les familles des 3000 victimes du 11-Septembre à poursuivre l’Arabie Saoudite dans le cadre d’une législation baptisée «Justice Against Sponsors of Terrorism Act» (Jasta). Il faut s’attendre à des dédommagements faramineux qui vont ruiner les caisses du royaume saoudien.
Donald Trump va plus loin en demandant aux Saoudiens de payer les frais de protection sécuritaire américaine en déclarant notamment lors de sa récente campagne électorale: «L’Arabie saoudite existe grâce aux États Unis, elle doit nous payer». Comme si elle ne payait pas déjà assez !
Tous les pronostics indiquent que le wahhabisme saoudien auquel il a été consacré la bagatelle de 75 milliards de dollars (5 fois le budget de la Tunisie) uniquement ,pour répandre l’idéologie islamiste salafiste en l’Europe avec la bénédiction des hommes politiques, perdra de son influence à très court terme. Le «Printemps arabe» va maintenant toucher les monarchies du Golfe qui vont tomber les unes après les autres comme des fruits pourris. La vapeur est déjà renversée en Syrie et en Irak. Qu’en sera-t-il pour la petite Tunisie?
La principale leçon à tirer est la fin annoncée de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale. Dans un passé pas très lointain, le communisme, le nazisme et le fascisme ont connu le même sort. Il faut s’attendre à ce que les idéologies islamistes vont perdre du terrain et disparaître à jamais. Toutes les idéologies vont aller dorénavant dans le sens du bien-vivre ensemble. L’heure est au pragmatisme et à l’action. Les gens veulent une économie prospère assurant le plein emploi. C’est tout. Les Américains qui croient en dieu, au dollar et à la violence ont voté pour un homme pieux, riche et violent. Wait and See !
10 Nov 2016 | 8:46 A LA UNE, TRIBUNE, Tunisie 8

