Noble caractère du prophète:
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Ecrit le 25 avr.06, 05:40
dieu enseigne a mohamed ce qu'il doit dire comme il est marqué dans la prophétie biblique:
Deutéronome (18:19):
«Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en Mon nom, c'est Moi qui lui en demanderai compte.»
Dans le Coran, 113 des 114 chapitres (sourates) commencent par « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.»
«Récite ce qui t’est révélé du Livre et accomplis la Salât» 29.45
Dieu enseigne a mohamed ce qu'il doit dire,
"Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah, Seigneur de l'univers. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,Maître du Jour de la rétribution. C'est Toi [Seul] que nous adorons, et c'est Toi [Seul] dont nous implorons secours. Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés."
On peut trouver beaucoup de mot, comme "dit", "récite" dans le coran
Deutéronome (18:19):
«Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en Mon nom, c'est Moi qui lui en demanderai compte.»
Dans le Coran, 113 des 114 chapitres (sourates) commencent par « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.»
«Récite ce qui t’est révélé du Livre et accomplis la Salât» 29.45
Dieu enseigne a mohamed ce qu'il doit dire,
"Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah, Seigneur de l'univers. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,Maître du Jour de la rétribution. C'est Toi [Seul] que nous adorons, et c'est Toi [Seul] dont nous implorons secours. Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés."
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- Mickael_Keul
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Ecrit le 25 avr.06, 16:48
Les excuses habituelles que nous sommes oblige d'accepter.abdel12 a écrit :dieu enseigne a mohamed ce qu'il doit dire comme il est marqué dans la prophétie biblique:
Deutéronome (18:19):
«Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en Mon nom, c'est Moi qui lui en demanderai compte.»
Dans le Coran, 113 des 114 chapitres (sourates) commencent par « Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.»
«Récite ce qui t’est révélé du Livre et accomplis la Salât» 29.45
Dieu enseigne a mohamed ce qu'il doit dire,
"Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Louange à Allah, Seigneur de l'univers. Le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux,Maître du Jour de la rétribution. C'est Toi [Seul] que nous adorons, et c'est Toi [Seul] dont nous implorons secours. Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés."
On peut trouver beaucoup de mot, comme "dit", "récite" dans le coran
Le probleme de confusion de personne est trop prevalent dans le coran pour etre une coincidence.
La plupart des experts s'accordent sur le fait que les "dit" et "recite" sont des rajoutes d'Othman qui s'est rendu compte du probleme.
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Re: Noble caractère du prophète:
Ecrit le 27 avr.06, 06:24L'essor de l'islam
L'hypothèse du succès de Muhammad tient au fait que son message répondait aux besoins spirituels profonds des Mecquois. La Mecque, à cette époque, était en proie à un malaise social, voire à une crise de spiritualité, et le culte des dieux locaux de la kaaba ne pouvait y apporter de réponse. Les Mecquois étaient donc plongés dans l'idôlatrie et la dégradation morale, jusqu'à ce que Muhammad arriva et les fît revenir à un niveau de moralité et de spiritualité plus élevé.
Cependant, la vérité c'est que la tradition ne mentionne aucun malaise à La Mecque, qu'il soit d'ordre religieux, social, politique ou moral. Bien au contraire, elle décrit les Mecquois comme prospères. La raison pour laquelle les Mecquois donnent l'impression d'etre en faillite morale dans les sources musulmanes n'est pas que leur façon traditionnelle de vivre était décadente, mais parce qu'elle fonctionnait au contraire trop bien : Les Mecquois préféraient leur mode de vie traditionnel à l'islam.
C'est pour cette raison qu'ils sont décriés par les sources; plus un homme était attaché à ce mode de vie et plus nous nous parait cynique, amoral ou hypocrite. Abu Sufyan (un chef de l'aristocratie mecquoise hostile à Muhammad) ne peut pas jurer par le nom d'une divinité païenne sans que le lecteur ne ressente une aversion instinctive à son égard, parce que le lecteur sait d'après ses propres références que, quelqu'un qui jure par une fausse divinité est quelqu'un qui ne croit en rien.
Quant à une crise de spiritualité, il ne semble pas qu'il y ait eu quelque chose de semblable dans l'Arabie du VIe siècle.
Mais alors, comment peut-on expliquer la concersion massive de l'Arabie à l'islam ?
La société à cette époque était organisée autour de la tribu, et chaque tribu avait sa divinité tutélaire, qui était vénérée avec l'espoir qu'elle rendrait plus ou moins service, en particulier en apportant la pluie, en rendant fertile, en éliminant les maladies et, de façon générale, en protégeant la tribu des éléments naturels. Les dieux tribaux n'incarnaient pas "d'ultime vérité concernant la nature et le sens de la vie", pas plus qu'ils n'étaient "profondémment engagés dans la vie quotidienne". Par conséquent, rien ne s'opposait à ce que les Arabes renonçassent à un dieu pour un autre puisque cela n'entraînait aucun changement d'attitude mentale ni de comportement.
De son côté, le dieu musulman "reprenait et ennoblissait des caractéristiques tribales fondamentales telles que la militance et la fierté ethnique". Le dieu musulman offrait quelque chose de plus que les idoles. Il offrait un programme de "formation d'un Etat arabe et de conquêtes : la création d'une ummah (peuple ou nation), le déclenchement d'un jihad (guerre contre les incroyants). Le succès de Muhammad tient au fait qu'il prêcha à la fois pour la création d'une nation et pour une politique d'expansion. Sans conquêtes, d'abord en Arabie pour dans le reste du Croissant fertile, l'unification de l'Arabie n'aurait pas pu être menée à bien. Naturellement le nombre de partisans augmentait au fur et à mesure que Muhammad remportait des batailles. Ils réalisaient qu'Allah était bien sûr grand, et en tout cas plus grand que leurs propres divinités. Un dieu qui remporte des victoires est un vrai diu, pas celui qui les perd.
