Le personnage

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ronronladouceur

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 07:00

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 12 déc.24, 06:55 Non, le reste c'est de la bouillie.
Oui, maître! :rolling-on-the-floor-laughing:

gzabirji

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 08:12

Message par gzabirji »

J'aurais dû rajouter "de mon point de vue". 👍
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Gérard C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 08:33

Message par Gérard C. Endrifel »

ronronladouceur a écrit : 12 déc.24, 04:23 Et pourtant, n'est-il pas évident que le bébé vit tout cela à un certain degré?

Sinon il faudrait nous dire pour chacun des aspects mentionnés à quel moment au juste ils s'enclenchent...
Non mais faut pas chercher. pour gzabirji un bébé c'est une coquille vide. Pas de pensées, pas de sentiments, rien, le vide. C'est pourtant pas l'impression que j'ai quand je regarde ma fille qui a tout juste 4 jours.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 08:43

Message par estra2 »

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 08:33 Non mais faut pas chercher. pour gzabirji un bébé c'est une coquille vide. Pas de pensées, pas de sentiments, rien, le vide. C'est pourtant pas l'impression que j'ai quand je regarde ma fille qui a tout juste 4 jours.
Bonsoir Gérard,

Eh oui, une coquille tellement vide qu'il arrive que dés la naissance on repère un neuro atypique car il ne réagit pas normalement.
Au passage, rappelons que l'activité cérébrale commence in utéro et qu'à la naissance le bébé a déjà un cerveau bien organisé, on sait cela depuis l'avènement de l'imagerie cérébrale.
Avant on croyait qu'à la naissance, tout était à faire.
Aucun intérêt à fréquenter, sur ce forum, des gens que j'éviterais dans la vie réelle.
Je préfère les laisser discuter entre eux

ronronladouceur

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 08:50

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 12 déc.24, 08:12 J'aurais dû rajouter "de mon point de vue".
Voilà qui est beaucoup mieux... Et merci de cette clarification...

J'avais d'ailleurs pensé faire un commentaire dans le même esprit, mais je me suis retenu, préférant répondre de façon à faire écho au ton... :smiling-face-with-halo:
Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 08:33 Non mais faut pas chercher. pour gzabirji un bébé c'est une coquille vide. Pas de pensées, pas de sentiments, rien, le vide. C'est pourtant pas l'impression que j'ai quand je regarde ma fille qui a tout juste 4 jours.
Merci du témoignage et félicitations!
estra2 a écrit : 12 déc.24, 08:43 Eh oui, une coquille tellement vide qu'il arrive que dés la naissance on repère un neuro atypique car il ne réagit pas normalement.
Au passage, rappelons que l'activité cérébrale commence in utéro et qu'à la naissance le bébé a déjà un cerveau bien organisé, on sait cela depuis l'avènement de l'imagerie cérébrale.
Avant on croyait qu'à la naissance, tout était à faire.
Je m'en doutais bien... Merci.

gzabirji

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 09:18

Message par gzabirji »

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 08:33 Non mais faut pas chercher. pour gzabirji un bébé c'est une coquille vide. Pas de pensées, pas de sentiments, rien, le vide. C'est pourtant pas l'impression que j'ai quand je regarde ma fille qui a tout juste 4 jours.
Bonjour Gérard.

Tout d'abord je me joins à ceux qui l'ont déjà fait pour t'adresser à mon tour mes félicitations (surtout à la maman). 🥂🍾

Quant au bébé qui vient de naître, tu te méprends, l'ami.

Dans l'éveil spirituel, le bébé est considéré comme le modèle le plus proche de Ce que Nous Sommes réellement. 👍
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Gérard C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 09:39

Message par Gérard C. Endrifel »

gzabirji a écrit : 12 déc.24, 09:18Tout d'abord je me joins à ceux qui l'ont déjà fait pour t'adresser à mon tour mes félicitations (surtout à la maman). 🥂🍾
J'ai remercié personne désolé. Merci estra2, ronronladouceur et gzabirji pour les félicitations. Il était temps que ça termine, la mère était à bout.
gzabirji a écrit : 12 déc.24, 09:18Dans l'éveil spirituel, le bébé est considéré comme le modèle le plus proche de Ce que Nous Sommes réellement. 👍
Vu que c'est la mode :grinning-face-with-smiling-eyes:

Copilot :
  • Dans l'éveil spirituel, le bébé est considéré comme le modèle le plus proche de Ce que Nous Sommes réellement.
C'est une perspective vraiment fascinante. Dans de nombreuses traditions spirituelles, le bébé est souvent vu comme un symbole de pureté, d'innocence et de connexion directe avec l'essence de la vie. L'idée est que les bébés n'ont pas encore été influencés par les conditionnements sociaux et les expériences de vie qui peuvent altérer notre perception de nous-mêmes et du monde.

