L'abstraction egyptienne ?
J'suis pas convaincu.
Les egyptiens faisaient de la comptabilité pas des mathématiques.
L'écriture représente des objets existants.
Bref, l'évolution vers l'abstraction vient avec l'alphabet où les lettres
sont des objets en soient mais aucunement liées dans leur graphie à ce qu'elles représentent. Il en va de même des nombres, qui cessent de symboliser des quantités. De même que les dieux qui sans représentation
échappent tant au pouvoir de destruction d'un ennemi qu'à
l'entendement humain.
Anonymous a écrit :L'abstraction egyptienne ?
J'suis pas convaincu.
Les egyptiens faisaient de la comptabilité pas des mathématiques.
L'écriture représente des objets existants.
Bref, l'évolution vers l'abstraction vient avec l'alphabet où les lettres
sont des objets en soient mais aucunement liées dans leur graphie à ce qu'elles représentent. Il en va de même des nombres, qui cessent de symboliser des quantités. De même que les dieux qui sans représentation
échappent tant au pouvoir de destruction d'un ennemi qu'à
l'entendement humain.
regarde le dessin sur mon message plus haut,et dis moi s'il n'y a aucune graphie.
Florence_yvonne je ne vois qu'une seule image.
Et toutes les graphies sont bien liées à des objets concrets.
Ce qui est comme je dis contraire à l'abstraction. L'abstraction se passe
de représentation physique.
La vie après la mort pour un egyptien conduit forcemment à maintenir le corps dans un certain état.
Tu peux constater que cette notion de vie après la mort aujourd'hui peut-être perçue en dehors de toute notion de l'état physique du cadavre.
Le big-bang, le vide, la cinquième dimension toutes ces choses peuvent
être discutées sans représentation physique.
Chez les egyptiens même le dieu caché Amon a sa représentation.
La révolution sera d'affirmer que Dieu n'a pas de représentation.
stephane a écrit :Florence_yvonne je ne vois qu'une seule image.
Et toutes les graphies sont bien liées à des objets concrets.
Ce qui est comme je dis contraire à l'abstraction. L'abstraction se passe
de représentation physique.
La vie après la mort pour un egyptien conduit forcemment à maintenir le corps dans un certain état.
Tu peux constater que cette notion de vie après la mort aujourd'hui peut-être perçue en dehors de toute notion de l'état physique du cadavre.
Le big-bang, le vide, la cinquième dimension toutes ces choses peuvent
être discutées sans représentation physique.
Chez les egyptiens même le dieu caché Amon a sa représentation.
La révolution sera d'affirmer que Dieu n'a pas de représentation.
justement, le hiéroglyphe en devenant petit à petit écriture à perdu son caractère graphique pour devenir des signes totalement abstraits qui tout en gardant le même sens on perdus la ressemblance avec l'objet désigné
florence_yvonne a écrit :
tu es sur ? alors explique mois la pierre de rosette ?
La pierre de Rosette avait un texte ecrit en 2 langue je crois ( le grec et l'egyptien)
Mais ce n'etait pas traduit lettre par lettre mais mot par mot car il n'y a pas de lettre chez les egyptiens.
Les seuls peuples qui avaient un alphabet étaient les hébreux (peut être les cananéens) les grecs, les phéniciens et les latins et d'autres peuples issue de leur culture.
La pierre de Rosette est un fragment de stèle en granite noir, fréquemment assimilée à tort à du basalte, découverte dans le village de Rachïd en juillet 1799 durant la campagne de Napoléon en Égypte. C'est un jeune officier du génie, Pierre-François-Xavier Bouchard, qui remarqua cette pierre noire de près d'un mètre de haut lors de travaux de terrassement dans une ancienne forteresse turque. Lors de la capitulation de 1801, les Anglais victorieux exigèrent la livraison des monuments antiques, dont la pierre de Rosette. Mais dès 1800, une reproduction du texte avait été envoyée en France pour y être étudiée.
Les inscriptions portées sur cette pierre se sont révélées être le même texte reproduit selon trois systèmes d'écritures différentes: des hiéroglyphes, du démotique et du grec. On crut, à ce moment-là, que le mystère des hiéroglyphes allait être rapidement percé.
En traduisant le nom de Cléopatre en “Kleopatrà”, il valide son hypothèse et peut présenter la valeur alphabétique de onze signes dont quatre semi-voyelles. Il montre également qu’en certains cas pour un même son, il peut exister plusieurs signes; ainsi le ‘L’ peut être transcrit par un lion () ou une bouche (). Pour renforcer cette thèse alphabétique, il avance également le fait que sur la pierre de Rosette, 486 mots grecs sont retranscrits en 1419 hiéroglyphes. Cet écart indique à l’évidence que les hiéroglyphes ne peuvent transcrire des mots. Et c’est à partir de ses conclusions partielles que Champollion expose sa thèse: il existe une différence de nature entre la langue égyptienne proprement dite et son usage pour transcrire approximativement des sons: l’écriture hiéroglyphique est à la fois idéographique et alphabétique.