LA FAMILLE ROYALE DE L’ISLAM
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- caius
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Ecrit le 29 nov.07, 05:14
MEURTRES DE CHRÉTIENS
Nous en viendrions presque à avoir pitié d’Ali quand nous lisons tout ce qu’il du endurer après la mort de son protecteur mais n’oublions jamais que, comme pour les autres, l’islam avait fait de lui une bête féroce. Voici quelques récits qui illustrent comment Ali et ses sbires persécutaient et assassinaient les Chrétiens.
“Parmi-eux il y avait beaucoup de Chrétiens qui avaient accepté l’Islam mais qui, quand la dissension s’était développée dans l’Islam, avaient dit : “Par Dieu, notre religion que nous avions abandonnée est meilleure et plus juste que celle que ces gens suivent. Leur religion ne les empêche pas de répandre le sang, de terroriser les routes et de voler les biens.” Et ils étaient retournés à leur ancienne religion. Al-Khirrit les a rencontrés et leur a dit : “Pauvre de vous ! Connaissez-vous le commandement d’Ali quant aux Chrétiens qui acceptent l’Islam puis retournent au Christianisme ? Par Allah, il n’écoutera pas ce qu’ils pourront dire, il ne considèrera aucune excuse, il n’acceptera aucun repentir et il ne les appellera pas à ses côtés. Sa sentence est qu’on leur coupera immédiatement la tête quand il mettra la main sur eux.” (Tabari page 187, 188).
“Je faisais partie de l’armée que Ali Abi Talib envoya contre les Banu Najiyah.... Notre chef à dit à l’un de ces groupes : “Qu’êtes-vous ?” Et ils ont répondu : “Nous sommes des chrétiens qui ne considèrent pas qu’il y ait une meilleure religion que la nôtre et nous nous y tenons fermement.” Notre chef leur a dit : “Allez !” Il a dit à un autre groupe : “Qui êtes-vous ? ” Et ils ont répondu : “Nous étions Chrétiens mais nous avons accepté l’Islam et nous nous tenons fermement à notre Islam.” Il leur a dit : “Allez !” Puis il a dit à un troisième groupe : “Qui êtes-vous ?” Et ils ont répondu : “Nous étions Chrétiens. Nous avons accepté l’Islam mais nous ne pensons pas qu’il y ait une meilleure religion que notre ancienne foi.” Il leur a dit : “Acceptez l’Islam!” Mais ils ont refusé. Il a dit à ses hommes : “Quand je toucherai par trois fois ma tête attaquez-les et tuez les guerriers et faîtes prisonnier les autres !” (page 188).
Mais il y avait parmi eux un vieil homme, un Chrétien nommé al-Rumahis b. Mansur, qui a dit, Par Dieu, la seule erreur que j’ai faite depuis que j’ai atteint l’âge de raison est d’avoir abandonné ma religion, la religion de la vérité, pour la vôtre, la religion de l’immoralité. Non par Dieu, je ne renierai pas ma religion et aussi longtemps que je vivrai, je n’accepterai pas la vôtre.” Maqil l’a fait avancer et lui a coupé la tête.” (page 191).
“Quant aux chrétiens, nous les avons fait captifs et nous les avons emmenés afin qu’ils servent d’exemple à ceux des protégés qui viendront après eux et qu’ils ne refusent pas la jizyah (racket que les non musulmans doivent payer aux musulmans), et ne deviennent pas insolents envers notre religion et notre communauté car les protégés comptent peu et ont un statut inférieur. (page 192)
Masqalah envoya l’un des chrétiens Banu Taghlib, dont le nom était Hulwan, de Nuaym en Syrie porteur d’une lettre.... Ali a reçu la lettre et l’a lue. Il a ensuite tranché la main du chrétien qui en est mort. (page 195).
Malgré tous ses beaux discours sur la justice et la droiture, Ali pouvait être d’une abjecte cruauté. Loin de lui avoir apporté la sagesse l’islam lui avait endurci le cœur. Juste parce qu’il considérait que le Califat lui revenait de droit et que de vrais musulmans le lui auraient offert sur un plateau d’argent, il a envoyé sans hésitation des milliers de musulmans tuer d’autres musulmans. Et quand les choses ont mal tourné, il a voué ses fidèles aux gémonies parce qu’ils ne se battaient pas assez courageusement (Hitler aussi rejetait la responsabilité de sa défaite sur son peuple). Il pouvait ordonner l’assassinat de pauvres gens juste parce qu’ils ne voulaient plus être musulmans.
Nous en viendrions presque à avoir pitié d’Ali quand nous lisons tout ce qu’il du endurer après la mort de son protecteur mais n’oublions jamais que, comme pour les autres, l’islam avait fait de lui une bête féroce. Voici quelques récits qui illustrent comment Ali et ses sbires persécutaient et assassinaient les Chrétiens.
“Parmi-eux il y avait beaucoup de Chrétiens qui avaient accepté l’Islam mais qui, quand la dissension s’était développée dans l’Islam, avaient dit : “Par Dieu, notre religion que nous avions abandonnée est meilleure et plus juste que celle que ces gens suivent. Leur religion ne les empêche pas de répandre le sang, de terroriser les routes et de voler les biens.” Et ils étaient retournés à leur ancienne religion. Al-Khirrit les a rencontrés et leur a dit : “Pauvre de vous ! Connaissez-vous le commandement d’Ali quant aux Chrétiens qui acceptent l’Islam puis retournent au Christianisme ? Par Allah, il n’écoutera pas ce qu’ils pourront dire, il ne considèrera aucune excuse, il n’acceptera aucun repentir et il ne les appellera pas à ses côtés. Sa sentence est qu’on leur coupera immédiatement la tête quand il mettra la main sur eux.” (Tabari page 187, 188).
“Je faisais partie de l’armée que Ali Abi Talib envoya contre les Banu Najiyah.... Notre chef à dit à l’un de ces groupes : “Qu’êtes-vous ?” Et ils ont répondu : “Nous sommes des chrétiens qui ne considèrent pas qu’il y ait une meilleure religion que la nôtre et nous nous y tenons fermement.” Notre chef leur a dit : “Allez !” Il a dit à un autre groupe : “Qui êtes-vous ? ” Et ils ont répondu : “Nous étions Chrétiens mais nous avons accepté l’Islam et nous nous tenons fermement à notre Islam.” Il leur a dit : “Allez !” Puis il a dit à un troisième groupe : “Qui êtes-vous ?” Et ils ont répondu : “Nous étions Chrétiens. Nous avons accepté l’Islam mais nous ne pensons pas qu’il y ait une meilleure religion que notre ancienne foi.” Il leur a dit : “Acceptez l’Islam!” Mais ils ont refusé. Il a dit à ses hommes : “Quand je toucherai par trois fois ma tête attaquez-les et tuez les guerriers et faîtes prisonnier les autres !” (page 188).