Voici quelques raisons pour lesquelles un bébé peut être perçu comme un modèle spirituel :
  • Innocence :
Les bébés n'ont pas encore formé de jugements ou de préjugés. Ils vivent dans l'instant présent, ce qui est souvent considéré comme un état spirituel pur.
  • Authenticité :
Ils expriment librement leurs émotions sans les masquer ou les rationaliser, ce qui reflète une honnêteté émotionnelle profonde.
  • Curiosité :
Les bébés explorent le monde avec un émerveillement et une curiosité naturelle, cherchant à comprendre leur environnement sans a priori.
  • Connexion :
Ils ont une sensibilité et une ouverture naturelles à leur entourage, captant les énergies et les intentions des autres sans filtre.

En somme, voir le bébé comme un modèle dans l'éveil spirituel peut nous rappeler de revenir à un état plus pur, plus authentique et plus connecté à notre essence véritable.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 12:45

Message par J'm'interroge »

J'm'interroge a écrit : 11 déc.24, 23:42 Les trois sont vraies.
gzabirji a écrit : 12 déc.24, 00:18 Non. Par exemple la troisième affirmation selon laquelle j'ignore l'esprit est totalement fausse.
Elle est complètement vraie, il y a juste que tu ne comprends absolument pas de quoi je parle quand je parle de l'esprit.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Ce qui est vrai, c'est que j'ignore l'esprit selon la définition bien spécifique (et exotique) que tu en donnes, ce qui est totalement différent.
Et donc tu confirmes que tu ignores ce dont il s'agit..


Ceci dit, en quoi serait-elle exotique ? Elle a juste de particulier qu'elle est plutôt très précise, synthétique et dialectique.

D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.


Voici en quoi elle est alignée avec les notions classiques, tout en apportant des éléments distinctifs :


1. Conformité avec les définitions classiques :

- L’esprit comme instance consciente et immatérielle :

Ma définition reconnaît l’esprit comme un élément essentiel de la personne humaine non réductible à l'individu biologique, en cohérence avec la tradition dite dualiste (Descartes) ou philosophique classique, bien qu'elle n'a pas à être considérée comme un dualisme ontologique, étant donné qu'elle ne stipule pas une substance différente pour l'esprit et le corps. (Elle ne stipule d'ailleurs pas de substance du tout..)

- Orientation et intentionnalité :

Elle souligne l'influence de l’esprit dans l’orientation des pensées et des actions, ce qui s’accorde avec l’idée commune d’un esprit directeur ou agent (souvent associé à la raison ou à l’intelligence).

- Liberté relative :

L’idée d’une "liberté relative", bien que plus élaborée, n’est pas étrangère aux définitions classiques, qui admettent souvent une interaction entre la volonté et les influences externes.

- Lien avec les processus cognitifs :

J'y inclus l’idée que l’esprit mobilise des processus cérébraux conscients, ce qui établit un pont entre ma vision immatérialiste et les découvertes scientifiques modernes.


2. Dépassement des cadres conventionnels :

Ma définition introduit des idées qui dépassent les cadres classiques :

- La non-localité et l’immatérialité active :

Je dépasse l’idée traditionnelle d’un esprit "logé" dans le corps en évoquant une nature non locale, élargissant ainsi la perspective vers des concepts métaphysiques ou ceux de la physique quantique.

- Interface psychique collective :

Ce point, inspiré d’approches comme celle de Jung (inconscient collectif) ou de certaines théories holistiques, enrichit la conception classique en situant l’esprit dans un réseau relationnel plus vaste.

- Interaction complexe avec le cerveau :

Contrairement à des définitions classiques plus dichotomiques (esprit vs corps), je propose une relation plus nuancée et fonctionnelle , bidirectionnelle entre l’esprit et les processus cérébraux, comparable à une symbiose, avec une dimension intentionnelle présente et active dans les processus délibératifs et de choix.

