L'abattage rituel

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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MonstreLePuissant

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Ecrit le 08 janv.08, 23:07

Message par MonstreLePuissant »

iliasin a écrit :mais non dieu lui a donner un bélier pour qu'il le mange, une fête quoi

c'est pas un sacrifice pour le pardon des péchés, mais une offrande pour fêter son obéissance
C'était un holocauste ! Le bélier a été offert en holocauste à la place de son fils Isaac.

Mais celà n'a pas d'importance parce que vous vous commémorez le SACRIFICE d'Abraham

Extrait de Wikipedia
L'Aïd el-Kebir est célébré le dixième jour du dernier mois du calendrier islamique, en commémoration du sacrifice d'Abraham, et coïncide avec le pèlerinage à La Mecque, le cinquième pilier de l'islam.

[...]

La tradition est de sacrifier un agneau aux fêtes de l'aïd.


Mais Dieu n'aime pas les sacrifices. Donc, vous faites volontairement quelque chose qui déplait à Dieu. Inutile de chercher une excuse. Ce n'est pas un festin que vous fêter, et c'est bien un sacrifice que vous faites en tuant l'agneau.

Repentez vous !!!! Allah vous punira tous !!!
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix

Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

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Ecrit le 08 janv.08, 23:13

Message par MonstreLePuissant »

Abdel_du_Un a écrit :Pour manger de la viande sans insulter le nom de Dieu:
"tu ne tueras pas"
Chaque fois que vous manger de la viande, vous sacrifiez un agneau ? Je ne crois pas non !!! Vous sacrifiez un agneau en sachant que Dieu n'aime pas les sacrifices.
iliasin a écrit :pourquoi donc se contredirait t'il en sacrifiant le christ

c'est inconcevable et incohérent, paradoxal et contradictoire

tu vois mlp le coran a raison, jésus n'a pas été sacrifier
Ce qui est contradictoire, c'est que vous sacrifiez des moutons alors que Dieu n'aime pes les sacrifices. Ca c'est contradictoire. Réglez d'abord votre propre contradiction avant de vous attaquer à celle des autres.
Bonté d'Allah a écrit :La réponse est là :

Et cette interdiction a été confirmée dans le verset 3 da la Sourate 5 (Al Ma-idah) :
Je comprends l'interdiction. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi vous sacrifier des agneaux alors que Dieu n'aime pas les sacrifices.
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Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

Abdel_du_Un

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Ecrit le 08 janv.08, 23:32

Message par Abdel_du_Un »

MonstreLePuissant a écrit : Chaque fois que vous manger de la viande, vous sacrifiez un agneau ? Je ne crois pas non !!! Vous sacrifiez un agneau en sachant que Dieu n'aime pas les sacrifices.
Ce qui est contradictoire, c'est que vous sacrifiez des moutons alors que Dieu n'aime pes les sacrifices. Ca c'est contradictoire. Réglez d'abord votre propre contradiction avant de vous attaquer à celle des autres.
Je comprends l'interdiction. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi vous sacrifier des agneaux alors que Dieu n'aime pas les sacrifices.

Dans de nombreuses civilisations, les prêtres incitaient leur ouiailles à sacrifier leur enfants pour éloigner les calamités, et faire absoudre leur péchés!

cette pratique est hérité du diable!

Satan se vante que ses adorateurs lui obéissent coeur et âmes en faisant passer leur enfants par l'épée:

Abraham * a montré une bonne fois pour toute que les adorateurs de Dieu
ne sont pas moins attachés à Dieu:

Dieu institue d'année en année par cet exemple une contre attitude à avoir face aux incitation du diable:

le bélier donné en sacrifice à la place du fils ainé d'Abraham met fin à une
pratique ténébreuse qui influença le christianisme lui-même!

Ce que Dieu aime, ce n'est pas le sacrifice mais la piété, c'est-à-dire
l'obeissance et le repentir!

dit de cette manière, est-ce plus clair pour votre esprit?

(NB: tout sorte d'animaux peuvent étre sacrifié et pas seulement le mouton, y compris lors du pèlerinage,
"manger la bonne nourriture que nous vous donnons et ne suivez pas du diable, il est pour vous un ennemi déclaré!)

CHAHIDA

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Ecrit le 08 janv.08, 23:34

Message par CHAHIDA »

Monstre :

Je comprends l'interdiction. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi vous sacrifier des agneaux alors que Dieu n'aime pas les sacrifices.
Dieu n'aime pas le sacrifice qui n'est été invoqué en son nom, à l'origine, dans les temps anciens celui d'Abrahm, Moise, Jésus et Mohammed (saw) (psl) l'abbatage des bêtes se faisait ainsi, par égorgement, et malheureusement il y eu les offrandes, et sacrifice d'animaux faites "DES DIEUX" l'ohmme offrait en sacrifice des animaux se sont des idolatres, surtout a l'époque d'Abraham.

