Le Christianisme
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- Christianisme [Orthodoxe]
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Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 07:08ORIGINE
Le Christianisme, religion monothéiste issue du judaïsme (Ancien Testament), est inspiré par Jésus de Nazareth, juif lui-même, né à Bethléem, en 7 (ou 5) avant notre ère et mort en l'an 30 à Jérusalem, crucifié par Ponce Pilate.
Jésus se présente comme le "Fils de l'homme" et annonce le Royaume des cieux. Ses adeptes accueillent alors la Bonne Nouvelle (en grec évangélion, "évangile") et professent la bonne parole, à commencer par les apôtres, nommés par lui.
Cette religion croit à un Dieu unique et transcendant : Yahvé et propose un message universaliste qui s'adresse à tous les hommes. Dieu est à la fois Père (le Créateur), Fils (la Parole qui sauve) et Esprit (Saint-Esprit).
Le Christ est le véritable fondement de la foi. Sa mort sauve l'humanité du péché. Il endura sa Passion et fut mis au tombeau. Il ressuscita le troisième jour et monta au Ciel. Il reviendra pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin. Par lui, Dieu a révélé aux hommes les vérités et les mystères que leur raison n'aurait pu appréhender.
La religion chrétienne apporte le salut par la grâce. Dieu a envoyé son Fils sur la terre et en acceptant sa mort, il a réconcilié avec lui les hommes envahis par le péché ou rongés par le Mal. Il annonce une vie nouvelle : amour du prochain y compris des ennemis, recherche de la vérité, résurrection, immortalité de l'âme.
Les premiers textes du Nouveau Testament sont alors rédigés (quatre récits évangéliques de Matthieu, Marc, Luc et Jean entre 50 et 95 et Epitres de Paul entre 51 et 63). Les Évangiles racontent la vie du Christ, son enseignement, sa mort, sa résurrection et sa montée aux cieux et déterminent les premiers préceptes de la doctrine chrétienne.
Les chrétiens prolifèrent alors au Moyen-Orient, dans les grandes villes de l'Empire romain et notamment à Rome. Le christianisme, qui accueille les déshérités et qui refuse de participer au culte de l'empereur, attire à lui les plus pauvres et commence à subir des persécutions. Les chrétiens sont obligés de vivre dans la clandestinité. Nombre d'entre eux seront martyrisés ce qui renforça la ferveur en cette croyance nouvelle. Les croyants se cachaient dans les catacombes pour cultiver leur foi.
Antioche et Rome (où Pierre est martyrisé vers 64) devinrent bientôt les deux lieux les plus importants du christianisme.
En 313 Constantin se convertit et par un Edit, reconnaît officiellement le christianisme. C'est la fin des persécutions et le début de la religion d'État. En 324, Constantinople fut fondée.
C'est alors que vint le temps de l'épanouissement sous toutes ses formes. En 356, le culte païen est interdit. Le christianisme s'accommode d'un certain conformisme et on assiste à un relâchement des moeurs par la hiérarchie ecclésiastique.
L'expansion se poursuit avec la conversion des Lombards et l'évangélisation des scandinaves tandis que Cyrille et Méthode partent en mission chez les slaves.
A la chute de l'Empire d'Occident les églises d'Orient et d'Occident, vont suivrent une évolution différente. En 1054, le patriarche de Constantinople, ne reconnaît plus la prééminence spirituelle du Pape, héritier de Saint Pierre choisi par le Christ pour fonder son église, (catholicisme de katholikos : universel), et les Églises orientales se séparent de Rome ( Grand schisme d'Orient). L'Église byzantine orthodoxe "qui garde la vraie foi" se répand alors dans les pays slaves et balkaniques.
Malgré les Croisades, les Hérésies et l'Inquisition, le Moyen Age est vécu comme l'âge d'or. On bâtit nombre de cathédrales, les ordres monastiques et les universités s'épanouissent.
Les XIVe et XVe siècles apporteront bien des tourments (schisme d'Occident). L'Église et son clergé se laissent aller à la facilité et à la décadence. En réaction contre les abus de l'Église, Martin Luther propose une réforme ; il est bientôt suivi par Jean Calvin. Mais Rome ne retient de ses propositions que les points excessifs et refuse de l'écouter. Les volontés de réformer aboutissent au schisme de la Réforme (1547), et de sanglantes guerres de religion se déroulent alors en Europe (protestantisme).
La nouvelle église luthérienne s'installe dans les pays germaniques et scandinaves; on trouve les calvinistes plutôt en Suisse, en Ecosse, aux Pays-Bas et en France. Au XVIe siècle, l'Église d'Angleterre se coupe de Rome et devient l'Église anglicane (église intermédiaire entre le catholicisme et le protestantisme). L'Église catholique engage alors une contre-réforme (concile de Trente en 1545), en vue de rétablir sa suprématie sur la chrétienté.
L'esprit philosophique des XVIIe et XVIIIe siècles, induit un affaiblissement du sentiment religieux. La Révolution entraîne l'anticléricalisme et la sécularisation des biens de l'église.
Le XXe siècle, voit les trois grandes confessions chrétiennes tenter de regagner une certaine unité avec l'oecuménisme (du grec oïkoumèné : toute la terre habitée).