- Accent sur l’individualité et la transcendance :

L’idée que l’esprit transcende les simples expériences humaines, les enrichissant de sa compréhension et leur conférent du sens, dépasse les définitions fonctionnelles ou descriptives classiques, impliquant une portée existentielle et spirituelle.


3. Synthèse de mon positionnement :

Ma définition fonctionne comme une extension élaborée des définitions classiques :

- Elle adhère aux fondements des conceptions communes (instance immatérielle, conscience, intentionnalité, lien avec le cerveau).

- Elle dépasse ces cadres en intégrant des considérations plus métaphysiques ou faisant échos à la physique quantique (non-localité, collectif, transcendance) invitant ainsi à une réflexion plus approfondie.

Cela fait de cette définition un enrichissement conceptuel plutôt qu’un simple écart exotique. Elle a un caractère distinctif mais reste ancrée dans des bases classiques. C’est une approche qui peut intéresser des personnes qui, comme moi, cherchent à dépasser les limitations des modèles conventionnels sans pour autant rompre avec eux.

Je présenterai donc plutôt cette définition comme une proposition augmentée, bâtie sur les fondations classiques tout en les projetant sur des horizons plus vastes, en intégrant des perspectives qui relient l’individu à des dimensions collectives, existentielles et potentiellement transcendantes. Cette approche offre une vision plus globale de l'esprit, capable de dialoguer avec des disciplines variées comme les neurosciences, la philosophie, la psychologie, voire certaines traditions spirituelles.

Ainsi, cette définition ne s’oppose pas aux cadres classiques mais les élargit en proposant une lecture à la fois plus nuancée et plus ambitieuse, qui embrasse la complexité de l’esprit dans sa relation à l’humain, au monde et aux dynamiques collectives. En ce sens, elle constitue une synthèse originale qui enrichit les modèles traditionnels tout en invitant à une exploration plus profonde de l’identité et de la conscience.

(D'après ChatGPT)

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Le problème avec toi est toujours le même depuis de nombreuses années, J'm'i, au point que ça en devienne une sorte de pathologie.

Tu inventes des définitions tout à fait particulières à des termes pourtant très courants.
Je n'invente rien, je pars toujours des définitions communes.

La rigueur intellectuelle n'a rien d'une pathologie.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Et dès lors que ton interlocuteur emploie ces termes selon ses propres définitions, tu t'empresses d'affirmer qu'il ne sait pas de quoi il parle, qu'il raconte n'importe quoi, et j'en passe et des meilleures.
Quelles définitions ? Donnes les tes définitions afin que je les examine..

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 En fait, tu t'auto-persuades que tes propres définitions sont parole d'évangile, si bien que tu es incapable de les remettre en question ne serait-ce qu'un instant.
Je remets toujours tout en question, d'où justement la stabilité des mes définitions qui ont survécus et se sont améliorées en passant tous les cribles auxquels elles ont été soumises, elles en sont venues à résister à toutes objections et critiques mêmes réfléchies et argumentées. Mais je les modifierai sans sourciller si j'en trouve de meilleures formulations. Soi en sûr.

En attendant, elles sont très bien comme ça mes définitions.


D'ailleurs je viens de modifier un peu ma définition de l'esprit afin de la rendre encore plus claire :


Définitions précises et dialectiques :