C pourquoi ALLAH n'aime pas le sacrifice, et il le fait savoir dans la sourate la Sourate 5 (Al Ma-idah) :
Donc d'une origine paiene, est devenu une origine monothéiste, a savoir le sacrifice d'Abraham a dieu. ET QUI RAPPEL CECI

[b]Cet épisode, évoqué dans la sourate 37, ressort au thème coranique de l’épreuve (balâ’), qui agit comme une véritable pédagogie spirituelle à l’adresse des croyants et à fortiori des prophètes : l’élection et l’investiture ont pour passage obligé la purification. Abraham (Ibrâhîm en arabe) a été choisi comme « ami intime de Dieu » (khalîl Allâh) parce qu’il a subi avec succès maintes épreuves1. L’une des plus intenses fut sans doute ce songe au cours duquel le patriarche se vit en train d’immoler son fils :

- « Ô mon fils, je vois en rêve que je t’égorge. Qu’en penses-tu ? »

- « Père, répondit le fils, fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras, si Dieu veut, parmi ceux qui supportent [l’épreuve] » (Cor. 37 : 102).

Tous les traducteurs rendent ce passage au temps passé (« Ô mon fils, j’ai vu en rêve que... »), mais il importe de restituer le présent employé dans le texte arabe, car celui-ci a pour fonction de susciter l’instantanéité de la vision d’Abraham. Si l’on nous permet l’image, celui-ci vit la vision en direct, non en différé. Les commentateurs insistent sur la dimension onirique de la scène - absente du récit biblique -, et Ibn ‘Arabî, le grand maître du soufisme souligne que c’est en fait un bélier qui est apparu à Abraham durant son sommeil, mais sous les traits de son fils. Cependant, Abraham n’a pas interprété, « transposé » dit l’arabe, cette vision car, selon l’avis des commentateurs, le songe ou la vision des prophètes relève de la révélation (wahy), et est perçu par eux comme une réalité immédiate. En effet :

- « Lorsqu’ils se furent tous deux abandonnés à la volonté divine (aslamâ) et qu’Abraham eut couché son fils le front contre terre, Nous l’appelâmes : " Ô Abraham, tu as ajouté foi à la vision ! " C’est ainsi que nous rétribuons les êtres doués d’excellence (103-105) ». En réalité, la vision qu’a reçue Abraham ne lui intimait pas d’immoler matériellement son fils, mais de le consacrer à Dieu. Nous rejoignons ici la tradition judaïque2.

- « Voici certes l’épreuve évidente » (106) : épreuve suprême de soumission à Dieu que de se croire contraint d’égorger son fils ! Selon certains soufis, l’épreuve consistait à donner son vrai sens à la vision. Ils font remarquer que l’enfant est le symbole de l’âme. C’est donc son "moi" que Dieu demande à Abraham d’immoler, cette âme prophétique élevée, certes, mais encore capable d’amour pour un autre que Dieu. Or, afin d’être investi pleinement de l’intimité divine, Abraham doit vider son coeur de tout attachement aux créatures. D’ailleurs, l’épisode du sacrifice suit immédiatement un passage où l’on voit Abraham détruire les idoles adorées par son peuple (84-98). Dans son cas, la réalisation ultime de l’Unicité (tawhîd) supposait la destruction de tout penchant naturel, de tout résidu égotique, forme subtile d’idolâtrie.

- « Nous le rachetâmes par un sacrifice solennel » (107), car l’enjeu est immense. Un bélier venant, selon la tradition, du paradis, et conduit sur terre par l’ange Gabriel pour le sacrifice, se substitue au fils : grâce à ce transfert, Dieu rachète à Abraham toute sa descendance, prophétique et autre, afin de mieux la préserver et la bénir. Ainsi, « Nous perpétuâmes [le souvenir d’Abraham] parmi les générations postérieures (108). Paix sur Abraham ! » (109) : après la soumission (islâm) vient la paix (salâm). L’animal, être pur parce qu’il connaît par intuition directe son Créateur, à l’instar des règnes minéral et végétal (Ibn ‘Arabî), peut en effet prendre la place d’un humain pur, prophète et fils de prophète. Par son sacrifice consenti, il permet aux « fils d’Adam » - et pas seulement d’Abraham - de régénérer leurs énergies vitale et spirituelle.