Mais il y avait parmi eux un vieil homme, un Chrétien nommé al-Rumahis b. Mansur, qui a dit, Par Dieu, la seule erreur que j’ai faite depuis que j’ai atteint l’âge de raison est d’avoir abandonné ma religion, la religion de la vérité, pour la vôtre, la religion de l’immoralité. Non par Dieu, je ne renierai pas ma religion et aussi longtemps que je vivrai, je n’accepterai pas la vôtre.” Maqil l’a fait avancer et lui a coupé la tête.” (page 191).
“Quant aux chrétiens, nous les avons fait captifs et nous les avons emmenés afin qu’ils servent d’exemple à ceux des protégés qui viendront après eux et qu’ils ne refusent pas la jizyah (racket que les non musulmans doivent payer aux musulmans), et ne deviennent pas insolents envers notre religion et notre communauté car les protégés comptent peu et ont un statut inférieur. (page 192)
Masqalah envoya l’un des chrétiens Banu Taghlib, dont le nom était Hulwan, de Nuaym en Syrie porteur d’une lettre.... Ali a reçu la lettre et l’a lue. Il a ensuite tranché la main du chrétien qui en est mort. (page 195).
Malgré tous ses beaux discours sur la justice et la droiture, Ali pouvait être d’une abjecte cruauté. Loin de lui avoir apporté la sagesse l’islam lui avait endurci le cœur. Juste parce qu’il considérait que le Califat lui revenait de droit et que de vrais musulmans le lui auraient offert sur un plateau d’argent, il a envoyé sans hésitation des milliers de musulmans tuer d’autres musulmans. Et quand les choses ont mal tourné, il a voué ses fidèles aux gémonies parce qu’ils ne se battaient pas assez courageusement (Hitler aussi rejetait la responsabilité de sa défaite sur son peuple). Il pouvait ordonner l’assassinat de pauvres gens juste parce qu’ils ne voulaient plus être musulmans.
Modifié en dernier par caius le 10 févr.08, 20:33, modifié 1 fois.
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Ecrit le 29 nov.07, 05:16
LA SITUATION EMPIRE
La guerre tournait de plus en plus mal pour Ali. Mu'awiyah lançait des incursions toujours plus audacieuses au cœur même des territoires contrôlés par Ali. A son immense fureur, ses soldats fuyaient souvent devant les troupes de Mu'awiyah sans avoir combattu. Plus il essayait de galvaniser ses troupes moins elles étaient combattives. Même ses généraux évitaient désormais de livrer bataille. Ali fulminait tellement qu’au cours d’un sermon à la mosquée il lança du haut de la chaire...
“Oh peuple d’al-Koufah ! Toutes les fois que vous entendez parler d’une troupe de cavaliers venant de Syrie contre vous, tous les hommes se cachent dans leurs maisons et ferment la porte à double tour, comme le lézard dans son trou et l’hyène dans son terrier. Quiconque vous fait confiance est dupe et quiconque vous rassemble se charge d’un fardeau inutile. Vous n’êtes pas de vrais hommes quand l’appel aux armes est lancé, ni des frères capables de garder un secret... Comme j’ai été éprouvé à travers vous ! Vous êtes des aveugles qui ne voient pas, des muets qui ne parlent pas et des sourds qui n’entendent pas.” (Tabari page 199).
Mu'awiyah s’attaqua bientôt au Hijaz ! Le berceau de l’Islam et la patrie de Mahomet. Le peuple de Médine avait été vidé de sa sève par les incessantes guerres de l’Islam. Ils étaient las de se battre et résistèrent à peine.. Ces mêmes hommes qui, une génération auparavant, avaient pillés et asservis tant de pauvres gens allaient à leur tour être humilés et pillés.
Busr (ou Bisr), un général de Mu'awiyah s’empara de Médine, (la première cité régie par l’islam et qui abritait le tombeau de Mahomet). Busr détruisit les maisons et déclara aux gens de Médine rassemblés dans la mosquée de Mahomet : “Ô Peuple de Médine ! Par Dieu, si je n’étais pas en mission pour Mu'awiyah, je n’aurais pas laissé un seul adulte en vie dans la ville (Tabari page 207). De Médine, Bisr marcha sur La Mecque. Dans la ville, personne n’osa résister et il fit prêter serment d’allégeance à Mu'awiyah. Bisr se dirigea ensuite vers le Yémen, investit la capitale de la province et tua des centaines de partisans d’Ali. Il n’épargna même pas les deux enfants en bas âge de Ubaydallah bin Abbas le gouverneur nommé par Ali. L’islam n’avait appris la compassion ni à Ali ni à Mu'awiyah. L’ennemi frappait à la porte même d’Ali et il était évident pour tout le monde que son royaume était en train de s’écrouler.
La guerre tournait de plus en plus mal pour Ali. Mu'awiyah lançait des incursions toujours plus audacieuses au cœur même des territoires contrôlés par Ali. A son immense fureur, ses soldats fuyaient souvent devant les troupes de Mu'awiyah sans avoir combattu. Plus il essayait de galvaniser ses troupes moins elles étaient combattives. Même ses généraux évitaient désormais de livrer bataille. Ali fulminait tellement qu’au cours d’un sermon à la mosquée il lança du haut de la chaire...
“Oh peuple d’al-Koufah ! Toutes les fois que vous entendez parler d’une troupe de cavaliers venant de Syrie contre vous, tous les hommes se cachent dans leurs maisons et ferment la porte à double tour, comme le lézard dans son trou et l’hyène dans son terrier. Quiconque vous fait confiance est dupe et quiconque vous rassemble se charge d’un fardeau inutile. Vous n’êtes pas de vrais hommes quand l’appel aux armes est lancé, ni des frères capables de garder un secret... Comme j’ai été éprouvé à travers vous ! Vous êtes des aveugles qui ne voient pas, des muets qui ne parlent pas et des sourds qui n’entendent pas.” (Tabari page 199).
Mu'awiyah s’attaqua bientôt au Hijaz ! Le berceau de l’Islam et la patrie de Mahomet. Le peuple de Médine avait été vidé de sa sève par les incessantes guerres de l’Islam. Ils étaient las de se battre et résistèrent à peine.. Ces mêmes hommes qui, une génération auparavant, avaient pillés et asservis tant de pauvres gens allaient à leur tour être humilés et pillés.
Busr (ou Bisr), un général de Mu'awiyah s’empara de Médine, (la première cité régie par l’islam et qui abritait le tombeau de Mahomet). Busr détruisit les maisons et déclara aux gens de Médine rassemblés dans la mosquée de Mahomet : “Ô Peuple de Médine ! Par Dieu, si je n’étais pas en mission pour Mu'awiyah, je n’aurais pas laissé un seul adulte en vie dans la ville (Tabari page 207). De Médine, Bisr marcha sur La Mecque. Dans la ville, personne n’osa résister et il fit prêter serment d’allégeance à Mu'awiyah. Bisr se dirigea ensuite vers le Yémen, investit la capitale de la province et tua des centaines de partisans d’Ali. Il n’épargna même pas les deux enfants en bas âge de Ubaydallah bin Abbas le gouverneur nommé par Ali. L’islam n’avait appris la compassion ni à Ali ni à Mu'awiyah. L’ennemi frappait à la porte même d’Ali et il était évident pour tout le monde que son royaume était en train de s’écrouler.