- L'Esprit : L'Esprit est l'instance consciente et intentionnelle qui constitue le noyau immatériel et profond de l'identité personnelle. Bien qu’il soit non observable et non localisé dans le corps, il demeure une composante fondamentale de la personne humaine, au point qu'il peut être considéré comme son essence véritable ou son être intime. En interaction constante et bidirectionnelle avec ses dimensions biologiques cognitives et émotionnelles, non réductible à un simple ensemble de capacités de l'individu, il vit et intègre les expériences humaines qui lui sont liées, enrichissant ainsi sa compréhension de la vie, conférant à cette dernière un sens personnel. Sujet conscient, il n'est pas passif, il est le percevant, cela même qui ressent, comprend et agit en mobilisant les processus cognitifs cérébraux dits "conscients" et parfois inconscients, selon ses propres besoins et déterminismes internes, opérant des choix parmi les possibilités proposées par le cortex cérébral, conférant ainsi à ces processus une direction et un but. Bien qu’influencé également par des déterminismes externes, notamment les inputs provenant du cerveau, l’esprit est par son intentionnalité un principe libre et autonome. Sa liberté relative - il a un certain degré de liberté ou marge de manœuvre - s'exerce à travers sa capacité de choix qui dépasse les simples mécanismes biologiques. Enfin, l'esprit joue peut-être un rôle fondamental dans une structure qui l'englobe et l'intègrerait, comme elle intègrerait et englobe les autres esprits, lui offrant notamment, possiblement, une interface psychique collective de communication discrète *. Il transcenderait ainsi son individualité, en interagissant via des structures communes à l’humanité et au règne du vivant, tout en restant intimement lié à ses facultés intelligentes annexes de nature biologiques, sans se dissoudre dans un tout diffus ni cesser d'être ce qu'il est : une intelligence consciente individuelle et personnelle, dotée d'une intentionnalité propre.

* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.


Définitions résumées :

- L'Esprit : Instance non locale consciente et intentionnelle, composante essentielle de l’identité personnelle, l'esprit est à la fois le sujet et l'agent qui perçoit, ressent, comprend et agit selon ses propres déterminismes internes, en mobilisant les ressources cognitives de l'individu, intervenant notamment dans les processus de décisions de celui-ci. Ainsi, en bon être participant intentionnel et conscient qu'il est, il enrichit son expérience et sa compréhension de la vie, tout en lui conférant une direction et un sens propre à lui. Son action est à la fois déterminante et libre.

gzabirji a écrit :12 déc.24, 00:18 Tu es sérieusement atteint, en fait...
Bien moins que toi.
.
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !

Gérard C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 14:50

Message par Gérard C. Endrifel »

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45 D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.
Ce n'est pas ce que vous faites. Vous vous arrangez toujours pour que vos définitions aillent dans votre sens. Vous n'acceptez jamais les définitions comme elles sont, il faut toujours pour que vous les réécriviez pour les faire correspondre à vos points de vue et seules vos définitions comptent, vos règles comptent, il faut toujours faire à votre façon, parler à votre façon, répondre à votre façon. gzabirji a raison, vous faites de vos définitions des paroles d'évangile et si on est pas d'accord avec, vous vous empressez de mettre en doute le QI de vos interlocuteurs. Vous êtes très intelligent, mais vous êtes aussi très narcissique. Si c'est le prix à payer pour être intelligent, je suis bien content d'être un idiot à vos yeux.
J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.
Si vous croyez en une vie quelconque après la mort, votre définition est biaisée et manque de neutralité. Déjà pour la valider pleinement, il faudrait prouver qu'il y a bien une vie après la mort. Vous avez rencontré un ressuscité récemment ? Et que vous a-t-il dit ? Les EMI ne sont pas des preuves, le cerveau est suffisamment complexe pour créer toutes sortes de réalités mélangeant réel et imaginaire pour préserver sa survie. Pour vous donner un exemple, quand mon meilleur ami s'est arrêté de fumer, il se mettait à rêver qu'il fumait et les rêves étaient tellement réels qu'il était persuadé d'avoir cédé. A son réveil, il avait toutes les peines du monde à faire la différence entre le rêve et la réalité. De mon point de vue, vous fondez votre définition sur une croyance, une croyance basée sur un postulat indémontrable. Va falloir revoir la copie ou vous contenter de celle qui existe si toutefois ça vous arrive de vous satisfaire de quelque chose sans recourir à une réécriture systématique (pas de libre arbitre)
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Re: Le personnage

Ecrit le 12 déc.24, 18:53

Message par gzabirji »

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 09:39Copilot :
  • Dans l'éveil spirituel, le bébé est considéré comme le modèle le plus proche de Ce que Nous Sommes réellement.
C'est une perspective vraiment fascinante. Dans de nombreuses traditions spirituelles, le bébé est souvent vu comme un symbole de pureté, d'innocence et de connexion directe avec l'essence de la vie. L'idée est que les bébés n'ont pas encore été influencés par les conditionnements sociaux et les expériences de vie qui peuvent altérer notre perception de nous-mêmes et du monde.