La religion chrétienne est majoritaire en Europe et en Amérique. Elle regroupe les trois grandes confessions : le catholicisme (60 % environ de tous les chrétiens), l'Église orthodoxe et les Églises issues de la Réforme (protestantisme et anglicanisme).
RITE CATHOLIQUE
La religion Chrétienne, est née au 1er siècle de notre ère. Elle est régie par le Pape (chef de l'Eglise) qui est reconnu comme étant le descendant de St Pierre (1er Pape).
Textes référents :Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Sens de la mort : entrée dans la plénitude de la vie nouvelle du royaume de Dieu. Chacun devient pleinement participant de la vie de Dieu.
Rites du passage de vie à trépas : Prière et lecture de la Bible. Présence de l'aumônier et de la communauté selon désir. L'extrême onction est le sacrement donné dès que la personne sent l'approche de sa fin.
Particularités : si cela est possible, les trois jours de veille avant l'inhumation sont respectés.
Pendant l'office religieux, fleurs, bougies et prières correspondent à l'illumination et l'éclosion de l'âme dans le monde de l'esprit. On aide ainsi le défunt à se détacher du matériel.
Autopsie et prélèvements d'organes : Pas d'obstacle au niveau de la doctrine, ainsi que pour la crémation.
Que devient l'âme ? La mort étant une sortie de l'univers, elle est une sortie du temps et de l'espace. En fait, on sait peu de choses sur cet au-delà. La Bible parle du Royaume, du sein d'Abraham, d'un lieu de repos, etc. C'est par le corps que chacun d'entre nous est en rapport avec le monde. Le paradis est un lieu décrit comme exquis. Mais "Nul ne rejoint le Très-Saint, s'il n'est lui-même sanctifié". L'enfer est la séparation d'avec Dieu.
RITE PROTESTANT
Textes référents : Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Pratiques religieuses : Prière, lecture de la Bible, culte dominical, participation à la Sainte-Cène.
Sens de la mort : Espérance de vie éternelle. Découverte d'une plénitude nouvelle. Passage auprès de Dieu.
Rites du passage de vie à trépas : Prière et lecture de la Bible pour rappeler et renforcer l'espérance en la grâce de Dieu. Présence de l'aumônier et de la communauté selon le désir du mourant.
Particularités : Accompagnement à l'aide de lectures Bibliques et de prières. Un proche du mourant peut faire fonction de pasteur.
Le culte des funérailles est destiné à l'accompagnement de la famille et des amis. il est centré sur la prédication de l'Évangile : promesse de Résurrection.
Le défunt est enterré simplement, avec respect ; lecture d'un verset de la Bible et prières.
Autopsie et prélèvements d'organes : Pas d'obstacle au niveau de la doctrine, ainsi que pour la crémation.
Que devient l'âme ? Traditionnellement, l'existence est vue en trois étapes. La vie ici-bas, la période entre la mort et la résurrection finale (une sorte de sommeil), puis la résurrection proprement dite, à la fin des temps.
Selon un autre courant de pensée, enfer et paradis sont sur terre et le croyant est déjà passé de la mort à la vie. La mort n'est pas pour autant vue comme une impasse, mais comme une porte ouverte. Sur quoi ? On l'ignore.
Pour d'autres encore, la spéculation sur l'au-delà n'a pas de sens et la résurrection est à prendre au sens symbolique. Enfin, il y a aussi des adeptes de la réincarnation.
RITE ORTHODOXE GREC OU RUSSE
Il découle de la religion Chrétienne. Cette obédience ne reconnaît pas le Pape comme descendant de Saint Pierre.
Textes référents : Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Sens de la mort : La mort est naissance à la vie nouvelle, la rentrée dans la vie spirituelle. Nous vivons ici dans la pensée de la vie à venir.
Rites du passage de vie à trépas : Appeler le pope et la famille : communion et prières pour le repos de l'âme. Après le décès les bras sont croisés sur la poitrine.
Particularités : Pendant l'office religieux, fleurs, bougies et prières correspondent à ce qui se passe sur le plan spirituel : l'illumination et l'éclosion de l'âme dans le monde de l'esprit. Traditionnellement le corps est porté à l'église, cercueil ouvert.
Autopsie et prélèvements d'organes : À éviter selon la doctrine orthodoxe.
Que devient l'âme ? L'ascension vers Dieu se poursuit pendant quarante jours, le temps pour l'âme de se purifier et d'accomplir l'effort de détachement de l'enveloppe corporelle. Le paradis - une notion développée en Orient, dans un monde de chaleur et de sable - est vu comme un jardin. C'est un état de vie dans la présence de Dieu. L'enfer, c'est l'inverse, la séparation d'avec Dieu. Il y a deux formes de mort : l'agonie, expérience douloureuse de celui qui ne veut pas quitter son enveloppe charnelle. Et la dormition, dans laquelle celui qui s'endort s'est préparé et vit la mort comme un passage, une Pâque.
ma religion
Le Christianisme, religion monothéiste issue du judaïsme (Ancien Testament), est inspiré par Jésus de Nazareth, juif lui-même, né à Bethléem, en 7 (ou 5) avant notre ère et mort en l'an 30 à Jérusalem, crucifié par Ponce Pilate.