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Ecrit le 29 nov.07, 05:17
IBN ABBAS TRAHIT ALI
Vous vous souvenez de la disputer entre Ali et Al Abbas et son fils Ibn Abbas quand ils s’étaient partagé l’héritage de Mahomet ? Ibn Abbas qui avait été nommé gouverneur de Basra réalisait qu’Ali avait laissé passer sa chance. Mu'awiyah était maintenant trop fort. Les rats commençaient à quitter le navire : il décida de filer avec la caisse....
Tabari, volume 17, pages 209, 210:
Les circonstances du depart d’Ibn Abbas de l’Irak pour La Mecque.
Abu al-Aswad écrivit à Ali: “Dieu a fait de toi un gouverneur qui a la confiance de ses sujets et un pasteur qui prend la responsabilité de son troupeau. Nous t’avons éprouvé et t’avons trouvé plein d’intégrité et conseiller sincère de ton troupeau. Tu leur donnes du butin en abondance, tu t’abstiens de prendre leurs biens, tu ne dévores pas leurs richesses et tu ne t’immisces pas dans leurs affaires. Pourtant, à ton insu, ton cousin a dévoré ce qui est sous son autorité et je ne peux pas permettre que tu l’ignores. Aussi enquiers-toi de ce qui se passe ici, que Dieu te garde, et écris-moi pour me dire ce que tu désires que je fasse pour toi. Salutations.”
Ali n’avait pas oublié la rapacité d’Ibn Abbas et de son père lors de l’affaire de l’héritage de Mahomet. Il était aussi conscient que les abus de ses gouverneurs avaient largement contribués à la chute d’Othman. Il réagit donc.
Ali écrivit à ce sujet à Ibn Abbas qui lui répondit : “Ce que tu as entendu est faux. Je contrôle avec ordre et prudence ce que j’ai sous mon autorité. Ne prête pas foi à ces suspicions. Salutations” Ali répondit par retour de courrier : “Dis-moi quelle jizyah (argent extorqué aux non musulmans) tu as levé, quand tu l’as levée et où tu l’as déposée.” Ibn Abbas répondit : “Je comprends que tu te soucies des prélèvements que j’aurais fait sur les richesses des habitants de ce territoire : envoies qui tu voudras dans ta province et je l’aiderai. Salutations.”
Ibn Abbas appela alors ses oncles maternels des Banu Hilal, b. Amir et al-Dahak b. Abdallah al-Hilali et Abdallah b. Razin b. Abi Amr al-Hilali le rejoignirent. Puis tous ceux de Quay se joignirent à lui et il emporta beaucoup de richesses. ... Elles consistaient en de l’argent et des approvisionnements pour l’entretien des troupes et Ibn Abbas emporta avec lui tout ce qu’il avait collecté. (Tabari, pages 210, 211).
Certains musulmans voulurent s’opposer à la désertion d’Ibn Abbas et des combats eurent lieux. Mais Ibn Abbas avait réuni autour de lui une puissante bande pour l’assister dans ses pillages et ceux qui tentèrent de s’opposer à lui furent tués ou repoussés. Ibn Abbas, cousin germain de Mahomet, autorité incontestée en matière de religion et de fiqh, ultime maillon de la chaîne du isnad d’un nombre considérable de « Traditions du Prophète » n’était qu’un vulgaire bandit qui piquait dans la caisse.
Vous vous souvenez de la disputer entre Ali et Al Abbas et son fils Ibn Abbas quand ils s’étaient partagé l’héritage de Mahomet ? Ibn Abbas qui avait été nommé gouverneur de Basra réalisait qu’Ali avait laissé passer sa chance. Mu'awiyah était maintenant trop fort. Les rats commençaient à quitter le navire : il décida de filer avec la caisse....
Tabari, volume 17, pages 209, 210:
Les circonstances du depart d’Ibn Abbas de l’Irak pour La Mecque.
Abu al-Aswad écrivit à Ali: “Dieu a fait de toi un gouverneur qui a la confiance de ses sujets et un pasteur qui prend la responsabilité de son troupeau. Nous t’avons éprouvé et t’avons trouvé plein d’intégrité et conseiller sincère de ton troupeau. Tu leur donnes du butin en abondance, tu t’abstiens de prendre leurs biens, tu ne dévores pas leurs richesses et tu ne t’immisces pas dans leurs affaires. Pourtant, à ton insu, ton cousin a dévoré ce qui est sous son autorité et je ne peux pas permettre que tu l’ignores. Aussi enquiers-toi de ce qui se passe ici, que Dieu te garde, et écris-moi pour me dire ce que tu désires que je fasse pour toi. Salutations.”
Ali n’avait pas oublié la rapacité d’Ibn Abbas et de son père lors de l’affaire de l’héritage de Mahomet. Il était aussi conscient que les abus de ses gouverneurs avaient largement contribués à la chute d’Othman. Il réagit donc.
Ali écrivit à ce sujet à Ibn Abbas qui lui répondit : “Ce que tu as entendu est faux. Je contrôle avec ordre et prudence ce que j’ai sous mon autorité. Ne prête pas foi à ces suspicions. Salutations” Ali répondit par retour de courrier : “Dis-moi quelle jizyah (argent extorqué aux non musulmans) tu as levé, quand tu l’as levée et où tu l’as déposée.” Ibn Abbas répondit : “Je comprends que tu te soucies des prélèvements que j’aurais fait sur les richesses des habitants de ce territoire : envoies qui tu voudras dans ta province et je l’aiderai. Salutations.”
Ibn Abbas appela alors ses oncles maternels des Banu Hilal, b. Amir et al-Dahak b. Abdallah al-Hilali et Abdallah b. Razin b. Abi Amr al-Hilali le rejoignirent. Puis tous ceux de Quay se joignirent à lui et il emporta beaucoup de richesses. ... Elles consistaient en de l’argent et des approvisionnements pour l’entretien des troupes et Ibn Abbas emporta avec lui tout ce qu’il avait collecté. (Tabari, pages 210, 211).
Certains musulmans voulurent s’opposer à la désertion d’Ibn Abbas et des combats eurent lieux. Mais Ibn Abbas avait réuni autour de lui une puissante bande pour l’assister dans ses pillages et ceux qui tentèrent de s’opposer à lui furent tués ou repoussés. Ibn Abbas, cousin germain de Mahomet, autorité incontestée en matière de religion et de fiqh, ultime maillon de la chaîne du isnad d’un nombre considérable de « Traditions du Prophète » n’était qu’un vulgaire bandit qui piquait dans la caisse.