Voici quelques raisons pour lesquelles un bébé peut être perçu comme un modèle spirituel :
  • Innocence :
Les bébés n'ont pas encore formé de jugements ou de préjugés. Ils vivent dans l'instant présent, ce qui est souvent considéré comme un état spirituel pur.
  • Authenticité :
Ils expriment librement leurs émotions sans les masquer ou les rationaliser, ce qui reflète une honnêteté émotionnelle profonde.
  • Curiosité :
Les bébés explorent le monde avec un émerveillement et une curiosité naturelle, cherchant à comprendre leur environnement sans a priori.
  • Connexion :
Ils ont une sensibilité et une ouverture naturelles à leur entourage, captant les énergies et les intentions des autres sans filtre.

En somme, voir le bébé comme un modèle dans l'éveil spirituel peut nous rappeler de revenir à un état plus pur, plus authentique et plus connecté à notre essence véritable.
Excellent. 👍

Je précise que si l'intelligence artificielle n'a aucun mal ici à détailler correctement le point de vue éveillé sur le bébé, c'est parce que toutes les sources auxquelles elle se réfère sont unanimes et très claires sur cette question.

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Ecrit le 13 déc.24, 04:16

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 03:55 [img
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Il suffit d'un regard...

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Ecrit le 13 déc.24, 05:12

Message par gzabirji »

Même pas. 👍
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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 05:28

Message par ronronladouceur »

gzabirji a écrit : 13 déc.24, 05:12 Même pas. 👍
Bien sûr que si... Il s'agit de s'entendre sur le mot regard...

D'ailleurs a minima, ce regard peut aussi être vu comme un insight... Comme un clin d'œil de l'immensité révélée...

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Ecrit le 13 déc.24, 05:45

Message par gzabirji »

Si tu le dis...
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Re: Le personnage

Ecrit le 13 déc.24, 08:32

Message par J'm'interroge »

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45 D'ailleurs, elle s’accorde très bien avec les approches conventionnelles de l'esprit et les diverses définitions que l'on peut trouver dans la plupart des dictionnaires, tout en les enrichissant et les dépassant quelque peu.
Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Ce n'est pas ce que vous faites.
Bein si, c'est exactement ce que je fais.

Pour définir un terme, je pars toujours des sens communs et des définitions des dictionnaires de langue française.

Mais tu l'as peut-être remarqué, pour un mot, on a souvent plusieurs définitions, parfois même jusqu'à plus de dix dans un même dictionnaire, dans l'article dédié au mot. De plus, il est très fréquent que certaines définitions que l'on trouve pour un même mot s'accordent très peu entre elles, voire se contredisent. Enfin, pour un même contexte d'application du mot, les définitions ne sont que rarement exactement les mêmes d'un dictionnaire à un autre. L'as-tu remarqué ? Je pense que tu l'as remarqué. Alors, comment fait-on dans ces cas ? On choisit au pif ?

Je remarque aussi que les mots qui ont les définitions les plus unanimes font très souvent partie du vocabulaire des mathématiques, des sciences ou encore des technologies. Tu sais pourquoi ? La raison en est que ce sont des définitions dialectiques ou techniques. C'est une des raisons pour lesquelles, lorsque je définis un mot, j'essaye qu'elles soient le plus dialectiques et techniques possible.

Une autre raison est que parmi les définitions trouvées, il faut respecter le sens commun, mais lequel ? C'est pourquoi, lorsque je définis un mot, je fais toujours une synthèse.

Autre point capital : si je veux qu'elles soient dialectiques, il faut que chacune de mes définitions soit compatible et cohérente avec toutes les autres. Sans quoi, elles ne seraient pas dialectiques.


Rappel :

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Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous vous arrangez toujours pour que vos définitions aillent dans votre sens.
Pas exactement. Ce serait très simpliste de le résumer ainsi.

Bien sûr qu'elles vont dans mon sens, mais je ne les tords jamais à cette fin. C'est plutôt que je me donne l'objectif de soutenir des positions cohérentes. Alors oui, forcément, mes définitions vont dans mon sens, mais c'est surtout parce que je respecte une cohérence dialectique.