Ayant déjà commencé à conquérir sur leurs propres territoires, les Arabes et leurs chefs n'étaient pas disposés à s'arrêter alors qu'ils atteignaient des terres fertiles. Là justement se trouvaient les ressources dont ils avaient besoin pour continuer et dont ils s'étaient déjà servis par les passé. Le dieu de Muhammad donna son aval à cette politique de conquête et ordonna de combattre les incroyants partout où ils se trouvaient... En résumé, Muhammad était dans l'obligation de conquérir, ses partisans aimaient conquérir et sa déité lui ordonnait de conquérir. Que nous faut-il de plus?
Mais la guerre sainte n'était pas qu'un prétexte pour satisfaire des besoins matériels. C'était, au contraire, une façon de les proclamer ouvertement : "Dieu dit : "Mes serviteurs fidèles hériteront de la terre", voici maintenant votre héritage et ce que votre Seigneur vous avait promis". A la veille de la bataille de Qadisiyyah contre les Perses, on dit aux guerriers musulmans : "Si vous gagnez(...) alors leurs biens, leurs femmes, leurs enfants et leur pays seront les vôtres." Dieu ne pouvait être plus explicite. Il disait aux Arabes qu'ils avaient le droit de dépouiller les autres de leurs femmes, de leurs enfants, de leurs terres, ou, à vraie dire, qu'ils avaient le devoir de le faire : la guerre sainte consistait à obéir. Ainsi le dieu de Muhammad élevait les luttes tribales et la cupidité au rang de vertus religieuses suprêmes.
Pour résumer, loin d'apporter une réponse aux questions métaphysiques des tribues (elles ne s'en posaient pas), Muhammad créa une nation et offrit aux Arabes ce à quoi ils étaient habitués, à savoir des conquêtes militaires, avec tous les avantages matériels qui vont avec : butins, femmes et terres. Allah était préférable aux vieilles divinités simplement parce qu'il ne les avait pas déçus. Il avait délivré la marchandise en temps et lieu voulus. Allah n'était certainement pas préférable aux divinités pour quelque raison métaphysique; les Arabes n'avaient soudainement pas adopté le principe du Rasoir d'Occam*. A vrai dire, en termes de comportement, la plus grande partie de l'Arabie était toujours païenne au XIXe siècle.
Il est probable que l'influence démoralisatrice commença à se faire sentir quand Muhammad était à la tête d'une bande de voleurs. C'est alors que des hommes qui n'avaient jamais rompu un serment apprirent qu'ils pouvaient échapper à leurs obligations, et que des hommes pour qui le sang des membres du clan était aussi précieux que le leur commencèrent à le verser avec l'impunité de la cause de Dieu, et que le mensonge et la tricherie pour la cause de l'islam recevaient l'approbation divine, et que hésiter à se parjurer pour cette cause était considéré comme une faiblesse. Ce fut alors, aussi, que la convoitise des biens et des femmes (que possédaient les incroyants) fut reconnue et encouragée par le prophète.
*Principe énoncé par Occam selon lequel les êtres ou les entités (en l'occurence les dieux) ne doivent pas être multipliés au-delà de ce qui est nécessaire
L'hypothèse du succès de Muhammad tient au fait que son message répondait aux besoins spirituels profonds des Mecquois. La Mecque, à cette époque, était en proie à un malaise social, voire à une crise de spiritualité, et le culte des dieux locaux de la kaaba ne pouvait y apporter de réponse. Les Mecquois étaient donc plongés dans l'idôlatrie et la dégradation morale, jusqu'à ce que Muhammad arriva et les fît revenir à un niveau de moralité et de spiritualité plus élevé.
Cependant, la vérité c'est que la tradition ne mentionne aucun malaise à La Mecque, qu'il soit d'ordre religieux, social, politique ou moral. Bien au contraire, elle décrit les Mecquois comme prospères. La raison pour laquelle les Mecquois donnent l'impression d'etre en faillite morale dans les sources musulmanes n'est pas que leur façon traditionnelle de vivre était décadente, mais parce qu'elle fonctionnait au contraire trop bien : Les Mecquois préféraient leur mode de vie traditionnel à l'islam.
C'est pour cette raison qu'ils sont décriés par les sources; plus un homme était attaché à ce mode de vie et plus nous nous parait cynique, amoral ou hypocrite. Abu Sufyan (un chef de l'aristocratie mecquoise hostile à Muhammad) ne peut pas jurer par le nom d'une divinité païenne sans que le lecteur ne ressente une aversion instinctive à son égard, parce que le lecteur sait d'après ses propres références que, quelqu'un qui jure par une fausse divinité est quelqu'un qui ne croit en rien.
Quant à une crise de spiritualité, il ne semble pas qu'il y ait eu quelque chose de semblable dans l'Arabie du VIe siècle.
Mais alors, comment peut-on expliquer la concersion massive de l'Arabie à l'islam ?
La société à cette époque était organisée autour de la tribu, et chaque tribu avait sa divinité tutélaire, qui était vénérée avec l'espoir qu'elle rendrait plus ou moins service, en particulier en apportant la pluie, en rendant fertile, en éliminant les maladies et, de façon générale, en protégeant la tribu des éléments naturels. Les dieux tribaux n'incarnaient pas "d'ultime vérité concernant la nature et le sens de la vie", pas plus qu'ils n'étaient "profondémment engagés dans la vie quotidienne". Par conséquent, rien ne s'opposait à ce que les Arabes renonçassent à un dieu pour un autre puisque cela n'entraînait aucun changement d'attitude mentale ni de comportement.