Jésus se présente comme le "Fils de l'homme" et annonce le Royaume des cieux. Ses adeptes accueillent alors la Bonne Nouvelle (en grec évangélion, "évangile") et professent la bonne parole, à commencer par les apôtres, nommés par lui.
Cette religion croit à un Dieu unique et transcendant : Yahvé et propose un message universaliste qui s'adresse à tous les hommes. Dieu est à la fois Père (le Créateur), Fils (la Parole qui sauve) et Esprit (Saint-Esprit).
Le Christ est le véritable fondement de la foi. Sa mort sauve l'humanité du péché. Il endura sa Passion et fut mis au tombeau. Il ressuscita le troisième jour et monta au Ciel. Il reviendra pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin. Par lui, Dieu a révélé aux hommes les vérités et les mystères que leur raison n'aurait pu appréhender.
La religion chrétienne apporte le salut par la grâce. Dieu a envoyé son Fils sur la terre et en acceptant sa mort, il a réconcilié avec lui les hommes envahis par le péché ou rongés par le Mal. Il annonce une vie nouvelle : amour du prochain y compris des ennemis, recherche de la vérité, résurrection, immortalité de l'âme.
Les premiers textes du Nouveau Testament sont alors rédigés (quatre récits évangéliques de Matthieu, Marc, Luc et Jean entre 50 et 95 et Epitres de Paul entre 51 et 63). Les Évangiles racontent la vie du Christ, son enseignement, sa mort, sa résurrection et sa montée aux cieux et déterminent les premiers préceptes de la doctrine chrétienne.
Les chrétiens prolifèrent alors au Moyen-Orient, dans les grandes villes de l'Empire romain et notamment à Rome. Le christianisme, qui accueille les déshérités et qui refuse de participer au culte de l'empereur, attire à lui les plus pauvres et commence à subir des persécutions. Les chrétiens sont obligés de vivre dans la clandestinité. Nombre d'entre eux seront martyrisés ce qui renforça la ferveur en cette croyance nouvelle. Les croyants se cachaient dans les catacombes pour cultiver leur foi.
Antioche et Rome (où Pierre est martyrisé vers 64) devinrent bientôt les deux lieux les plus importants du christianisme.
En 313 Constantin se convertit et par un Edit, reconnaît officiellement le christianisme. C'est la fin des persécutions et le début de la religion d'État. En 324, Constantinople fut fondée.
C'est alors que vint le temps de l'épanouissement sous toutes ses formes. En 356, le culte païen est interdit. Le christianisme s'accommode d'un certain conformisme et on assiste à un relâchement des moeurs par la hiérarchie ecclésiastique.
L'expansion se poursuit avec la conversion des Lombards et l'évangélisation des scandinaves tandis que Cyrille et Méthode partent en mission chez les slaves.
A la chute de l'Empire d'Occident les églises d'Orient et d'Occident, vont suivrent une évolution différente. En 1054, le patriarche de Constantinople, ne reconnaît plus la prééminence spirituelle du Pape, héritier de Saint Pierre choisi par le Christ pour fonder son église, (catholicisme de katholikos : universel), et les Églises orientales se séparent de Rome ( Grand schisme d'Orient). L'Église byzantine orthodoxe "qui garde la vraie foi" se répand alors dans les pays slaves et balkaniques.
Malgré les Croisades, les Hérésies et l'Inquisition, le Moyen Age est vécu comme l'âge d'or. On bâtit nombre de cathédrales, les ordres monastiques et les universités s'épanouissent.
Les XIVe et XVe siècles apporteront bien des tourments (schisme d'Occident). L'Église et son clergé se laissent aller à la facilité et à la décadence. En réaction contre les abus de l'Église, Martin Luther propose une réforme ; il est bientôt suivi par Jean Calvin. Mais Rome ne retient de ses propositions que les points excessifs et refuse de l'écouter. Les volontés de réformer aboutissent au schisme de la Réforme (1547), et de sanglantes guerres de religion se déroulent alors en Europe (protestantisme).
La nouvelle église luthérienne s'installe dans les pays germaniques et scandinaves; on trouve les calvinistes plutôt en Suisse, en Ecosse, aux Pays-Bas et en France. Au XVIe siècle, l'Église d'Angleterre se coupe de Rome et devient l'Église anglicane (église intermédiaire entre le catholicisme et le protestantisme). L'Église catholique engage alors une contre-réforme (concile de Trente en 1545), en vue de rétablir sa suprématie sur la chrétienté.
L'esprit philosophique des XVIIe et XVIIIe siècles, induit un affaiblissement du sentiment religieux. La Révolution entraîne l'anticléricalisme et la sécularisation des biens de l'église.
Le XXe siècle, voit les trois grandes confessions chrétiennes tenter de regagner une certaine unité avec l'oecuménisme (du grec oïkoumèné : toute la terre habitée).
La religion chrétienne est majoritaire en Europe et en Amérique. Elle regroupe les trois grandes confessions : le catholicisme (60 % environ de tous les chrétiens), l'Église orthodoxe et les Églises issues de la Réforme (protestantisme et anglicanisme).
