Eliaqim a écrit :
Un membre décidera par lui-même pour la question de rouvrir ou non se genre de sujet Pasteur.
Je n’ais pas parlé de déverrouillage de sujet, je parle seulement sur le type de sujet (genre enquête sur les tj et ou les gens sont libre de le fair ainsi), tu y fait référence précédemment a se genre de sujet. Comme seul preuve voila une citation en réponse a jusmon de M. & K. citation: Alors fermons-le puisque tel est ton désir. Conclusion “Alors fermons-le puisque tel est ton désir. » et tu ajoute : Je ferai de même si un sujet similaire s'ouvrait... alors je répond ce qui peut ressemblé a : que les membres décideront si [eux] veulent en parlé pour rouvrir ou non se genre de sujet. Et il convient de dire que les modérateurs ne limite pas le nombre de fois qu’un même sujet sera abordé par différentes personnes distincte, "trinité", etc etc "sujet tj" , etc. Cela signifie qu’il peut avoir autant de discutions sur un même thème temps que l’initiateur du sujet soit une personne distincte.
salutation
1 Piere 3:15 Sanctifiez le Christ comme Seigneur dans vos coeurs, toujours prêts à présenter une défense devant tout homme qui vous demande la raison de l'espérance qui est en vous, mais faites-le avec douceur et profond respect.
Je ne suis pas certain d'avoir bien compris, mais comme je trouve ridicule de déverrouiller chaque fois avant de poster, je laisse ouvert... dès fois que quelqu'un aurait une envie irrépressible de rajouter un petit quelque chose.
On atoujours quelque chose à dire, une expérience à partager, une rencontre inattendue un dimanche matin, que sais-je encore? sur un sujet pareil, je crois!
Recherches historiques sur les TJ : http://membres.lycos.fr/aquila/Historiq ... stoire.htm
Thèmes abordés :
"Je vous laisse le Herald" Charles Russell
Qui était Maria Ackley Russell ?
Texte de la Zion's Watchtower de juillet 1879
W. Conley premier président de la Zion's Watch Tower
Le testament intégral du frère Russell.
Que sont devenus les membres du groupe des 8 emprisonnés en 1918 ?
Le Collège central depuis 1944.
Président, vice-président et secrétaire-trésorier de la société depuis 1881
Watch Tower Society 1881-2006.
"Mme Russell (née Maria Frances Ackley, que Russell avait épousée en 1879) fit une tournée de conférences qui devait l’amener de New York à Chicago, en visitant les congrégations des Étudiants de la Bible pour prononcer des discours au nom de son mari. Femme instruite et intelligente, elle fut bien accueillie par les congrégations.
Mme Russell était une administratrice de la Société Watch Tower et remplissait également les fonctions de secrétaire et de trésorier. D’autre part, elle écrivait régulièrement des articles pour La Tour de Garde de Sion, et pendant un certain temps elle était même co-rédactrice de ce périodique."
À la longue, cependant, sa rancune croissante amena Mme Russell à rompre toutes relations avec la Société Watch Tower et avec son mari. Sans préavis, elle le quitta en 1897, après presque dix-huit années de vie commune. Pendant sept années elle vécut séparée de Russell, qui lui procura un logement et pourvut à ses besoins. En juin 1903, elle intenta une action en justice devant un tribunal de Pittsburgh, demandant la séparation. L’affaire fut jugée en avril 1906, devant le juge Collier et un jury. Presque deux ans plus tard, le 4 mars 1908, une ordonnance fut rendue en ces termes : "La présente ordonnance décrète que Maria F. Russell, la requérante, et Charles T. Russell, le défendeur, soient séparés de corps et de biens." "Séparés de corps et de biens" est la phrase qui figure aussi bien dans l’ordonnance que dans l’enregistrement du jugement par le greffier du tribunal. Il s’agit donc d’une séparation judiciaire et non d’un divorce, comme certains l’ont prétendu à tort. Selon un dictionnaire juridique (Bouvier’s Law Dictionary, Banks-Baldwin Law Publishing Company, 1940) il s’agit d’"une sorte de divorce incomplet aux termes duquel les époux sont séparés et ne doivent plus cohabiter, sans toutefois que le mariage soit annulé. 1 Bl. Com. 440". (Page 314.) À la page 312, cet ouvrage dit qu’il serait plus exact de qualifier cette action de "séparation judiciaire".
Un incident qui se produisit à l’enterrement de Russell à Pittsburgh en 1916 est instructif à ce sujet. Sœur Anna Gardner, dont les souvenirs correspondent à ceux d’autres témoins présents, écrit : "Un incident qui eut lieu juste avant le service funèbre à la Salle Carnegie réfute les mensonges publiés par la presse au sujet de frère Russell. La salle était pleine bien avant l’heure du service, et un silence régnait lorsqu’une femme voilée remonta l’allée, s’approcha du cercueil et posa quelque chose dessus. Ceux qui étaient devant pouvaient voir que c’était un bouquet de muguet, la fleur préférée de frère Russell. Le ruban portait cette inscription : ‘À mon époux bien-aimé.’ La femme était Mme Russell. Ainsi, elle reconnaissait publiquement qu’elle n’avait jamais été divorcée d’avec lui."
En demandant la pension alimentaire pour sa cliente, l’avocat de Mme Russell déclara : "Nous ne formulons aucune accusation d’adultère." De plus, la feuille d’audience (page 10) montre que Mme Russell elle-même n’avait jamais cru que son mari avait une conduite immorale. Lorsque son avocat lui demanda : "Voulez-vous dire que votre mari est coupable d’adultère ?", elle répondit : "Non." yb75 p. 65-69
En 1879, le pasteur Russell épousa Maria Frances Ackley. Ils ne connurent pas le bonheur d’avoir des enfants. Dix-sept ans plus tard, les conjoints n’étaient plus d’accord sur la gestion de son journal, ce qui entraîna leur séparation