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Ecrit le 29 nov.07, 05:19
LA DEFECTION DE 'AQIL
Presque à la même époque une autre trahison frappa Alî.
«Son frère 'Aqil se rendit chez Mu'âwiyeh qui le reçut à bras ouverts et lui alloua de grands revenus. 'Aqîl n'invoqua aucun autre motif à sa défection que le fait que son frère 'Alî ne l'entretenait pas proportionnellement à sa qualité». ("History of the Saracens" de Simon Ockley, p. 326).
«'Aqîl se plaignait auprès de 'Alî de la faiblesse de ses ressources et le priait de lui accorder un supplément d'allocation du trésor public. 'Alî repoussa cette demande, mais devant l'insistance répétée de son frère, il lui demanda un jour de le rencontrer pendant la nuit pour qu'ils s'introduisent dans la nuit dans la maison d'un riche voisin, où 'Aqîl trouverait tout ce qu'il lui manquait. "Es-tu sérieux?" lui demanda 'Aqîl avec un mélange de surprise et d'indignation. "Le Jour des Comptes, lui répondit 'Alî, il sera beaucoup plus facile de me défendre contre l'accusation d'un seul individu que contre le cri collectif de toute la communauté musulmane, propriétaire de ce trésor dont tu me demandes de te servir". Selon d'autres versions, lorsque 'Aqil sollicita de son frère l'augmentation de sa pension, ce dernier lui demanda d'attendre un moment, et se retira dans sa maison pour en revenir tout de suite après, avec un fer porté au rouge qu'il tendit à 'Aqh en lui demandant de le prendre avec ses mains. 'Aqh refusa, naturellement. 'Alî lui dit alors: "Si tu ne peux pas supporter une chaleur produite par l'homme, comment veux-tu que j'accepte de m'exposer à un feu allumé par Dieu". 'Aqîl constatant que sa requête ne serait pas satisfaite, quitta Kûfa et rejoignit Mu'âwiyeh». ("Mohammadan History" de M. Price).
Encore et toujours des histoires de fric… Les plus proches parents d’Ali le trahissaient pour de sordides questions d’argent au moment où il avait le plus besoin d’eux ! Le califat d’Ali n’était plus qu’un château de cartes et la fin était proche.
Presque à la même époque une autre trahison frappa Alî.
«Son frère 'Aqil se rendit chez Mu'âwiyeh qui le reçut à bras ouverts et lui alloua de grands revenus. 'Aqîl n'invoqua aucun autre motif à sa défection que le fait que son frère 'Alî ne l'entretenait pas proportionnellement à sa qualité». ("History of the Saracens" de Simon Ockley, p. 326).
«'Aqîl se plaignait auprès de 'Alî de la faiblesse de ses ressources et le priait de lui accorder un supplément d'allocation du trésor public. 'Alî repoussa cette demande, mais devant l'insistance répétée de son frère, il lui demanda un jour de le rencontrer pendant la nuit pour qu'ils s'introduisent dans la nuit dans la maison d'un riche voisin, où 'Aqîl trouverait tout ce qu'il lui manquait. "Es-tu sérieux?" lui demanda 'Aqîl avec un mélange de surprise et d'indignation. "Le Jour des Comptes, lui répondit 'Alî, il sera beaucoup plus facile de me défendre contre l'accusation d'un seul individu que contre le cri collectif de toute la communauté musulmane, propriétaire de ce trésor dont tu me demandes de te servir". Selon d'autres versions, lorsque 'Aqil sollicita de son frère l'augmentation de sa pension, ce dernier lui demanda d'attendre un moment, et se retira dans sa maison pour en revenir tout de suite après, avec un fer porté au rouge qu'il tendit à 'Aqh en lui demandant de le prendre avec ses mains. 'Aqh refusa, naturellement. 'Alî lui dit alors: "Si tu ne peux pas supporter une chaleur produite par l'homme, comment veux-tu que j'accepte de m'exposer à un feu allumé par Dieu". 'Aqîl constatant que sa requête ne serait pas satisfaite, quitta Kûfa et rejoignit Mu'âwiyeh». ("Mohammadan History" de M. Price).
Encore et toujours des histoires de fric… Les plus proches parents d’Ali le trahissaient pour de sordides questions d’argent au moment où il avait le plus besoin d’eux ! Le califat d’Ali n’était plus qu’un château de cartes et la fin était proche.
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Ecrit le 29 nov.07, 05:24
LA MORT D’ALI
Les Khârijites brulaient de se venger de leurs ennemis : tous les gouvernants en général et Ali en particulier, conformément à leur doctrine fondée sur cette devise: "La hukma illâ lillâh", c'est-à-dire, "le commandement appartient à Dieu seul". Ils avaient d’abord attendu que ceux qu'ils appelaient "les gouvernants impies" (Alî et Mu'awiyah) s’entretuent mutuellement. A la fin, n’y tenant plus, ils imaginèrent d’organiser l’assassinat simultané des trois "apostats ambitieux" - Mu'awiyah, Amr Ibn al-Âs et Alî. Leurs attentats devraient avoir lieu le même jour pendant la prière du matin dans les mosquées de Damas, capitale de Mu'awiyah, Fostat où Amr résidait alors et Kûfa, capitale d’Ali.
A Damas, l’assassin parvint à poignarder Mu'awiyah mais ne lui infligea qu’une blessure légère, à Fostat, Amr, malade, n’avait pu se rendre à la mosquée et, avant d’avoir pu réaliser son erreur, le Khârijite tua celui qui le remplaçait pour mener la prière.
A Koufa, le troisième tueur eut plus de chance : il parvint à recruter des complices et, le jour fixé, lorsque Alî apparut pour diriger la prière ils lui portèrent plusieurs coups mortels. Il agonisat trois jours avant de mourir. Il avait soixante-trois ans.
EPILOGUE
L’éloge d’Ali par son fils Hassan :
“Cette nuit tu as tué un homme la même nuit que celle où le Coran est descendu, une nuit où Jésus, fils de Marie, est mort et fit l'Ascension, une nuit où Joshua, le fils de Nun, le champion de Moïse, fut tué. Par Dieu, aucuns de ceux qui sont venus avant lui et aucuns de ceux qui viendront après lui ne le surpasseront. Par Dieu, quand le prophète l’envoyait au combat, Gabriel était à sa droite et Michael à sa gauche.”
Apparemment, comme tant de ses partisans, Gabriel et Michael l’avaient eux-aussi laissé tomber…
A la mort d’Ali, les Chiites prêtèrent allégeance à l’aîné de ses fils, Al Hassan. Avant d’accepter le califat, Al Hassan (qui deviendra plus tard le deuxième Imam pour les Duodécimains et les Ismaéliens) posa une curieuse condition à ses partisans : « vous devrez m’obéir pour faire la guerre comme pour contracter la paix ». En fait, Al Hassan avait son idée derrière la tête. Il estimait que la guerre contre Mu'awiyah était perdue. Il envoya donc en secret des émissaires pour négocier une reddition honorable avec les Omeyyades. En tant que « neutre », Ibn Abbas jouât un rôle important dans les négociations entre les deux camps.