RITE CATHOLIQUE
La religion Chrétienne, est née au 1er siècle de notre ère. Elle est régie par le Pape (chef de l'Eglise) qui est reconnu comme étant le descendant de St Pierre (1er Pape).
Textes référents :Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Sens de la mort : entrée dans la plénitude de la vie nouvelle du royaume de Dieu. Chacun devient pleinement participant de la vie de Dieu.
Rites du passage de vie à trépas : Prière et lecture de la Bible. Présence de l'aumônier et de la communauté selon désir. L'extrême onction est le sacrement donné dès que la personne sent l'approche de sa fin.
Particularités : si cela est possible, les trois jours de veille avant l'inhumation sont respectés.
Pendant l'office religieux, fleurs, bougies et prières correspondent à l'illumination et l'éclosion de l'âme dans le monde de l'esprit. On aide ainsi le défunt à se détacher du matériel.
Autopsie et prélèvements d'organes : Pas d'obstacle au niveau de la doctrine, ainsi que pour la crémation.
Que devient l'âme ? La mort étant une sortie de l'univers, elle est une sortie du temps et de l'espace. En fait, on sait peu de choses sur cet au-delà. La Bible parle du Royaume, du sein d'Abraham, d'un lieu de repos, etc. C'est par le corps que chacun d'entre nous est en rapport avec le monde. Le paradis est un lieu décrit comme exquis. Mais "Nul ne rejoint le Très-Saint, s'il n'est lui-même sanctifié". L'enfer est la séparation d'avec Dieu.
RITE PROTESTANT
Textes référents : Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Pratiques religieuses : Prière, lecture de la Bible, culte dominical, participation à la Sainte-Cène.
Sens de la mort : Espérance de vie éternelle. Découverte d'une plénitude nouvelle. Passage auprès de Dieu.
Rites du passage de vie à trépas : Prière et lecture de la Bible pour rappeler et renforcer l'espérance en la grâce de Dieu. Présence de l'aumônier et de la communauté selon le désir du mourant.
Particularités : Accompagnement à l'aide de lectures Bibliques et de prières. Un proche du mourant peut faire fonction de pasteur.
Le culte des funérailles est destiné à l'accompagnement de la famille et des amis. il est centré sur la prédication de l'Évangile : promesse de Résurrection.
Le défunt est enterré simplement, avec respect ; lecture d'un verset de la Bible et prières.
Autopsie et prélèvements d'organes : Pas d'obstacle au niveau de la doctrine, ainsi que pour la crémation.
Que devient l'âme ? Traditionnellement, l'existence est vue en trois étapes. La vie ici-bas, la période entre la mort et la résurrection finale (une sorte de sommeil), puis la résurrection proprement dite, à la fin des temps.
Selon un autre courant de pensée, enfer et paradis sont sur terre et le croyant est déjà passé de la mort à la vie. La mort n'est pas pour autant vue comme une impasse, mais comme une porte ouverte. Sur quoi ? On l'ignore.
Pour d'autres encore, la spéculation sur l'au-delà n'a pas de sens et la résurrection est à prendre au sens symbolique. Enfin, il y a aussi des adeptes de la réincarnation.
RITE ORTHODOXE GREC OU RUSSE
Il découle de la religion Chrétienne. Cette obédience ne reconnaît pas le Pape comme descendant de Saint Pierre.
Textes référents : Conception chrétienne, basée sur l'Ancien et le Nouveau Testament
Sens de la mort : La mort est naissance à la vie nouvelle, la rentrée dans la vie spirituelle. Nous vivons ici dans la pensée de la vie à venir.
Rites du passage de vie à trépas : Appeler le pope et la famille : communion et prières pour le repos de l'âme. Après le décès les bras sont croisés sur la poitrine.
Particularités : Pendant l'office religieux, fleurs, bougies et prières correspondent à ce qui se passe sur le plan spirituel : l'illumination et l'éclosion de l'âme dans le monde de l'esprit. Traditionnellement le corps est porté à l'église, cercueil ouvert.
Autopsie et prélèvements d'organes : À éviter selon la doctrine orthodoxe.
Que devient l'âme ? L'ascension vers Dieu se poursuit pendant quarante jours, le temps pour l'âme de se purifier et d'accomplir l'effort de détachement de l'enveloppe corporelle. Le paradis - une notion développée en Orient, dans un monde de chaleur et de sable - est vu comme un jardin. C'est un état de vie dans la présence de Dieu. L'enfer, c'est l'inverse, la séparation d'avec Dieu. Il y a deux formes de mort : l'agonie, expérience douloureuse de celui qui ne veut pas quitter son enveloppe charnelle. Et la dormition, dans laquelle celui qui s'endort s'est préparé et vit la mort comme un passage, une Pâque.
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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 07:49Le christianisme, religion de tous les vrais prophètes
Le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ fut annoncé depuis le début de l'humanité et possèda dès le début, par effet rétroactif, sa puissance salvatrice. Par conséquent, Jésus non encore incarné, du nom de Jéhovah (Je Suis), agissant sous l'autorité de Dieu (Elohim), conduisit l'Eglise depuis le début à travers ses représentants les prophètes, en tant que médiateur entre Dieu et l'homme - ce dernier séparé de Dieu depuis la chute:
" Jésus donc leur dit: Quand vous aurez élevé le Fils de l`homme, alors vous connaîtrez ce que JE SUIS, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi; il ne m'a pas laissé seul " (Jean 8:28).