De son côté, le dieu musulman "reprenait et ennoblissait des caractéristiques tribales fondamentales telles que la militance et la fierté ethnique". Le dieu musulman offrait quelque chose de plus que les idoles. Il offrait un programme de "formation d'un Etat arabe et de conquêtes : la création d'une ummah (peuple ou nation), le déclenchement d'un jihad (guerre contre les incroyants). Le succès de Muhammad tient au fait qu'il prêcha à la fois pour la création d'une nation et pour une politique d'expansion. Sans conquêtes, d'abord en Arabie pour dans le reste du Croissant fertile, l'unification de l'Arabie n'aurait pas pu être menée à bien. Naturellement le nombre de partisans augmentait au fur et à mesure que Muhammad remportait des batailles. Ils réalisaient qu'Allah était bien sûr grand, et en tout cas plus grand que leurs propres divinités. Un dieu qui remporte des victoires est un vrai diu, pas celui qui les perd.
Ayant déjà commencé à conquérir sur leurs propres territoires, les Arabes et leurs chefs n'étaient pas disposés à s'arrêter alors qu'ils atteignaient des terres fertiles. Là justement se trouvaient les ressources dont ils avaient besoin pour continuer et dont ils s'étaient déjà servis par les passé. Le dieu de Muhammad donna son aval à cette politique de conquête et ordonna de combattre les incroyants partout où ils se trouvaient... En résumé, Muhammad était dans l'obligation de conquérir, ses partisans aimaient conquérir et sa déité lui ordonnait de conquérir. Que nous faut-il de plus?
Mais la guerre sainte n'était pas qu'un prétexte pour satisfaire des besoins matériels. C'était, au contraire, une façon de les proclamer ouvertement : "Dieu dit : "Mes serviteurs fidèles hériteront de la terre", voici maintenant votre héritage et ce que votre Seigneur vous avait promis". A la veille de la bataille de Qadisiyyah contre les Perses, on dit aux guerriers musulmans : "Si vous gagnez(...) alors leurs biens, leurs femmes, leurs enfants et leur pays seront les vôtres." Dieu ne pouvait être plus explicite. Il disait aux Arabes qu'ils avaient le droit de dépouiller les autres de leurs femmes, de leurs enfants, de leurs terres, ou, à vraie dire, qu'ils avaient le devoir de le faire : la guerre sainte consistait à obéir. Ainsi le dieu de Muhammad élevait les luttes tribales et la cupidité au rang de vertus religieuses suprêmes.
Pour résumer, loin d'apporter une réponse aux questions métaphysiques des tribues (elles ne s'en posaient pas), Muhammad créa une nation et offrit aux Arabes ce à quoi ils étaient habitués, à savoir des conquêtes militaires, avec tous les avantages matériels qui vont avec : butins, femmes et terres. Allah était préférable aux vieilles divinités simplement parce qu'il ne les avait pas déçus. Il avait délivré la marchandise en temps et lieu voulus. Allah n'était certainement pas préférable aux divinités pour quelque raison métaphysique; les Arabes n'avaient soudainement pas adopté le principe du Rasoir d'Occam*. A vrai dire, en termes de comportement, la plus grande partie de l'Arabie était toujours païenne au XIXe siècle.
Il est probable que l'influence démoralisatrice commença à se faire sentir quand Muhammad était à la tête d'une bande de voleurs. C'est alors que des hommes qui n'avaient jamais rompu un serment apprirent qu'ils pouvaient échapper à leurs obligations, et que des hommes pour qui le sang des membres du clan était aussi précieux que le leur commencèrent à le verser avec l'impunité de la cause de Dieu, et que le mensonge et la tricherie pour la cause de l'islam recevaient l'approbation divine, et que hésiter à se parjurer pour cette cause était considéré comme une faiblesse. Ce fut alors, aussi, que la convoitise des biens et des femmes (que possédaient les incroyants) fut reconnue et encouragée par le prophète.
*Principe énoncé par Occam selon lequel les êtres ou les entités (en l'occurence les dieux) ne doivent pas être multipliés au-delà de ce qui est nécessaire
- andreméde
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Ecrit le 27 avr.06, 07:17
Deutéronome (18:19):
«Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en Mon nom, c'est Moi qui lui en demanderai compte.»
En isolant se versets on peut aussi dire :
Que ce versets fait référence aux prophétes johnny halliday et au fait que nous devons écouter ces chansons

Par contre quand ont mais se verset dans le contexte biblique il est indéniable que se verset fait référence à Jésus

Comme tu le voit ABDEL 12 on peut faire dire se que l'ont veut à un versets sortie de son contexte

Ecrit le 27 avr.06, 07:20
Alors quands tu poste des message contre la Bible je peu dire cela de toi ?abdel12 a écrit :n'importe quoi, analyse raciste et mensongère
aucun livre d'histoire ne dit ca
Car tu le fais

Pour tes messages

Tu vois ce qui fais ton affaire est pas rejeté et ce qui fais pas ton affaire est rejeté cela nous montre que tu es de mauvaise foi .

- andreméde
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Ecrit le 27 avr.06, 07:25
abdel12 a écrit :n'importe quoi, analyse raciste et mensongère
aucun livre d'histoire ne dit ca
Si,
Mais les livres d'histoire qui embarrase l'islam sont systématiquement mis à l'écart ou considérer comme non fiable par tes cher mettre penseur de l'islam

Voilà comment les mettre penseur de l'islam vous maintienne dans votre foi.............en jetant le discrédit sur tout ce qui dérange, y comprie la bible

- Elimélec
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Re: Noble caractère du prophète:
Ecrit le 27 avr.06, 08:08La théologie de la "prédestination"
La toute puissance de Dieu est proclamée partout dans le Coran. La volonté de l'homme est totalement subordonnée à celle de Dieu, au point qu'il peut être dit que l'homme est privé de tout libre arbitre.