Quelques mois après la mort d’Ali, en échange d’une énorme somme d’argent, Al Hassan et ses partisans firent donc allégeance au nouveau Calife, Mu'awiyah, mettant ainsi un terme provisoire à cinq années de guerres fratricides...
Al Hassan, son frère cadet Al Husseïn et leur demi-frère Mohamed Ibn al Hanafya, livrèrent Koufa, la capitale d’Ali, aux troupes de Mu’awiyah et s’installèrent à Médine. Damas devint officiellement la nouvelle capitale de l’Islam...
Quand Aisha apprit la mort d’Ali, elle manifesta sa joie. Cela faisait si longtemps qu’elle attendait cette nouvelle : Soufian Ibn Oumaya partit à Hedjaz pour annoncer à Aïcha la mort d’ali : « Elle jeta son bâton (en signe de joie) et elle manifesta la joie de celui qui revoit un voyageur après une longue absence ».
Aisha avait vécu assez longtemps pour apprendre la mort de l’homme qu’elle détestait le plus au monde. La haine était profonde au sein de la famille de Mahomet.
Les Khârijites brulaient de se venger de leurs ennemis : tous les gouvernants en général et Ali en particulier, conformément à leur doctrine fondée sur cette devise: "La hukma illâ lillâh", c'est-à-dire, "le commandement appartient à Dieu seul". Ils avaient d’abord attendu que ceux qu'ils appelaient "les gouvernants impies" (Alî et Mu'awiyah) s’entretuent mutuellement. A la fin, n’y tenant plus, ils imaginèrent d’organiser l’assassinat simultané des trois "apostats ambitieux" - Mu'awiyah, Amr Ibn al-Âs et Alî. Leurs attentats devraient avoir lieu le même jour pendant la prière du matin dans les mosquées de Damas, capitale de Mu'awiyah, Fostat où Amr résidait alors et Kûfa, capitale d’Ali.
A Damas, l’assassin parvint à poignarder Mu'awiyah mais ne lui infligea qu’une blessure légère, à Fostat, Amr, malade, n’avait pu se rendre à la mosquée et, avant d’avoir pu réaliser son erreur, le Khârijite tua celui qui le remplaçait pour mener la prière.
A Koufa, le troisième tueur eut plus de chance : il parvint à recruter des complices et, le jour fixé, lorsque Alî apparut pour diriger la prière ils lui portèrent plusieurs coups mortels. Il agonisat trois jours avant de mourir. Il avait soixante-trois ans.
EPILOGUE
L’éloge d’Ali par son fils Hassan :
“Cette nuit tu as tué un homme la même nuit que celle où le Coran est descendu, une nuit où Jésus, fils de Marie, est mort et fit l'Ascension, une nuit où Joshua, le fils de Nun, le champion de Moïse, fut tué. Par Dieu, aucuns de ceux qui sont venus avant lui et aucuns de ceux qui viendront après lui ne le surpasseront. Par Dieu, quand le prophète l’envoyait au combat, Gabriel était à sa droite et Michael à sa gauche.”
Apparemment, comme tant de ses partisans, Gabriel et Michael l’avaient eux-aussi laissé tomber…
A la mort d’Ali, les Chiites prêtèrent allégeance à l’aîné de ses fils, Al Hassan. Avant d’accepter le califat, Al Hassan (qui deviendra plus tard le deuxième Imam pour les Duodécimains et les Ismaéliens) posa une curieuse condition à ses partisans : « vous devrez m’obéir pour faire la guerre comme pour contracter la paix ». En fait, Al Hassan avait son idée derrière la tête. Il estimait que la guerre contre Mu'awiyah était perdue. Il envoya donc en secret des émissaires pour négocier une reddition honorable avec les Omeyyades. En tant que « neutre », Ibn Abbas jouât un rôle important dans les négociations entre les deux camps.
Quelques mois après la mort d’Ali, en échange d’une énorme somme d’argent, Al Hassan et ses partisans firent donc allégeance au nouveau Calife, Mu'awiyah, mettant ainsi un terme provisoire à cinq années de guerres fratricides...
Al Hassan, son frère cadet Al Husseïn et leur demi-frère Mohamed Ibn al Hanafya, livrèrent Koufa, la capitale d’Ali, aux troupes de Mu’awiyah et s’installèrent à Médine. Damas devint officiellement la nouvelle capitale de l’Islam...
Quand Aisha apprit la mort d’Ali, elle manifesta sa joie. Cela faisait si longtemps qu’elle attendait cette nouvelle : Soufian Ibn Oumaya partit à Hedjaz pour annoncer à Aïcha la mort d’ali : « Elle jeta son bâton (en signe de joie) et elle manifesta la joie de celui qui revoit un voyageur après une longue absence ».
Aisha avait vécu assez longtemps pour apprendre la mort de l’homme qu’elle détestait le plus au monde. La haine était profonde au sein de la famille de Mahomet.
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Ecrit le 07 févr.08, 20:01
LE FRUIT JUGÉ - QUI EST LE PÈRE DE L’ISLAM ?
Jesus dit en Jean 8:44:
“Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.”
Nous sommes censés passer en revue les fruits de l’Islam, non ? Pourtant, ces meilleurs des musulmans ne nous montrent que guerres, mensonges, meurtres, calomnies, trahison, vol, haine et amertume. Il y a bien peu de “spiritualité” chez Ali, Mu'awiyah, Ibn Abbas ou Aicha. Au contraire nous assistons aux luttes internes d’un clan familial mafieux. Oh ! Bien sûr, ils appliquaient scrupuleusement les formes des rites instaurés par Mahomet mais au-dedans ils n’étaient que corruption et indigence morale.
Passons donc en revue quelques fruits de l’Islam.
ALI
L’égoïste ambition d’Ali l’avait rendu prêt à tout pour conquérir le pouvoir. Au lieu de les punir, il s’est allié aux assassins d’Othman pour devenir Calife. Tout en prétendant hypocritement qu’il ne souhaitait pas ce titre, il s’y est accroché de toutes ses forces dés qu’il lui fut enfin octroyé. Il a mené des milliers de personnes à la mort pour atteindre son objectif. Leur sang a été répandu sur l’autel de sa vaine gloire. Quand la situation se dégrada, Ali se mit à dénigrer ceux qui avaient lutté pendant des années pour sa cause. Il n’avait aucune reconnaissance pour les sacrifices que tant de musulmans avaient fait pour lui. Il pouvait tuer un homme par plaisir juste parce qu’il était chrétien.