"En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu' Abraham fût, JE SUIS " (Jean 8:58).
Jésus dirigea le royaume de Dieu d'abord à travers l'Eglise des patriarches, puis à travers l'Assemblée des enfants d'Israèl, et, finalement, par des prophètes/apôtres parmi les élus de tous les peuples de l'Eglise que le Christ lui-même établit pendant son ministère terrestre.
Ce qu'il faut bien se dire c'est qu'à travers l'expiation du Christ, c'est comme si chaque homme et femme, par procuration, avait souffert pour ses propres péchés... Mais, c'est seulement la repentance définitive de chaque homme et femme qui fait que Dieu accepte que le sacrifice de Jésus justifie telle ou telle personne.
Dans le christianisme, c'est le sacrifice volontaire de Jésus qui est pris en compte dès la fondation du monde afin que des prophètes puissent être envoyés et les hommes se repentir pour que la miséricorde de Dieu s'exerce sur tous en justice grâce à l'expiation qui sera accomplie.
Aucun vrai prophète n'est jamais venu sans annoncer Jésus-Christ, le plan de rédemption et de bonheur. Annoncer autre chose, c'est amener une fausse "bonne nouvelle", une révélation incomplète donc inutile, un faux Evangile:
" Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème! " (Gal.1:8).
Depuis Adam, lorsque l'homme, en vertu de l'autorité divine, offrait en sacrifice les premiers-nés du troupeau et les prémices des champs, son acte ne pouvait le justifier que s'il l'accomplissait avec foi au Christ à venir ou comme une similitude du grand sacrifice du premier-né de Dieu annoncé constamment par les prophètes. Seul le sang du Christ possède le pouvoir de laver les péchés à condition de se repentir. Dieu n'avait que faire du sang des animaux sans la foi en Jésus-Christ!... Comme ce n'est également pas les emblêmes de la sainte-cène qui ont le pouvoir de nous laver dans la nouvelle alliance; ils nous renvoient à la foi en Jésus-Christ et à son expiation, ils ne représentent rien en eux-mêmes.
Les conditions de la rédemption de l'homme furent annoncées dès le début à Adam et Eve afin que les hommes invoquent Dieu au nom du Fils dès le début. Ce que prouve cette parole prophétique concernant la douleur de Marie et le triomphe futur du Fils de Dieu:
" Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon." (Gen.3:15).
Le ministère de Jésus-Christ ne commença pas en Judée par sa naissance, il commença dans l'éternité d'avant, dans l'esprit, en tant que Parole; et, depuis la chute, en qualité de "Je suis" ou YHVH. C'est donc Jéhovah (la forme anglicisée de YHVH) qui intervient depuis ce temps en qualité de médiateur... tout en parlant au nom d'Elohim comme s'il était lui-même Elohim en vertu d'une pleine investiture d'autorité divine nécessaire pour représenter totalement Dieu (Elohim ayant même placé son nom sur lui, le nom de Yahveh).
C'est donc Yahveh (Jésus non encore incarné) qui était le Dieu de l'ancien testament; c'est Yahveh qui "inventa le christianisme" déjà pour Adam; c'est Yahveh qui apparut en Esprit à un certain nombre de prophètes de l'ancien testament; et c'est Yahveh qui leur donna la révélation et qui conduisit Israël:
" Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu!" (Matt.23:37).
Et Jésus de confirmer le caractère chrétien de la révélation, dès le début:
" Puis il leur dit: C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes." (Luc 24:44).
Le point culminant du culte chrétien dans l'ancien testament, se produisit à l'occasion du sacrifice d'Isaac - premier-né d'Abraham selon le droit d'aînesse - sur le mont Morija. De même, pour le nouveau testament, le point culminant du message évangélique se produisit au supplice de la croix à peu près au même endroit, puis par la résurrection de Jésus en ce lieu.
C'est dans le cadre du culte chrétien que Mechisédeck (roi et prêtre de Salem) administra la sainte-cène à Abraham:
" Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était sacrificateur du Dieu Très Haut." (Gen.14:18).
En effet, Abraham auquel Dieu apparut, reçut la plénitude l'Evangile, toute la bonne nouvelle:
" Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il l'a vu, et il s'est réjoui " (Jean 8:56).
L'agneau pascal, tué pour chaque foyer israélite lors de la fête annuelle de la Pâque, était un type particulier de l'agneau de Dieu qui serait sacrifié en son temps pour les péchés du monde. La crucifixion du Christ se produisit à l'époque de la Pâque:
" Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d'un an; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau " (Exode 12:1).
Suite à la rebellion, après avoir brisé les premières tables qui contenaient la plénitude de l'Evangile, Moïse donna la loi (l'Evangile préparatoire) avec tout son symbolisme centré sur le sacrifice expiatoire à venir de Jésus-Christ pour tourner Israël vers son Sauveur:
"Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi." (Gal.3:24).