Bientôt, le premier clash entre le roi Salmane Ibn Abdelaziz et Donald Trump.
L’accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis n’est pas une bonne nouvelle pour l’Arabie saoudite. Elle annonce, entre autres, la fin de l’islam politique.
Par Mohamed Rebai *
L’élection de Donald Trump à la magistrature suprême aux Etats-Unis annonce-t-elle la fin de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale et le commencement d’une nouvelle ère basée sur le pragmatisme et l’action? Dans la foulée du changement continu du comportement humain, le wahhabisme obscurantiste saoudien va-t-il, par conséquent, se disloquer de lui même?
Le wahhabisme au service de l’islam politique
Le wahhabisme du nom de Mohamed Ibn Abdelwahab (1703-1792), largement inspiré d’Ibn Taymiyya, est un dogme religieux inventé par les Al-Saoud pour maintenir à la pointe de l’épée un royaume théocratique héréditaire qui compte aujourd’hui près de 30.000 princes. C’est aussi une manière machiavélique pour rester longtemps au pouvoir. L’épée arborée sur le drapeau saoudien, qui fait peur et horreur depuis bien des années, en est le parfait signe. Elle sert à couper les têtes récalcitrantes. En seulement six mois de l’année 2016, plus d’une centaine de personnes condamnées à mort ont été décapitées au sabre dans les places publiques.
Une alliance a été scellée entre deux familles pour le partage du pouvoir et des richesses qui se poursuit jusqu’à nos jours. Celle de Mohamed Ibn Abdelwahab serait chargée des questions religieuses et celle d’Abdelaziz Ibn Saoud chargée des questions politiques et militaires. Ce sont, en effet, les descendants du premier, «oulémas», qui dominent les institutions de l’Etat fournissant l’impulsion idéologique à l’expansion «djihadiste» saoudienne qui arrive dare-dare jusqu’en Europe et aux Etats-Unis.
Les Saoudiens vassaux encombrants des Américains
Faut-il se rappeler que les Saoudiens ont été les complices des Américains pour porter l’estocade à l’Union soviétique en inondant les marchés de pétrole à un prix dérisoire (7 dollars US le baril au lieu de 35 en 1985). Ils sont les seuls à pouvoir le faire en produisant à faible coût. Ils recourent de nos jours au même procédé pour causer des ennuis financiers à la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak et l’Algérie. Le Venezuela en Amérique latine est déjà asphyxié.
Le niveau de production du pétrole saoudien est laissé au bon vouloir des Américains. Ces derniers qui les protègent militairement ne s’intéressent qu’à leur pétrole. Dans le temps, ils se foutaient de leur wahhabisme qui a terrorisé et terrorise toujours les musulmans. Les recettes qui en découlent sont ventilées par les Américains en trois morceaux. Un tiers va pour la famille royale, un tiers pour acheter du matériel militaire obsolète et le dernier tiers devrait rester dans les banques américaines. C’est à prendre ou à laisser.
Actuellement avec la chute vertigineuse du cours du baril de pétrole (45,71 dollars US), le royaume, qui connait un déficit budgétaire abyssal (87 milliards de dollars), est allé jusqu’à sabrer le salaire de ses ministres. Il ne lui reste que la manne du pèlerinage estimée à 60 milliards de dollars, qui va grimper aux horizons de 2020 à 90 milliards de dollars. Le pèlerinage qui augmente par paliers entiers serait plus rentable que le pétrole.
Les Américains changent de méthode
Maintenant les parrains américains commencent à réfléchir face à la montée de l’extrémisme religieux saoudien qui n’épargne personne. Donald Trump, fraîchement élu à la maison blanche, a décrit le Royaume de l’Arabie saoudite comme une vache grasse laiteuse et a ajouté qu’il n’y a pas d’intérêt pour les Etats-Unis à soutenir le régime despotique et tôt ou tard un soulèvement populaire va éclater avec des ambitions démocratiques que les Américains devront soutenir.
Faut-il se rappeler, sans faire d’amalgame avec les bons Saoudiens, que 15 des 19 terroristes qui ont frappé les Twin Towers à New York, le 11 septembre 2011, sont des extrémistes saoudiens ? Et les exemples à travers le monde sont encore nombreux. Ce sont les Saoudiens qui ont encouragé les islamistes d’Algérie, dans les années 90, à mener une guérilla civile contre le gouvernement. Ils ont également soutenu et financé, des groupes d’insurgés islamistes, pour phagocyter et saboter les soulèvements populaires du «Printemps arabe» en Tunisie, en Libye, en Egypte, en Syrie, au Liban, en Irak, au Soudan et au Yémen, au point que les autorités américaines de l’administration sortante avaient annoncé que le soutien sécuritaire accordé à l’Arabie Saoudite n’est pas un chèque en blanc!
Au congrès américain des voix s’élèvent pour demander aux autorités de s’occuper des affaires intérieures du pays et de renoncer graduellement au rôle néfaste et coûteux de gendarme du monde.
La fin du wahhabisme dévastateur
L’administration démocrate américaine a d’ores et déjà autorisé les familles des 3000 victimes du 11-Septembre à poursuivre l’Arabie Saoudite dans le cadre d’une législation baptisée «Justice Against Sponsors of Terrorism Act» (Jasta). Il faut s’attendre à des dédommagements faramineux qui vont ruiner les caisses du royaume saoudien.
Donald Trump va plus loin en demandant aux Saoudiens de payer les frais de protection sécuritaire américaine en déclarant notamment lors de sa récente campagne électorale: «L’Arabie saoudite existe grâce aux États Unis, elle doit nous payer». Comme si elle ne payait pas déjà assez !
Tous les pronostics indiquent que le wahhabisme saoudien auquel il a été consacré la bagatelle de 75 milliards de dollars (5 fois le budget de la Tunisie) uniquement ,pour répandre l’idéologie islamiste salafiste en l’Europe avec la bénédiction des hommes politiques, perdra de son influence à très court terme. Le «Printemps arabe» va maintenant toucher les monarchies du Golfe qui vont tomber les unes après les autres comme des fruits pourris. La vapeur est déjà renversée en Syrie et en Irak. Qu’en sera-t-il pour la petite Tunisie?
La principale leçon à tirer est la fin annoncée de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale. Dans un passé pas très lointain, le communisme, le nazisme et le fascisme ont connu le même sort. Il faut s’attendre à ce que les idéologies islamistes vont perdre du terrain et disparaître à jamais. Toutes les idéologies vont aller dorénavant dans le sens du bien-vivre ensemble. L’heure est au pragmatisme et à l’action. Les gens veulent une économie prospère assurant le plein emploi. C’est tout. Les Américains qui croient en dieu, au dollar et à la violence ont voté pour un homme pieux, riche et violent. Wait and See !

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Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 11 nov.16, 09:06Dire qu'il y en a qui sont naïfs au point de croire que le milliardaire Trump va s'en prendre à l'Arabie, qui fait partie des 3 plus importants détenteurs de réserve de change en dollars...
Comme si Trump allait lui-même se tirer une balle dans le pied
C'est ca d'être aveuglé par la haine... On prend le premier milliardaire assez haineux pour idole et on oubli son esprit critique en route...
Comme si Trump allait lui-même se tirer une balle dans le pied

C'est ca d'être aveuglé par la haine... On prend le premier milliardaire assez haineux pour idole et on oubli son esprit critique en route...
Re: Elections américaines 2016
Ecrit le 12 nov.16, 01:48Le problème vient surtout du fait que le Pakistan a une bombe nucléaire et qu'il est un allié de l'Arabie Saoudite.
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