ABDALLAH IBN ABBAS
Surnommé « khabr al-umma », le docte de la communauté, en raison de son érudition, Ibn Abbas était cousin de Mahomet. A la mort de Mahomet, il n’avait que 13 ans, ce qui n’empêchait pas Omar de le consulter régulièrement sur des questions théologiques. Quand Ali lui demanda des comptes sur la façon dont il gouvernait sa province, ibn Abbas lui mentit effrontément tout en préparant sa fuite. Quand il estima que cela sentait trop le roussi pour lui, il déserta en emportant tout ce qu’il put rafler, massacrant tous ceux qui tentèrent de s’interposer. Cet homme est toujours considéré de nos jours par les musulmans comme le plus sage et le plus érudit de tous les commentateurs du Coran. Pourtant, à l’épreuve du danger il a démontré qu’il n’avait aucune élévation d’esprit et était un menteur, un voleur et un assassin calculateur.
AICHA
Epouse préférée de Mahomet, elle a narré des milliers de hadiths qui fondèrent la doctrine islamique. Pourtant elle exécrait Ali au point de se réjouir de sa mort ! Nulle trace de pardon ou de réconciliation ! Comment les meilleurs des musulmans pouvaient-ils se haïr à ce point ?
IBN ABU BAKR ET IBN UMAR
Les fils des deux premiers califes. Ibn Abu Bakr fait partie des assassins d’Othman tandis que Ibn Umar se rallia à Mu'awiyah. Quelle ironie ! Qu’est-ce qui ne va de travers dans l’islam pour que les enfants des califes “bien guidés” s’entretuent ? Ces enfants sont les fruits de l’islam réel…
Si l’Islam apportait vraiment une élévation spirituelle à ses adeptes, tout cela aurait-il pu arriver ?
Jesus dit en Jean 8:44:
“Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.”
Nous sommes censés passer en revue les fruits de l’Islam, non ? Pourtant, ces meilleurs des musulmans ne nous montrent que guerres, mensonges, meurtres, calomnies, trahison, vol, haine et amertume. Il y a bien peu de “spiritualité” chez Ali, Mu'awiyah, Ibn Abbas ou Aicha. Au contraire nous assistons aux luttes internes d’un clan familial mafieux. Oh ! Bien sûr, ils appliquaient scrupuleusement les formes des rites instaurés par Mahomet mais au-dedans ils n’étaient que corruption et indigence morale.
Passons donc en revue quelques fruits de l’Islam.
ALI
L’égoïste ambition d’Ali l’avait rendu prêt à tout pour conquérir le pouvoir. Au lieu de les punir, il s’est allié aux assassins d’Othman pour devenir Calife. Tout en prétendant hypocritement qu’il ne souhaitait pas ce titre, il s’y est accroché de toutes ses forces dés qu’il lui fut enfin octroyé. Il a mené des milliers de personnes à la mort pour atteindre son objectif. Leur sang a été répandu sur l’autel de sa vaine gloire. Quand la situation se dégrada, Ali se mit à dénigrer ceux qui avaient lutté pendant des années pour sa cause. Il n’avait aucune reconnaissance pour les sacrifices que tant de musulmans avaient fait pour lui. Il pouvait tuer un homme par plaisir juste parce qu’il était chrétien.
ABDALLAH IBN ABBAS
Surnommé « khabr al-umma », le docte de la communauté, en raison de son érudition, Ibn Abbas était cousin de Mahomet. A la mort de Mahomet, il n’avait que 13 ans, ce qui n’empêchait pas Omar de le consulter régulièrement sur des questions théologiques. Quand Ali lui demanda des comptes sur la façon dont il gouvernait sa province, ibn Abbas lui mentit effrontément tout en préparant sa fuite. Quand il estima que cela sentait trop le roussi pour lui, il déserta en emportant tout ce qu’il put rafler, massacrant tous ceux qui tentèrent de s’interposer. Cet homme est toujours considéré de nos jours par les musulmans comme le plus sage et le plus érudit de tous les commentateurs du Coran. Pourtant, à l’épreuve du danger il a démontré qu’il n’avait aucune élévation d’esprit et était un menteur, un voleur et un assassin calculateur.
AICHA
Epouse préférée de Mahomet, elle a narré des milliers de hadiths qui fondèrent la doctrine islamique. Pourtant elle exécrait Ali au point de se réjouir de sa mort ! Nulle trace de pardon ou de réconciliation ! Comment les meilleurs des musulmans pouvaient-ils se haïr à ce point ?
IBN ABU BAKR ET IBN UMAR
Les fils des deux premiers califes. Ibn Abu Bakr fait partie des assassins d’Othman tandis que Ibn Umar se rallia à Mu'awiyah. Quelle ironie ! Qu’est-ce qui ne va de travers dans l’islam pour que les enfants des califes “bien guidés” s’entretuent ? Ces enfants sont les fruits de l’islam réel…
Si l’Islam apportait vraiment une élévation spirituelle à ses adeptes, tout cela aurait-il pu arriver ?
Ecrit le 09 févr.08, 05:28
BON JOUR, au début je veux souligne un point pour fondre ma repense : il n’a pas de famille royale a l’époque de Mohamed que le salut d’ALLAH soit sur lui, es ca je peux le prouver en deux point : 1- quant le chef de tribut en envoyer son oncle Abu Taleb pour le convaincre de l’assai tombe cette nouvelle religion est resté sur la religion de ses aïeux : et en récompensent ils lui offrent deux privilèges le trône est le pouvoir suprêmes sur toutes les tribut arabes , ou la fortune en le rendant le plus riche d’entre eux, la il répandu avec sa célèbre phrase : ci vous me posez le soleil a ma main droite et la lune dans ma main gauche je ne laisserez pas cet ordre. 2-après la reconquête de la Mecque il a laissé Sofiane ibn harb dans sans post de chef sur les tributs arabes.
De ce la il n’a pas revendique le pouvoir alors ca famille automatiquement ne pas une famille royale alors je concéder que ton introduction est infondé.
-AU sujet des compagnons et leur déférence : tu tirre tes conclusion d’âpre des fait de déférence entre deux confisions ,les chiite qui croit que Ali que la paix soit sur lui est le plus digne d’être khalife après le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui ,et les sunnite qui croit que les khalifes ont tenue le pouvoir sur les musulman d’apprêt un ordre logique selon leur statut au tant u prophète Mohamed que le salut d’ALLAH soit sur lui, chaque un fonde son idiologie sur des preuves qu’il croit juste .sur ce que je vient de dire que les vrais compagnons an jamais eux des déférant fondamentale religieux mais leur sympathisants l’an eux et ca après la mort des 4 khalifes que la paix soit sur eux a partir du 1 siècles de l’exode .conclusion : ces entre leur sympathisants est c’est politique plus que religieux et je peut pas dire plus étend moi-même sunnite je peut pas être objective et impartiale plus que ca.
Ps : Juda a trahie le Christ que le salut d’ALLAH soit sur lui de son vivants et les autres je ne peux pas les critiqué ma religion me Deffant de le faire .