Même ceux qui ne croient pas en Lui sont incroyants parce Dieu veut qu'ils ne croient pas. Cela nous conduit à la doctrine de la prédestination contenue dans le Coran, et qui prévaut sur la doctrine du libre arbitre.
L'antinomie entre la thèse du libre arbitre et celle de la prédestination, qui se trouvent toutes les deux dans le Coran, montre que Muhammad n'était pas un théologien systématique mais un prédicateur et un politicien opportuniste.
Taqdir, ou le décret absolu du bien et du mal, est le sixième article de foi musulmane. Les orthodoxes croient que tout ce qui est, a été ou sera en ce monde, que ce soit bien ou mal, procède entièrement de la volonté divine et a été irrévocablement enregistré et fixé sur une tablette par le stylet de la foi. Quelques extraits de sourates illustrent cette doctrines
Sourate 54:49
Nous avons créé toute chose avec mesure
Sourate 3:145
Personne ne peut mourir que par la permission d'Allah, et au moment prédéterminé. Quiconque veut la récompense d'ici-bas, Nous lui en donnons.
Sourate 87:1-3
Glorifie le nom de ton Seigneur, le Très Haut, Celui Qui a crée et agencé harmonieusement, qui a décrété et guidé
Sourate 9:51
Rien ne nous atteindra, en dehors de ce qu'Allah a prescrit pour nous. Il est notre Protecteur. C'est en Allah que les croyants doivent mettre leur confiance”.
Sourate 13:31
C'est plutôt à Allah le commandement tout entier.
Sourate 14:4
Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le tout Puissant, le Sage....
Il y a cependant quelques passages qui semblent accorder un semblant de liberté à l'homme.
Sourate 18:29
Et dis : “La vérité émane de votre Seigneur”. Quiconque le veut, qu'il croit, et quiconque le veut qu'il mécroie”.
Sourate 41:17
Et quant aux Tamud, Nous les guidâmes; mais ils ont préféré l'aveuglement à la guidée.
La théorie de la prédestination est omniprésente dans l'islam. Il n'y a pas une seule tradition qui plaide en faveur du libre arbitre. La différence concernant la prédestination et le libre arbitre est l'un des points majeurs de divergence entre le christianisme et l'islam.
Il est évident que vers la fin de sa vie, Muhammad a durci sa position sur le prédestination et que la plus ancienne attitude consciente des musulmans sur ce sujet semble avoir été un fatalisme intransigeant.
Pour commenter la doctrine de la prédestination, il est nécessaire de décrire l'enfer tel qu'il est présenté dans le Coran. Plusieurs mots servent à évoquer ce lieu de tourments que Dieu prend plaisir à contempler. Le mot Jahannam (la géhenne) apparaît au moins trente fois pour décrire le purgatoire. Selon le Coran, tous les musulmans passeront par l'enfer
Sourate 19:71
Il n'y a personne parmi vous qui ne passera pas par [L'Enfer] : Car [il s'agit là] pour ton Seigneur d'une sentence irrévocable
Le mot al nar qui veut dire le feu est utilisé plusieurs fois. Les autres expressions pour désigner l'enfer ou le feu de l'enfer sont :
Sourate 92
Je vous ai donc avertis d'un Feu qui flambe où ne brûlera que le damné, qui dément et tourne le dos
Sourate 104:4
Mais non ! Il sera certes, jeté dans la Hutamah (Hutamah, pression qui écrase)
Sourate 4:10
Ceux qui mangent [disposent] injustement des biens des orphelins ne font que manger du feu dans leurs ventres. Ils brûleront bientôt dans les flammes de l'Enfer
Sourate 54:48
Le jour où on les traînera dans le Feu sur leurs visages, (on leur dira) : “Goûtez au contact de Saqar [la chaleur brûlante de l'Enfer]”.
jahim (la brûlure) et hawiyah (l'abîme) apparaissent respectivement dans les sourates 2 et 101. Muhammad laisse libre cours à son imagination (qui autrement semble plutôt limitée) quand il décrit, avec force détails révoltants, les tourments de l'enfer :
- eau bouillante - plaies purulentes - peaux écorchées - chairs qui se consument - corps éventrés - crânes que l'on fracassent avec des masses de fer ..
Verset après verset, sourate après sourate, on nous parle du feu, du feu qui rôtit, toujours et encore de ce feu éternel. D'après la Sourate 9:68 Aux hypocrites, hommes et femmes, et aux mécréants, Allah a promis le feu de l'Enfer pour qu'ils y demeurent éternellement. C'est suffisant pour eux. Allah les a maudits. Et pour eux, il y aura un châtiment permanent. Que pouvons-nous retenir d'un tel système de valeur ? Il y a quelque chose de tout à fait cruel et révoltant à l'idée que Dieu crée des êtres dans le seul dessein de remplir l'enfer, des êtres qui ne peuvent en aucun cas être tenus responsables de leurs actions puisque Dieu lui-même a choisi des les écarter du droit chemin : - Vénérer un être qui peut fabriquer un enfer et qui peut créer d'innombrables générations d'êtres humains en sachant parfaitement quel destin il leur réserve (...) N'importe quel autre outrage que l'on peut faire aux règles les plus universelles de justice ou de respect de l'humanité, telles que les chrétiens les conçoivent ordinairement à partir de la moralité de dieu, n'est que futilité à côté de cette terrifiante idéalisation de la méchanceté.