"... et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ." (1 Cor.10:4).
C'est pourquoi, tous les vrais prophètes annoncèrent Jésus et prêchèrent la repentance pour la rémission des péchés:
" Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph." (Jean 1:45).
Ce que Jésus lui-même enseigna:
" Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait." (Luc 24:27).
" Jésus prit les douze auprès de lui, et leur dit: Voici, nous montons à Jérusalem, et tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l'homme s'accomplira." (Luc 18:31).
" Puis il leur dit: C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes." (Luc 24:44).
En fait, le premier chrétien fut Adam afin que pendant toute sa longue vie il pût annoncer sa propre rédemption et le plan de salut à sa descendance.
Même la doctrine du baptème par immersion et de l'autorité nécessaire pour l'accomplir, étaient connu avant Jésus-Christ:
" Ils lui firent encore cette question: Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ, ni Élie, ni le prophète? (Jean 1:24-25).
Même si trop peu de gens étaient préparés par la loi de Moïse pour regarder vers le Christ (comme la famille de Jésus, celle de Zacharie, Siméon, Anne, les bergers, les mages...) en étant d'authentiques chrétiens au coeur bien disposé pour accueillir le messie, il n'en reste pas moins que la foi en Jésus-Christ et en son Evangile était la seule chose que les hommes avaient besoin d'entendre quelque fût l'époque pour atteindre la véritable connaissance de Dieu, connaître le bonheur sur terre et obtenir la vie éternelle dans le monde à venir.
jusmon
Le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ fut annoncé depuis le début de l'humanité et possèda dès le début, par effet rétroactif, sa puissance salvatrice. Par conséquent, Jésus non encore incarné, du nom de Jéhovah (Je Suis), agissant sous l'autorité de Dieu (Elohim), conduisit l'Eglise depuis le début à travers ses représentants les prophètes, en tant que médiateur entre Dieu et l'homme - ce dernier séparé de Dieu depuis la chute:
" Jésus donc leur dit: Quand vous aurez élevé le Fils de l`homme, alors vous connaîtrez ce que JE SUIS, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi; il ne m'a pas laissé seul " (Jean 8:28).
"En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu' Abraham fût, JE SUIS " (Jean 8:58).
Jésus dirigea le royaume de Dieu d'abord à travers l'Eglise des patriarches, puis à travers l'Assemblée des enfants d'Israèl, et, finalement, par des prophètes/apôtres parmi les élus de tous les peuples de l'Eglise que le Christ lui-même établit pendant son ministère terrestre.
Ce qu'il faut bien se dire c'est qu'à travers l'expiation du Christ, c'est comme si chaque homme et femme, par procuration, avait souffert pour ses propres péchés... Mais, c'est seulement la repentance définitive de chaque homme et femme qui fait que Dieu accepte que le sacrifice de Jésus justifie telle ou telle personne.
Dans le christianisme, c'est le sacrifice volontaire de Jésus qui est pris en compte dès la fondation du monde afin que des prophètes puissent être envoyés et les hommes se repentir pour que la miséricorde de Dieu s'exerce sur tous en justice grâce à l'expiation qui sera accomplie.
Aucun vrai prophète n'est jamais venu sans annoncer Jésus-Christ, le plan de rédemption et de bonheur. Annoncer autre chose, c'est amener une fausse "bonne nouvelle", une révélation incomplète donc inutile, un faux Evangile:
" Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème! " (Gal.1:8).
Depuis Adam, lorsque l'homme, en vertu de l'autorité divine, offrait en sacrifice les premiers-nés du troupeau et les prémices des champs, son acte ne pouvait le justifier que s'il l'accomplissait avec foi au Christ à venir ou comme une similitude du grand sacrifice du premier-né de Dieu annoncé constamment par les prophètes. Seul le sang du Christ possède le pouvoir de laver les péchés à condition de se repentir. Dieu n'avait que faire du sang des animaux sans la foi en Jésus-Christ!... Comme ce n'est également pas les emblêmes de la sainte-cène qui ont le pouvoir de nous laver dans la nouvelle alliance; ils nous renvoient à la foi en Jésus-Christ et à son expiation, ils ne représentent rien en eux-mêmes.
Les conditions de la rédemption de l'homme furent annoncées dès le début à Adam et Eve afin que les hommes invoquent Dieu au nom du Fils dès le début. Ce que prouve cette parole prophétique concernant la douleur de Marie et le triomphe futur du Fils de Dieu:
" Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon." (Gen.3:15).
Le ministère de Jésus-Christ ne commença pas en Judée par sa naissance, il commença dans l'éternité d'avant, dans l'esprit, en tant que Parole; et, depuis la chute, en qualité de "Je suis" ou YHVH. C'est donc Jéhovah (la forme anglicisée de YHVH) qui intervient depuis ce temps en qualité de médiateur... tout en parlant au nom d'Elohim comme s'il était lui-même Elohim en vertu d'une pleine investiture d'autorité divine nécessaire pour représenter totalement Dieu (Elohim ayant même placé son nom sur lui, le nom de Yahveh).