De ce la il n’a pas revendique le pouvoir alors ca famille automatiquement ne pas une famille royale alors je concéder que ton introduction est infondé.
-AU sujet des compagnons et leur déférence : tu tirre tes conclusion d’âpre des fait de déférence entre deux confisions ,les chiite qui croit que Ali que la paix soit sur lui est le plus digne d’être khalife après le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui ,et les sunnite qui croit que les khalifes ont tenue le pouvoir sur les musulman d’apprêt un ordre logique selon leur statut au tant u prophète Mohamed que le salut d’ALLAH soit sur lui, chaque un fonde son idiologie sur des preuves qu’il croit juste .sur ce que je vient de dire que les vrais compagnons an jamais eux des déférant fondamentale religieux mais leur sympathisants l’an eux et ca après la mort des 4 khalifes que la paix soit sur eux a partir du 1 siècles de l’exode .conclusion : ces entre leur sympathisants est c’est politique plus que religieux et je peut pas dire plus étend moi-même sunnite je peut pas être objective et impartiale plus que ca.
Ps : Juda a trahie le Christ que le salut d’ALLAH soit sur lui de son vivants et les autres je ne peux pas les critiqué ma religion me Deffant de le faire .
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Ecrit le 09 févr.08, 06:59
Bonjour,
Les musulmans se sont entretués plus rapidement et plus massivement que les fidèles de n'importe quelle autre religion autant qu'on puisse le savoir. Ca fait partie du bilan de l'Islam.
Est-il plus gênant de penser qu'ils se sont entretués pour des divergences religieuses ou pour le pouvoir ? De toute façon, l'un n'empêche pas l'autre...
à+
Désolé, mais il y avait des vrais compagnons (muhadjirun), si ce titre a un sens, et même des proches parents du Prophète, dans les deux camps de la bataille du Chameau...ADLANE a écrit :.sur ce que je vient de dire que les vrais compagnons an jamais eux des déférant fondamentale religieux mais leur sympathisants l’an eux
Les musulmans se sont entretués plus rapidement et plus massivement que les fidèles de n'importe quelle autre religion autant qu'on puisse le savoir. Ca fait partie du bilan de l'Islam.
Est-il plus gênant de penser qu'ils se sont entretués pour des divergences religieuses ou pour le pouvoir ? De toute façon, l'un n'empêche pas l'autre...
à+
De quel droit refuserions-nous de faire usage du plus grand don de Dieu ? N'est-ce pas un formidable blasphème que de croire contre la raison ? (Vivekananda)
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Ecrit le 11 févr.08, 00:31
SPIN c’est toujours un plaisir e d’ébattre avec toi et je te dis ca son hypocrisie. La bataille du chameau ces t’une bataille ou les compagnon été des deux cotes certes pour des cause les deux été nobles et c’est ca la polémique, et ca le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui la prédit ces le temps de (la discorde) el fitna et ca ces un autre sujet parce que ce qu’ tu voit comme malheur ont le voit comme bonheur car ca contribue a prouvait que le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui avez raison ; le camps de ALI que la paix d’ALLAH soit sur lui voulais éteindre le feu de la discorde ,les autre voulez punir les sortant( le camps de AICHAT que la paix d’ALLAH soit sur ELLE).et ca c’est un autre sujet.
Et Perme moi de te contre dire mais c’été pas une guerre sur le pouvoir mais une guerre d’instauration des commandements d’ALLAH et je le prouve in ci : a la défaite du camp de Médine (aicha) ALI que la paix d’ALLAH soit sur eux la défendu et la rendu a Médine avec sont statut de mère des musulman sans rancune. Apre sa mort c’est moaoiua ibn abi sofiane que la paix d’ALLAH soit sur lui qui a prit le pouvoir et el hassene fils de ALI que la paix d’ALLAH soit sur EUX qui lui jurée allégeance. ET TOUS CA TU PEUX LE TROUVER DANS LE LIVRE D’IBN EL KATHIRE AL BIDAA UOA EL NIHAA avec une objectivité qui t’étonnera crois moi ca vaut le détour.Le prophète et ces khalife Quesque il son gagniez de matériel ? rien !, et ci tu trouve que Otman est sympa tu doit connaitre les autre, tu sera le vrai islam et le sans des sacrifice je te le jure qu’ ont regrette leur temps.
Et Perme moi de te contre dire mais c’été pas une guerre sur le pouvoir mais une guerre d’instauration des commandements d’ALLAH et je le prouve in ci : a la défaite du camp de Médine (aicha) ALI que la paix d’ALLAH soit sur eux la défendu et la rendu a Médine avec sont statut de mère des musulman sans rancune. Apre sa mort c’est moaoiua ibn abi sofiane que la paix d’ALLAH soit sur lui qui a prit le pouvoir et el hassene fils de ALI que la paix d’ALLAH soit sur EUX qui lui jurée allégeance. ET TOUS CA TU PEUX LE TROUVER DANS LE LIVRE D’IBN EL KATHIRE AL BIDAA UOA EL NIHAA avec une objectivité qui t’étonnera crois moi ca vaut le détour.Le prophète et ces khalife Quesque il son gagniez de matériel ? rien !, et ci tu trouve que Otman est sympa tu doit connaitre les autre, tu sera le vrai islam et le sans des sacrifice je te le jure qu’ ont regrette leur temps.
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Ecrit le 11 févr.08, 03:25
En réalité les gens de La Mecque ne lui ont jamais proposé un pareil marché (pas si bêtes !):ADLANE a écrit :BON JOUR, au début je veux souligne un point pour fondre ma repense : il n’a pas de famille royale a l’époque de Mohamed que le salut d’ALLAH soit sur lui, es ca je peux le prouver en deux point : 1- quant le chef de tribut en envoyer son oncle Abu Taleb pour le convaincre de l’assai tombe cette nouvelle religion est resté sur la religion de ses aïeux : et en récompensent ils lui offrent deux privilèges le trône est le pouvoir suprêmes sur toutes les tribut arabes , ou la fortune en le rendant le plus riche d’entre eux, la il répandu avec sa célèbre phrase : ci vous me posez le soleil a ma main droite et la lune dans ma main gauche je ne laisserez pas cet ordre. (...)Code : Tout sélectionner
Mahomet était si insultant envers la croyance des Quraishites qu'une partie de leurs notables sont allés trouver Abu Talib, l'oncle de Muhammad et l’ont prié d’intervenir et pour qu’il s’abstienne d’insulter leurs dieux. Ils ont dit : "Ton neveu parle de manière insultante de nos dieux et de notre religion : il nous a traité de fous et en plus a dit que nos ancêtres étaient tous des égarés. Maintenant, venge-nous de notre adversaire ; ou, (considérant que tu es dans le même cas que nous-mêmes) laisse-le que nous puissions prendre notre revanche". Abu Talib leur a répondu doucement et ils se sont séparés. Mahomet n’ayant tenu aucun compte de leurs plaintes, ils sont encore retournés chez Abu Talib dans une grande exaspération ; et ajoutèrent : - "et maintenant en vérité nous ne pouvons plus garder patience plus longtemps avec ses insultes envers nous, nos ancêtres, et nos dieux, soit tu le tiens éloigné de nous, soit tu te mets avec lui de sorte que nous décidions entre nous."