Bien sûr, cela vaut mutatis mutandis pour l'islam ou pour n'importe quelle autre théologie de la prédestination. Dans le système coranique, les hommes ne sont rien de plus que des automates créés par un Dieu capricieux qui se divertit en contemplant Ses créatures brûler en enfer. Nous ne pouvont pas décemment blâmer ou approuver le système coranique : l'homme n'y est pas responsable de ses actes et, par conséquent, il semble doublement absurde de le punir de la façon sadique qui est décrite dans les diverses sourate que l'on vient de citer.
Il n'y a pas d'éthique dans l'islam, on ordonne tout simplement aux musulmans d'obéir à la volonté impénétrable d'Allah, le bien et le mal sont définis comme ce que le Coran, et par la suite la loi islamique, considère comme permissif ou interdit.
La doctrine coranique de l'enfer n'est qu'un concentré de cruauté, de tortures barbares et de sadisme approuvés par Dieu. Pire encore, cela implique que l'islam est basé sur la peur qui elle-même corrompt la vraie moralité.
Sourate 16:2
“Avertissez qu'il n'est d'autre divinité que Moi. Craignez-Moi donc”.
L'homme doit vivre constamment dans la crainte de Dieu et être toujours sur ses gardes contre Lui, telle est la signification de l'expression "craindre Dieu" que l'on retrouve partout, d'un bout à l'autre du Coran. Au lieu d'agir avec un sentiment de devoir envers nos semblables, par générosité spontanée ou par sympathie et amour de son prochain, sous l'islam nous agissons par crainte, pour éviter une punition divine et, égoïstement, pour obtenir de Dieu des récompenses, dans cette vie et dans celle à venir.
La toute puissance de Dieu est proclamée partout dans le Coran. La volonté de l'homme est totalement subordonnée à celle de Dieu, au point qu'il peut être dit que l'homme est privé de tout libre arbitre.
Même ceux qui ne croient pas en Lui sont incroyants parce Dieu veut qu'ils ne croient pas. Cela nous conduit à la doctrine de la prédestination contenue dans le Coran, et qui prévaut sur la doctrine du libre arbitre.
L'antinomie entre la thèse du libre arbitre et celle de la prédestination, qui se trouvent toutes les deux dans le Coran, montre que Muhammad n'était pas un théologien systématique mais un prédicateur et un politicien opportuniste.
Taqdir, ou le décret absolu du bien et du mal, est le sixième article de foi musulmane. Les orthodoxes croient que tout ce qui est, a été ou sera en ce monde, que ce soit bien ou mal, procède entièrement de la volonté divine et a été irrévocablement enregistré et fixé sur une tablette par le stylet de la foi. Quelques extraits de sourates illustrent cette doctrines
Sourate 54:49
Nous avons créé toute chose avec mesure
Sourate 3:145
Personne ne peut mourir que par la permission d'Allah, et au moment prédéterminé. Quiconque veut la récompense d'ici-bas, Nous lui en donnons.
Sourate 87:1-3
Glorifie le nom de ton Seigneur, le Très Haut, Celui Qui a crée et agencé harmonieusement, qui a décrété et guidé
Sourate 9:51
Rien ne nous atteindra, en dehors de ce qu'Allah a prescrit pour nous. Il est notre Protecteur. C'est en Allah que les croyants doivent mettre leur confiance”.
Sourate 13:31
C'est plutôt à Allah le commandement tout entier.
Sourate 14:4
Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le tout Puissant, le Sage....
Il y a cependant quelques passages qui semblent accorder un semblant de liberté à l'homme.
Sourate 18:29
Et dis : “La vérité émane de votre Seigneur”. Quiconque le veut, qu'il croit, et quiconque le veut qu'il mécroie”.
Sourate 41:17
Et quant aux Tamud, Nous les guidâmes; mais ils ont préféré l'aveuglement à la guidée.
La théorie de la prédestination est omniprésente dans l'islam. Il n'y a pas une seule tradition qui plaide en faveur du libre arbitre. La différence concernant la prédestination et le libre arbitre est l'un des points majeurs de divergence entre le christianisme et l'islam.
Il est évident que vers la fin de sa vie, Muhammad a durci sa position sur le prédestination et que la plus ancienne attitude consciente des musulmans sur ce sujet semble avoir été un fatalisme intransigeant.
Pour commenter la doctrine de la prédestination, il est nécessaire de décrire l'enfer tel qu'il est présenté dans le Coran. Plusieurs mots servent à évoquer ce lieu de tourments que Dieu prend plaisir à contempler. Le mot Jahannam (la géhenne) apparaît au moins trente fois pour décrire le purgatoire. Selon le Coran, tous les musulmans passeront par l'enfer
Sourate 19:71
Il n'y a personne parmi vous qui ne passera pas par [L'Enfer] : Car [il s'agit là] pour ton Seigneur d'une sentence irrévocable
Le mot al nar qui veut dire le feu est utilisé plusieurs fois. Les autres expressions pour désigner l'enfer ou le feu de l'enfer sont :
Sourate 92
Je vous ai donc avertis d'un Feu qui flambe où ne brûlera que le damné, qui dément et tourne le dos
Sourate 104:4
Mais non ! Il sera certes, jeté dans la Hutamah (Hutamah, pression qui écrase)
Sourate 4:10
Ceux qui mangent [disposent] injustement des biens des orphelins ne font que manger du feu dans leurs ventres. Ils brûleront bientôt dans les flammes de l'Enfer
Sourate 54:48
Le jour où on les traînera dans le Feu sur leurs visages, (on leur dira) : “Goûtez au contact de Saqar [la chaleur brûlante de l'Enfer]”.
jahim (la brûlure) et hawiyah (l'abîme) apparaissent respectivement dans les sourates 2 et 101. Muhammad laisse libre cours à son imagination (qui autrement semble plutôt limitée) quand il décrit, avec force détails révoltants, les tourments de l'enfer :
- eau bouillante - plaies purulentes - peaux écorchées - chairs qui se consument - corps éventrés - crânes que l'on fracassent avec des masses de fer ..