C'est donc Yahveh (Jésus non encore incarné) qui était le Dieu de l'ancien testament; c'est Yahveh qui "inventa le christianisme" déjà pour Adam; c'est Yahveh qui apparut en Esprit à un certain nombre de prophètes de l'ancien testament; et c'est Yahveh qui leur donna la révélation et qui conduisit Israël:
" Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu!" (Matt.23:37).
Et Jésus de confirmer le caractère chrétien de la révélation, dès le début:
" Puis il leur dit: C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes." (Luc 24:44).
Le point culminant du culte chrétien dans l'ancien testament, se produisit à l'occasion du sacrifice d'Isaac - premier-né d'Abraham selon le droit d'aînesse - sur le mont Morija. De même, pour le nouveau testament, le point culminant du message évangélique se produisit au supplice de la croix à peu près au même endroit, puis par la résurrection de Jésus en ce lieu.
C'est dans le cadre du culte chrétien que Mechisédeck (roi et prêtre de Salem) administra la sainte-cène à Abraham:
" Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin: il était sacrificateur du Dieu Très Haut." (Gen.14:18).
En effet, Abraham auquel Dieu apparut, reçut la plénitude l'Evangile, toute la bonne nouvelle:
" Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il l'a vu, et il s'est réjoui " (Jean 8:56).
L'agneau pascal, tué pour chaque foyer israélite lors de la fête annuelle de la Pâque, était un type particulier de l'agneau de Dieu qui serait sacrifié en son temps pour les péchés du monde. La crucifixion du Christ se produisit à l'époque de la Pâque:
" Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d'un an; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau " (Exode 12:1).
Suite à la rebellion, après avoir brisé les premières tables qui contenaient la plénitude de l'Evangile, Moïse donna la loi (l'Evangile préparatoire) avec tout son symbolisme centré sur le sacrifice expiatoire à venir de Jésus-Christ pour tourner Israël vers son Sauveur:
"Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi." (Gal.3:24).
"... et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ." (1 Cor.10:4).
C'est pourquoi, tous les vrais prophètes annoncèrent Jésus et prêchèrent la repentance pour la rémission des péchés:
" Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph." (Jean 1:45).
Ce que Jésus lui-même enseigna:
" Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait." (Luc 24:27).
" Jésus prit les douze auprès de lui, et leur dit: Voici, nous montons à Jérusalem, et tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l'homme s'accomplira." (Luc 18:31).
" Puis il leur dit: C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes." (Luc 24:44).
En fait, le premier chrétien fut Adam afin que pendant toute sa longue vie il pût annoncer sa propre rédemption et le plan de salut à sa descendance.
Même la doctrine du baptème par immersion et de l'autorité nécessaire pour l'accomplir, étaient connu avant Jésus-Christ:
" Ils lui firent encore cette question: Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ, ni Élie, ni le prophète? (Jean 1:24-25).
Même si trop peu de gens étaient préparés par la loi de Moïse pour regarder vers le Christ (comme la famille de Jésus, celle de Zacharie, Siméon, Anne, les bergers, les mages...) en étant d'authentiques chrétiens au coeur bien disposé pour accueillir le messie, il n'en reste pas moins que la foi en Jésus-Christ et en son Evangile était la seule chose que les hommes avaient besoin d'entendre quelque fût l'époque pour atteindre la véritable connaissance de Dieu, connaître le bonheur sur terre et obtenir la vie éternelle dans le monde à venir.
jusmon
"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
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Ecrit le 26 mars06, 11:11
Mais encore....!
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 22:33pravoslavac a écrit :
Le Christ est le véritable fondement de la foi. Sa mort sauve l'humanité du péché. Il endura sa Passion et fut mis au tombeau. Il ressuscita le troisième jour et monta au Ciel. Il reviendra pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin. Par lui, Dieu a révélé aux hommes les vérités et les mystères que leur raison n'aurait pu appréhender.
Ratatouille de chez ratatouille
Puisque tu dis qu'il s'est sacrifié pour sauver l'humanité. . . alors pourquoi un jugement??
des pleurs et des grincements de dents dans la gehenn (feu) (Matt)
Dieu n'a t-il pas la possibilité de pardonner sans sacrifice??
" Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices "(Matthieu
"oeuvrez pendant qu'il est encore temps". . C par tes oeuvres que tu seras sauvé!!
pravoslavac a écrit :ma religion.

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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 22:42Pas de bol. . .Puisque personne n'a été sacrifié. . C un bélierjusmon de M. & K. a écrit :
Le point culminant du culte chrétien dans l'ancien testament, se produisit à l'occasion du sacrifice d'Isaac - premier-né d'Abraham selon le droit d'aînesse - sur le mont Morija. De même, pour le nouveau testament, le point culminant du message évangélique se produisit au supplice de la croix à peu près au même endroit, puis par la résurrection de Jésus en ce lieu.

Sacrifice d'animaux . . pas d'êtres humain!!jusmon de M. & K. a écrit :L'agneau pascal, tué pour chaque foyer israélite lors de la fête annuelle de la Pâque, était un type particulier de l'agneau de Dieu qui serait sacrifié en son temps pour les péchés du monde. La crucifixion du Christ se produisit à l'époque de la Pâque:
égorger une bête puis la mettre au feu. . Il aurait donc fallut égorger Jésus et le mettre au barbecue . . pour que ça marche!!