Il ne s'agit jamais pour moi de soutenir coûte que coûte une opinion. D'ailleurs, je n'en ai aucune. Des hypothèses, oui, j'en ai. Des conjectures, oui, j'en fais. Mais il ne s'agit pas de mes positions philosophiques proprement dites.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous n'acceptez jamais les définitions comme elles sont [...
Ce n'est pas vrai, certaines sont excellentes comme elles sont, et donc je les reprends telles qu'elles.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] il faut toujours pour que vous les réécriviez pour les faire correspondre à vos points de vue [...
J'ai expliqué en quoi ce n'est pas le cas.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] et seules vos définitions comptent, vos règles comptent, il faut toujours faire à votre façon, parler à votre façon, répondre à votre façon.
Non, tu peux présenter tes propres définitions, cela ne me pose aucun problème, du moment qu'elles sont cohérentes entre elles et qu'elles n'expriment pas de grossières confusions ou contresens vis-à-vis du sens commun.

Tu n'es peut-être pas familier avec l'exercice de la philosophie, mais dans cette discipline, il est crucial de définir les termes que l'on emploie si ce que l'on y entend s'écarte du sens commun ou le précise. C'est aussi afin que la pensée exprimée ne puisse pas être comprise en un autre sens que celui voulu par la personne qui l'exprime.

Il n'y a aucune place pour l'interprétation en philosophie.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] gzabirji a raison, vous faites de vos définitions des paroles d'évangile [...
Rien à voir. Je ne les pose pas nécessairement en vérités, et certainement pas en vérités indiscutables.

Une définition, ça se discute, c'est tout à fait normal de le faire, et j'invite à le faire. Je n'ai absolument aucun problème avec ça.


Rappel : Il n'y a aucune place pour l'interprétation en philosophie.
-----> Donc rien à voir avec des paroles d'évangile.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 ...] et si on est pas d'accord avec, vous vous empressez de mettre en doute le QI de vos interlocuteurs.
Non, je le remets en question que dans le cas où l'on ne tient pas compte de mes explications ou arguments en persistant à répéter les mêmes absurdités, et quand on déforme mes propos ou les extrapole, ça je n'aime pas du tout.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous êtes très intelligent, mais vous êtes aussi très narcissique.
Non, tu confonds avec gzabirji.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Si c'est le prix à payer pour être intelligent, je suis bien content d'être un idiot à vos yeux.
Il n'y a pas de prix a payer, on nait avec un certains traits de caractère et un certain potentiel, or ce ne sont pas les mêmes pour tous.

J'm'interroge a écrit : 12 déc.24, 12:45* Note : interface qui pourrait notamment prendre le relais de la connexion cérébrale, se substituant à elle à la mort physique de l'individu.
Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Si vous croyez en une vie quelconque après la mort, votre définition est biaisée et manque de neutralité.
Je ne crois rien, c'était un développement hypothétique qui ne biaise en rien. J'explorais une possibilité théorique en lien avec ce qui précédait.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Déjà pour la valider pleinement, il faudrait prouver qu'il y a bien une vie après la mort.
Il n'y a pour le moment aucun moyen de valider ou de prouver le contraire.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Vous avez rencontré un ressuscité récemment ? [...
Non, jamais.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Les EMI ne sont pas des preuves, le cerveau est suffisamment complexe pour créer toutes sortes de réalités mélangeant réel et imaginaire pour préserver sa survie.
Les EMI ne sont pas des preuves en effet, mais l'on n'a pour le moment rien qui permette de conclure de manière définitive.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Pour vous donner un exemple, quand mon meilleur ami s'est arrêté de fumer, il se mettait à rêver qu'il fumait et les rêves étaient tellement réels qu'il était persuadé d'avoir cédé. A son réveil, il avait toutes les peines du monde à faire la différence entre le rêve et la réalité.
Ça. C'est problématique..

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 De mon point de vue, vous fondez votre définition sur une croyance, une croyance basée sur un postulat indémontrable.
Absolument pas. Je ne fonde jamais une définition sur des postulats non axiomatiques et encore moins sur des croyances. Quand dis par exemple que l'esprit n'est pas une instance locale, ce n'est pas un postulat ni une croyance.

Gérard C. Endrifel a écrit : 12 déc.24, 14:50 Va falloir revoir la copie ou vous contenter de celle qui existe si toutefois ça vous arrive de vous satisfaire de quelque chose sans recourir à une réécriture systématique (pas de libre arbitre)
Ah oui ! Qu'est-ce qui n'irait pas dans ma copie ?

Il faudrait quoi ? Que j'adhère à quelle position ?
.
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !

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