Verset après verset, sourate après sourate, on nous parle du feu, du feu qui rôtit, toujours et encore de ce feu éternel. D'après la Sourate 9:68 Aux hypocrites, hommes et femmes, et aux mécréants, Allah a promis le feu de l'Enfer pour qu'ils y demeurent éternellement. C'est suffisant pour eux. Allah les a maudits. Et pour eux, il y aura un châtiment permanent. Que pouvons-nous retenir d'un tel système de valeur ? Il y a quelque chose de tout à fait cruel et révoltant à l'idée que Dieu crée des êtres dans le seul dessein de remplir l'enfer, des êtres qui ne peuvent en aucun cas être tenus responsables de leurs actions puisque Dieu lui-même a choisi des les écarter du droit chemin : - Vénérer un être qui peut fabriquer un enfer et qui peut créer d'innombrables générations d'êtres humains en sachant parfaitement quel destin il leur réserve (...) N'importe quel autre outrage que l'on peut faire aux règles les plus universelles de justice ou de respect de l'humanité, telles que les chrétiens les conçoivent ordinairement à partir de la moralité de dieu, n'est que futilité à côté de cette terrifiante idéalisation de la méchanceté.
Bien sûr, cela vaut mutatis mutandis pour l'islam ou pour n'importe quelle autre théologie de la prédestination. Dans le système coranique, les hommes ne sont rien de plus que des automates créés par un Dieu capricieux qui se divertit en contemplant Ses créatures brûler en enfer. Nous ne pouvont pas décemment blâmer ou approuver le système coranique : l'homme n'y est pas responsable de ses actes et, par conséquent, il semble doublement absurde de le punir de la façon sadique qui est décrite dans les diverses sourate que l'on vient de citer.
Il n'y a pas d'éthique dans l'islam, on ordonne tout simplement aux musulmans d'obéir à la volonté impénétrable d'Allah, le bien et le mal sont définis comme ce que le Coran, et par la suite la loi islamique, considère comme permissif ou interdit.
La doctrine coranique de l'enfer n'est qu'un concentré de cruauté, de tortures barbares et de sadisme approuvés par Dieu. Pire encore, cela implique que l'islam est basé sur la peur qui elle-même corrompt la vraie moralité.
Sourate 16:2
“Avertissez qu'il n'est d'autre divinité que Moi. Craignez-Moi donc”.
L'homme doit vivre constamment dans la crainte de Dieu et être toujours sur ses gardes contre Lui, telle est la signification de l'expression "craindre Dieu" que l'on retrouve partout, d'un bout à l'autre du Coran. Au lieu d'agir avec un sentiment de devoir envers nos semblables, par générosité spontanée ou par sympathie et amour de son prochain, sous l'islam nous agissons par crainte, pour éviter une punition divine et, égoïstement, pour obtenir de Dieu des récompenses, dans cette vie et dans celle à venir.
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Re: Noble caractère du prophète:
Ecrit le 27 avr.06, 08:47Les faiblesses de Allah
On nous dit que Allah est tout-puissant, omniscient, et bienveillant. Pourtant, Il se comporte comme un tyran irascible, incapable de contrôler Ses sujets récalcitrants. Il est colérique, Il est fier, Il est jaloux, autant d'imperfection morales surprenantes chez un être parfait. S'il est autosuffisant, pourquoi a-t-il besoin de l'humanité ? S'Il est tout-puissant, pourquoi demande-t-Il l'aide des hommes ? Par dessus-tout, pourquoi choisit-il un obscur marchand arabe qui vit dans un trou perdu pour être Son ultime représentant sur la terre? Est-ce sensé de la part d'un être suprêmement moral, d'exiger de Ses propres créatures louange et adoration absolue ? Que pouvons-nous dire de la curieuses psychologie d'un être qui crée des humains - ou plutôt des automates - en les programmant pour se vautrer cinq fois par jour dans la poussière afin de lui rendre hommage ? Ce désir obsessionnel de louange est difficilement une vertu morale et n'est certainement pas digne d'un être moralement suprême.
Description du Dieu coranique
Dieu est un dans sa totalité d'action omnipotente et omniprésente, qui ne connaît ni règle, ni standard, ni limite, à l'exception de Son unique et absolue volonté. Il ne communique rien à ses créatures, car leur semblant de pouvoir et de liberté d'action restent toujours siens et, en retour, Il ne reçoit rien d'eux. Quoi qu'ils puissent être, ils sont uniquement en Lui, par Lui et de Lui.
A première vue, on pourrait penser que ce terrible autocrate, cette puissance incontrôlée et antipahtique, serait bien au-dessus de quelque chose qui ressemblât à de la passion, du désir ou une quelconque inclination. Pourtant, tel n'est pas le cas, car Il ressent envers Ses créatures un unique sentiment et un seul motif, à savoir la jalousie, craignant qu'elles ne s'attribuent quelque chose qui est à Lui seul et qu'elles puissent ainsi empiéter sur Son royaume illimité. De là, Il est toujours plus enclin à punir qu'à récompenser, à infliger la douleur qu'à accorder du plaisir, à ruiner qu'à construire. Son plaisir singulier et de laisser les êtres qu'Il a créés ressentir qu'ils ne sont rien d'autre que Ses esclaves, Ses instruments et même Ses méprisables instruments afin qu'ils puissent mieux reconnaître Sa supériorité et savoir que Sa puissance est au-dessus de leur puissance, que Sa ruse et au-dessus de leur ruse, Sa volonté au-dessus de leur volonté, Son orgueil au-dessus de leur orgueil, ou plutôt qu'il n'y a pas de puissance, de ruse, de volonté, d'orgueil sauf le Sien. Pour l'orgueil voir la sourate 59.