Tu m'étonneras toujours . .

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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 22:45Ta place n'est pas dans cette secion.
Le terrorisme et la bêtise, c'est dans Bible/coran.
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"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 22:57haha. . quand on sait plus quoi direjusmon de M. & K. a écrit :Ta place n'est pas dans cette secion.
Le terrorisme et la bêtise, c'est dans Bible/coran.

Tien. . . autre chose
" très peu d'élus" (Matt). . . tu en fais partie

C celui qui aura fait la volonté du PERE qui sera sauvé et non pas grâce au sang innocent. .
7.19
Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
7.20
C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
7.21
Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux.
7.22
Ceux qui commettent l'iniquité au nom de Jésus 'as) n'entreront pas au paradis. . .Donc preuve qu'il n'y a eu aucun sacrifice pour sauver l'humanité. . .
Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom? n'avons-nous pas chassé des démons par ton nom? et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom?
7.23
Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité.
- jusmon de M. & K.
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Re: Le Christianisme
Ecrit le 26 mars06, 23:07Pas du tout, mais sur Mejliss je ne vais pas emm. les musulmans dans leurs sections inter-communauteires.El Mahjouba-Marie a écrit : haha. . quand on sait plus quoi dire![]()
Fais de même!
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Ecrit le 27 mars06, 02:57
Dieu n'a pas besoin de sacrifice pour pardonner
IL est Miséricordieux . .
Osée ch 6 v 6 .
Car j'aime la piété et non les "sacrifices", Et la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
Ezeckiel ch 18 v 21 .
Si le méchant revient de tous les péchés qu'il a commis, s'il observe toutes mes lois et pratique la droiture et la justice, il vivra, il ne mourra pas.
Toutes les transgressions qu'il a commises seront oubliées; il vivra, à cause de la justice qu'il a pratiquée.
Psaume ch 78 v 38-39 .
Toutefois, dans sa miséricorde, il pardonne l'iniquité et ne détruit pas; Il retient souvent sa colère et ne se livre pas à toute sa fureur.
39 Il se souvint qu'ils n'étaient que chair, Un souffle qui s'en va et ne revient pas .
Esaie ch 43 v 25 .
C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés
IL est Miséricordieux . .
Osée ch 6 v 6 .
Car j'aime la piété et non les "sacrifices", Et la connaissance de Dieu plus que les holocaustes.
Ezeckiel ch 18 v 21 .
Si le méchant revient de tous les péchés qu'il a commis, s'il observe toutes mes lois et pratique la droiture et la justice, il vivra, il ne mourra pas.
Toutes les transgressions qu'il a commises seront oubliées; il vivra, à cause de la justice qu'il a pratiquée.
Psaume ch 78 v 38-39 .
Toutefois, dans sa miséricorde, il pardonne l'iniquité et ne détruit pas; Il retient souvent sa colère et ne se livre pas à toute sa fureur.
39 Il se souvint qu'ils n'étaient que chair, Un souffle qui s'en va et ne revient pas .
Esaie ch 43 v 25 .
C'est moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne me souviendrai plus de tes péchés
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Ecrit le 27 mars06, 03:16
MARIE signe est persiste.
combien de fois tu nous citera ses vesets
et combien de fois faut il te prouver que tu cite des versets hors contexte.
combien de fois tu nous citera ses vesets

(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
- pravoslavac
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Ecrit le 27 mars06, 04:06
bah. . c tout mignonpravoslavac a écrit :marie je suis orthodoxoe c'est pour sa je dit c'est ma religion je suis fier

t'es arabe?
Une autre preuve que Jésus n'a pas été tué . .
Jésus dit: Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m'en vais vers celui qui m'a envoyé.
7.34
Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai.
7.35
Sur quoi les Juifs dirent entre eux: Où ira-t-il, que nous ne le trouvions pas? Ira-t-il parmi ceux qui sont dispersés chez les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs?
7.36
Que signifie cette parole qu'il a dite: Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai?
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Ecrit le 27 mars06, 04:32
ils pouvaient pas le trouver car il était avec DIEU ressucité.El Mahjouba-Marie a écrit :bah. . c tout mignon![]()
t'es arabe?
Une autre preuve que Jésus n'a pas été tué . .
Jésus dit: Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m'en vais vers celui qui m'a envoyé.
7.34
Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai.
7.35
Sur quoi les Juifs dirent entre eux: Où ira-t-il, que nous ne le trouvions pas? Ira-t-il parmi ceux qui sont dispersés chez les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs?
7.36
Que signifie cette parole qu'il a dite: Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai?
c'est d'une simplicité évangélique

(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Ecrit le 27 mars06, 04:45
saperlipopette. . .S'ils l'ont tué et crucifié. . ça veut dire qu'ils l'ont trouvé. . ils n'avaient plus besoin de le cherchermedico a écrit : ils pouvaient pas le trouver car il était avec DIEU ressucité.
c'est d'une simplicité évangélique
OR Jésus le dit bien avant . . et il dit la même chose aux disciples. . (donc les disciples ne l'ont pas revue comme l'affirment les évangélistes)
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