– Le “Tout absolu” est contradictoire : il ne peut être simultanément complet, fermé et inclure tout ce qui existe.J'm'interroge a écrit : 15 nov.25, 01:54 En résumé :
– Le “Tout absolu” est contradictoire : il ne peut être simultanément complet, fermé et inclure tout ce qui existe.
– Un “tout ouvert” est cohérent, mais ce concept abandonne la clôture et donc détruit l'idée d’un “Tout absolu” au sens strict.
– Ton opposition absolu/relatif, ou le recours au cadre et au regard, ne résout rien : elle déplace simplement le problème.
– La seule notion logiquement tenable est un ensemble ouvert, extensible, non saturé. Toute tentative de concevoir un “Tout absolu” masque l’aporie au lieu de l’éclairer ou de la résoudre et est vouée à l'échec.
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Problème de définition... Considérant ''ce qui est'' , il est difficile voire impossible d'en faire le tour, vu l'aspect a-dimensionnel [infini] qu'il donne à penser, sans compter l'aspect dynamique, peut-être à ne pas négliger...
– Un “tout ouvert” est cohérent, mais ce concept abandonne la clôture et donc détruit l'idée d’un “Tout absolu” au sens strict.
Bien sûr. Mais alors rien ne l'empêche d'atteindre à cette a-dimension qui caractérise justement cet absolu... Il n'est donc assujetti à aucune limite... Rien n'est ainsi laissé pour compte... La perspective est ouverte à 'ce qui est' : indéfini quant à son entièreté sans qu'on puise nier qu'elle l'est bel et bien, appréhendée quant à sa nature incommensurable... Nous sommes face au toujours-plus, au champ des possibles absolument ouvert...
La raison ouvre une porte, ou fait un saut quantique dans une autre dimension de la réalité, la raison ou la logique ordinaire impuissantes - ce n'est pas un défaut, mais une limite de l'outil - à en prendre la juste mesure... La raison certes jouant son rôle dans sa dimension propre...
– Ton opposition absolu/relatif, ou le recours au cadre et au regard, ne résout rien : elle déplace simplement le problème.
C'est pourtant bien là que se situe la clé de compréhension...
– La seule notion logiquement tenable est un ensemble ouvert, extensible, non saturé. Toute tentative de concevoir un “Tout absolu” masque l’aporie au lieu de l’éclairer ou de la résoudre et est vouée à l'échec.
L'aporie étant éclairée suffit en tant que solution épistémologique au problème.. En d'autres mots par une question : qu'est-ce qui cause que l'on ne puisse aller plus loin que la limite sinon que l'outil ou son uage qui entraîne qu'on arrive à cette impasse?
Quelle dimension du regard ou à quelle instance faire appel pour considérer 'Ce qui est' dans cette vastitude reconnue sans limites sans rien laisser derrière?
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