Dieu intriguant
Sourate 8:30
(Et rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t'emprisonner ou t'assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes
Quand Dieu se résolut à créer la race humaine, Il prit une poignée de terre, la même d'où toute l'humanité serait formée et dans laquelle, d'une certaine façon, elle préexistait, et ayant alors divisé la motte en deux parts égales. Il jeta une moitié dans l'enfer en disant : " ceci pour l'enfer éternel, et Je ne m'en soucie pas", et Il projeta l'autre moité au ciel en ajoutant "et ceci au paradis Je ne m'en soucie pas"
En cela, nous avons devant nous l'idée adéquate de la prédestination, ou, pour lui donner un nom plus juste, de la prédamnation, telle qu'elle est enseignée par le Coran. Le paradis et l'enfer sont à la fois indépendants de l'amour ou de la haine de la déité, des mérites ou des torts, d'une bonne ou d'une mauvaise conduite de la créature par rapport à cette théorie, à juste titre, puisque ces mêmes actions, que l'on qualifie de méritantes ou déméritantes, justes ou mauvaises, méchantes ou vertueuses, sont dans leur essence une et unique et par conséquent ne méritent ni blâme ni louange, ni punition ni récompense, excepté et simplement d'après la valeur arbitraire du grand despote.
En un mot, Il fait rôtir l'éternité durant un individu dans un océan de flammes et de chaînes chauffés à blanc, et assoie l'autre dans la jouissance totale d'un lupanar perpétuel, au milieu de quarante concubines célestes, simplement pour Son bon plaisir et parce qu'Il le veut. Ainsi, les hommes sont réduits dans leurs conditions matériels, sociales et morales au même niveau d'esclavage et d'instrumentalité d'un unique agent universel.
On nous dit que Allah est tout-puissant, omniscient, et bienveillant. Pourtant, Il se comporte comme un tyran irascible, incapable de contrôler Ses sujets récalcitrants. Il est colérique, Il est fier, Il est jaloux, autant d'imperfection morales surprenantes chez un être parfait. S'il est autosuffisant, pourquoi a-t-il besoin de l'humanité ? S'Il est tout-puissant, pourquoi demande-t-Il l'aide des hommes ? Par dessus-tout, pourquoi choisit-il un obscur marchand arabe qui vit dans un trou perdu pour être Son ultime représentant sur la terre? Est-ce sensé de la part d'un être suprêmement moral, d'exiger de Ses propres créatures louange et adoration absolue ? Que pouvons-nous dire de la curieuses psychologie d'un être qui crée des humains - ou plutôt des automates - en les programmant pour se vautrer cinq fois par jour dans la poussière afin de lui rendre hommage ? Ce désir obsessionnel de louange est difficilement une vertu morale et n'est certainement pas digne d'un être moralement suprême.
Description du Dieu coranique
Dieu est un dans sa totalité d'action omnipotente et omniprésente, qui ne connaît ni règle, ni standard, ni limite, à l'exception de Son unique et absolue volonté. Il ne communique rien à ses créatures, car leur semblant de pouvoir et de liberté d'action restent toujours siens et, en retour, Il ne reçoit rien d'eux. Quoi qu'ils puissent être, ils sont uniquement en Lui, par Lui et de Lui.
A première vue, on pourrait penser que ce terrible autocrate, cette puissance incontrôlée et antipahtique, serait bien au-dessus de quelque chose qui ressemblât à de la passion, du désir ou une quelconque inclination. Pourtant, tel n'est pas le cas, car Il ressent envers Ses créatures un unique sentiment et un seul motif, à savoir la jalousie, craignant qu'elles ne s'attribuent quelque chose qui est à Lui seul et qu'elles puissent ainsi empiéter sur Son royaume illimité. De là, Il est toujours plus enclin à punir qu'à récompenser, à infliger la douleur qu'à accorder du plaisir, à ruiner qu'à construire. Son plaisir singulier et de laisser les êtres qu'Il a créés ressentir qu'ils ne sont rien d'autre que Ses esclaves, Ses instruments et même Ses méprisables instruments afin qu'ils puissent mieux reconnaître Sa supériorité et savoir que Sa puissance est au-dessus de leur puissance, que Sa ruse et au-dessus de leur ruse, Sa volonté au-dessus de leur volonté, Son orgueil au-dessus de leur orgueil, ou plutôt qu'il n'y a pas de puissance, de ruse, de volonté, d'orgueil sauf le Sien. Pour l'orgueil voir la sourate 59.
Dieu intriguant
Sourate 8:30
(Et rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t'emprisonner ou t'assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah a fait échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes
Quand Dieu se résolut à créer la race humaine, Il prit une poignée de terre, la même d'où toute l'humanité serait formée et dans laquelle, d'une certaine façon, elle préexistait, et ayant alors divisé la motte en deux parts égales. Il jeta une moitié dans l'enfer en disant : " ceci pour l'enfer éternel, et Je ne m'en soucie pas", et Il projeta l'autre moité au ciel en ajoutant "et ceci au paradis Je ne m'en soucie pas"
En cela, nous avons devant nous l'idée adéquate de la prédestination, ou, pour lui donner un nom plus juste, de la prédamnation, telle qu'elle est enseignée par le Coran. Le paradis et l'enfer sont à la fois indépendants de l'amour ou de la haine de la déité, des mérites ou des torts, d'une bonne ou d'une mauvaise conduite de la créature par rapport à cette théorie, à juste titre, puisque ces mêmes actions, que l'on qualifie de méritantes ou déméritantes, justes ou mauvaises, méchantes ou vertueuses, sont dans leur essence une et unique et par conséquent ne méritent ni blâme ni louange, ni punition ni récompense, excepté et simplement d'après la valeur arbitraire du grand despote.