Katib al Wackidi, signale qu'Abu Talib s'est adressé au prophète et lui a dit "en vérité les gens te demandent une chose raisonnable, que tu cesses de maltraiter leurs dieux et ils cesseront de te maltraiter toi et ton Dieu." À quoi il a répondu "- s’ils m’apportaient le soleil dans ma main droite, et la lune dans ma gauche pour me détourner de mon entreprise, en vérité, je ne renoncerais pas jusqu'à ce qu’Allah rende manifeste ma cause, ou que j'aie péri dans la tentative."
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Ecrit le 11 févr.08, 04:50
Tabari, Vol 6, pages 93, 94ADLANE a écrit :BON SOIR CASIUSE. quant je te dit quai l’ont proposer il l’ont fais prend la pêne de vérifier et je te conseille le livre le plus réputer Siret Baní hacheme . Et quant tu récite quelqu’un donne nous ta source pour quant puise faire de même.
Ecrit le 13 févr.08, 10:22
Tres bonne analyse Caius. Il est vrai qu'en islam le comportement des musulmans de la premiere heure jusqu'a aujourd'hui, démontre trés fortement l'attitude béliqueuse qu'insufle cette " religion " à ses adeptes.
Si les mieux à mêmes de comprendre le coran, c'est à dire ceux ayant cotoyé Mahomet, agissaient de la sorte. Il devient impossible de nié que Mahomet, celui qu'ils ont pris en exemple, n'avait pas lui même un comportement de tyran.
Les preuves afflue de toute parts, et si les personnes incriminées n'étaient pas Mahomet et ses compagnons, les musulmans en arriveraient aux mêmes conclusions que nous. Un croyant malheureusement voudra toujours faire concorder sa croyance avec ses idées, rejettant certains preceptes et en approuvant d'autres. Les religions sont de vastes supermarché, on prend ce qui nous fait plaisir, et on laisse le reste. Aprés pas étonnant qu'il y a autant de courants divergeants chez les chrétiens et les musulmans. Allez aujourd'hui c'est les soldes, croyaient seulement à ce qui vous fait envie !
Ghandi disait d'ailleur " il y a autant de religions que d'hommes " tu m'ettonnes ...
Si les mieux à mêmes de comprendre le coran, c'est à dire ceux ayant cotoyé Mahomet, agissaient de la sorte. Il devient impossible de nié que Mahomet, celui qu'ils ont pris en exemple, n'avait pas lui même un comportement de tyran.
Les preuves afflue de toute parts, et si les personnes incriminées n'étaient pas Mahomet et ses compagnons, les musulmans en arriveraient aux mêmes conclusions que nous. Un croyant malheureusement voudra toujours faire concorder sa croyance avec ses idées, rejettant certains preceptes et en approuvant d'autres. Les religions sont de vastes supermarché, on prend ce qui nous fait plaisir, et on laisse le reste. Aprés pas étonnant qu'il y a autant de courants divergeants chez les chrétiens et les musulmans. Allez aujourd'hui c'est les soldes, croyaient seulement à ce qui vous fait envie !
Ghandi disait d'ailleur " il y a autant de religions que d'hommes " tu m'ettonnes ...
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Ecrit le 17 févr.08, 04:11
cette histoire est fausse ou est ce que tu l'a trouvé?La plupart se déclarèrent pour Othmân. Abd-er-Ra’hmân lui-même penchait pour ce dernier. Parmi les chefs qu’Abd-er-Ra’hman avait interrogés étaient Abou-Sofyân et Amrou, fils d’Al-‘Aç. Pendant la nuit, Abou-Sofyân se rendit auprès d’Amrou et lui dit : « Abd-er-Ra’hmân est venu me trouver et m’a demandé qui je voulais pour calife. J’ai répondu que je voulais Othmân ». Amrou dit : « Il est venu aussi chez moi, et moi aussi je me suis prononcé pour Othmân ».. Abou-Sofyân reprit : « que faire alors ? Othmân est un homme doux, et je crains qu’il ne perde l’affaire, et qu’Ali ne l’emporte sur lui par sa détermination ». Amrou répliqua : « Ne t’inquiète pas de cela ; je verrai, cette nuit, l’un et l’autre, et je ferai en sorte qu’Othmân soit nommé. »
il s'est jamais passé comme çaIl se rendit donc auprès d’Ali et lui parla ainsi : « Tu connais mon ancienne amitié et mon affection pour toi. Toi et Othmân, vous êtes maintenant seuls en présence. Les chefs qu’Abd-er-Ra’hmân a vus cette nuit se sont déclarés soit pour toi, soit pour Othmân. Maintenant, si tu veux suivre le conseil que je vais te donner, tu l’emporteras ».
Ali dit : « Je ferai ce que tu me conseilleras ».
c'est un mensonge chiite apperemmentAmrou reprit : « Abd-er-Ra’hmân est un homme d’une parfaite probité. Demain, il t’appellera et te demandera si tu acceptes le pouvoir en promettant de suivre la loi de Dieu et de son Prophète et la voie des deux califes antérieurs.
je n'ai pas fini toute l'histoire j'ai eu des nausées pour ces mensonge ,j'ai lu l'histoire dans plusieurs livres écrites par la plupart des savants musulmants les plus célébres ,tu l'a ramené d'ou cette ordure?
Abderrahmane a désigné Othman dans une mosquée devant tout le monde ,parceque tout le monde étaient pour Othman et Abou Sofian n'a rien avoir dans l'histoire ,
- caius
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Ecrit le 17 févr.08, 21:00
loveofislam a écrit : cette histoire est fausse ou est ce que tu l'a trouvé?
il s'est jamais passé comme ça
c'est un mensonge chiite apperemment
je n'ai pas fini toute l'histoire j'ai eu des nausées pour ces mensonge ,j'ai lu l'histoire dans plusieurs livres écrites par la plupart des savants musulmants les plus célébres ,tu l'a ramené d'ou cette ordure?
Abderrahmane a désigné Othman dans une mosquée devant tout le monde ,parceque tout le monde étaient pour Othman et Abou Sofian n'a rien avoir dans l'histoire ,
Si vous preniez la peine de lire un texte juqu'à sa fin vous ne poseriez pas de questions oiseuses :
[Extrait de « Les chroniques de Tabari -Tome 3» (Abou Djafar Mo’hammed ben Djarir ben Yezid, Editions d’Art les heures claires) ; Quatrième Partie ; Chapitre LXXVIII
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