En un mot, Il fait rôtir l'éternité durant un individu dans un océan de flammes et de chaînes chauffés à blanc, et assoie l'autre dans la jouissance totale d'un lupanar perpétuel, au milieu de quarante concubines célestes, simplement pour Son bon plaisir et parce qu'Il le veut. Ainsi, les hommes sont réduits dans leurs conditions matériels, sociales et morales au même niveau d'esclavage et d'instrumentalité d'un unique agent universel.
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Re: Noble caractère du prophète:
Ecrit le 27 avr.06, 10:01L'éthique de la peur
L'éthique coranique est entièrement basée sur la peur. Utilisant la colère de Dieu comme un fouet, Muhammad menaçait ses opposants et terrorisait ses propres partisans pour les soumeettre à des actes pieux et à une obéissance totale. Allah est le maître tout-puissant et l'homme est la créature qu'Il menace toujours de Ses foudres, c'est la base de la théologie de toute l'éthique musulmane.
En fin de compte la peur corrompt toute véritable moralité. Sous son joug, les croyants agissent prudemment dans leur intérêt personnel, pour éviter les tourments de l'enfer, qui ne sont pas moins réels que les délices de ce lupanar cosmique qu'est le paradis.
Punitions divines
Les châtiments ordonnés par le Coran sont barbares. Les relativistes qui défendent les usages inhumains prescrits par le Coran en prétendant que c'étaient là des pratiques normales pour l'époque, sont bien embarassés par leur horrible regain de faveur au XXe siècle, soi-disant plus éclairé. Le Coran est la parole de Dieu et elle est vraie pour toujours !
Amputation
La Sourate 5:38 donne le ton
Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu'ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d'Allah. Allah est Puissant et Sage.
D'après la loi coranique, "La main droite du voleur doit être tranchée à la jointure du poignet et le moignon doit être cautérisé. Pour le second vol, le pied gauche sera coupé. Pour tout autre vol, il devra être emprisonné"
Cruxifixion
Sourate 5:33
La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment
Femmes emmurées
Pour le délit de zina, un terme arabe qui inclut à la fois l'adultère et les rapports sexuels, le Coran ne parle pas de lapidation. A l'origine les femmes reconnues coupables d'adultère et de fornication étaient punies en étant littéralement emmurées, Sourate 4:15
Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard
Flagellation
Sourate 24:2-4
La fornicatrice et le fornicateur, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l'exécution de la loi d'Allah - si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu'un groupe de croyants assiste à leur punition.
Un verset sur la lapidation a pu former une partie du Coran, mais ceci fait l'objet de controverses. Les apologistes de l'islam ont soutenu que la loi coranique était compatible avec les Droits de l'Homme, mais l'article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 affirme
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
L'amputation d'un membre, la flagellation et la lapidation sont-elles vraiment humaines ?
L'éthique coranique est entièrement basée sur la peur. Utilisant la colère de Dieu comme un fouet, Muhammad menaçait ses opposants et terrorisait ses propres partisans pour les soumeettre à des actes pieux et à une obéissance totale. Allah est le maître tout-puissant et l'homme est la créature qu'Il menace toujours de Ses foudres, c'est la base de la théologie de toute l'éthique musulmane.
En fin de compte la peur corrompt toute véritable moralité. Sous son joug, les croyants agissent prudemment dans leur intérêt personnel, pour éviter les tourments de l'enfer, qui ne sont pas moins réels que les délices de ce lupanar cosmique qu'est le paradis.
Punitions divines
Les châtiments ordonnés par le Coran sont barbares. Les relativistes qui défendent les usages inhumains prescrits par le Coran en prétendant que c'étaient là des pratiques normales pour l'époque, sont bien embarassés par leur horrible regain de faveur au XXe siècle, soi-disant plus éclairé. Le Coran est la parole de Dieu et elle est vraie pour toujours !
Amputation
La Sourate 5:38 donne le ton
Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu'ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d'Allah. Allah est Puissant et Sage.
D'après la loi coranique, "La main droite du voleur doit être tranchée à la jointure du poignet et le moignon doit être cautérisé. Pour le second vol, le pied gauche sera coupé. Pour tout autre vol, il devra être emprisonné"
Cruxifixion
Sourate 5:33
La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment
Femmes emmurées
Pour le délit de zina, un terme arabe qui inclut à la fois l'adultère et les rapports sexuels, le Coran ne parle pas de lapidation. A l'origine les femmes reconnues coupables d'adultère et de fornication étaient punies en étant littéralement emmurées, Sourate 4:15
Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d'entre vous. S'ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu'à ce que la mort les rappelle ou qu'Allah décrète un autre ordre à leur égard
Flagellation
Sourate 24:2-4
La fornicatrice et le fornicateur, fouettez-les chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l'exécution de la loi d'Allah - si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu'un groupe de croyants assiste à leur punition.
Un verset sur la lapidation a pu former une partie du Coran, mais ceci fait l'objet de controverses. Les apologistes de l'islam ont soutenu que la loi coranique était compatible avec les Droits de l'Homme, mais l'article 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 affirme
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
L'amputation d'un membre, la flagellation et la lapidation sont-elles vraiment humaines ?
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