En aucun endroit de ce récit, le Coran ne mentionne si le fils offert en oblation est Ismaël, père des Arabes, fils de la servante Agar jalousée par Sara, ou Isaac, son frère cadet, père des Juifs. Cette imprécision a partagé les auteurs musulmans, chacun tirant argument de façon opposée des mêmes passages coraniques en faveur d’Isaac ou d’Ismaël. Dans une perspective islamique, il était tentant d’identifier la victime du sacrifice à Ismaël. En effet, celui-ci a aidé Abraham à bâtir la Kaaba de La Mecque (Cor. 2 : 125-127), et certains rites actuels du Pèlerinage (Hajj), tels que la lapidation de Satan, trouvent leur fondement dans le sacrifice qui aurait eu lieu à Mina, un des sites du Hajj. Pourtant, la plupart des commentateurs ne cèdent pas à cette tentation, et étalent au grand jour les divergences d’opinion. Voici un bel exemple du pluralisme régnant au sein de la pensée musulmane médiévale.

Il n’empêche que la commémoration du sacrifice d’Abraham, actualisée chaque année par le sacrifice d’animaux, est devenue la « grande fête » (al-‘îd al-kabîr) des musulmans, célébrée le 10 de Dhû l-Hijja, mois du Pèlerinage. Le Hajj, ceux qui l’ont accompli le savent bien, est une épreuve : répétition du Jugement dernier, il est mort à ce monde et résurrection. À l’instar de la bête, le pèlerin est l’offrande sacrificielle dont le parcours rituel permet à la communauté musulmane, et au-delà à l’humanité, de se régénérer. Si le sacrifice animal garde aujourd’hui toute sa pertinence, et si le partage et le don de la viande perpétuent « l’hospitalité sacrée » d’Abraham, il importe de ne pas perdre de vue le sens premier du sacrifice : la purification intérieure.[/b]

CHAHIDA

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Ecrit le 08 janv.08, 23:36

Message par CHAHIDA »

Et pour d'ample information sur le sujet je vous adres ceci :
-

--Etude sur le sacrifice rituel
24-11-2007
La connaissance profonde de la science peut fournir des explications justifiées à certaines questions comme "Pourquoi la Chari’a a rendu certaines choses illicites (harâm) et d’autres licites (halâl)" ? Cette règle générale de la Chari’a est : "Ce que la Chari’a a interdit est nocif, et ce qu’elle a permis est pur, sans danger, salutaire et utile."

Le Qour’aan dit : "Ils t'interrogent sur ce qui leur est permis. Dis : Vous sont permises les choses bonnes et pures …" (Sourah 5 / Verset 4)

Cette règle de la loi islamique peut être jugée sur des critères empiriques, qui ne s’appuient que sur l’expérience et l’observation. Par exemple, le Qour’aan a enjoint les musulmans d’égorger les animaux d’une manière prescrite ; utiliser une méthode autre que celle prescrite rend le fait de l’égorgement illicite (harâm) et interdit. Par conséquent, nous sommes obligés de réfléchir pourquoi une méthode spéciale d’égorgement a été prescrite dans la Chari’a.

Cette méthode précise est-elle juste une loi ou un principe scientifique ?

Une profonde étude révèlerait que la méthode islamique serait basée sur un mécanisme biologique spécial qui comporte plusieurs avantages. Nous savons que trois conditions sont requises pour égorger un animal:

La personne qui égorge l’animal doit être musulmane.
Le nom d’Allah doit être prononcé , avant que l’incision ne soit faite, en égorgeant l’animal, sa face étant tournée vers la Quiblah (vers Makkah, où se trouve la ka’bah).
L’égorgement doit être pratiqué dans le cou, juste au-dessous de la glotte, tranchant la gorge et l’œsophage, la veine jugulaire et l’artère carotide sans couper la moelle épinière.
En plus de ces trois conditions précitées, la personne qui coupe l’animal doit garder à l’esprit qu’elle ne doit pas dépecer la carcasse avant que les convulsions n’aient totalement cessées et que l’animal soit biologiquement mort. Le dépecer juste après l’avoir égorgé est vivement déconseillé dans l’Islam.

La méthode prescrite comporte plusieurs bienfaits : elle évite à l’animal des souffrances qui pourraient se produire par d’autres méthodes d’égorgement, dues à la contraction du muscle et l’arrêt de la respiration et des autres fonctions organiques. Dans la façon d’égorger l’animal selon la méthode islamique, la majeure partie des vaisseaux sanguins se trouvant dans le cou est coupée, ce qui produit un effet d’étourdissement immédiat. Ceci provoque une soudaine hémorragie du sang qui, en coupant l’approvisionnement du sang au cerveau, rend l’animal inconscient.

L’avantage de ne pas couper la moelle épinière (une des particularités de l’égorgement à la façon islamique) est que le cerveau continue d’envoyer ses impulsions électriques vers le cœur à une fréquence plus importante, demandant le sang. Le cerveau ne supportant pas un approvisionnement limité de sang, envoie des signaux d’avertissement au cœur pour augmenter cet approvisionnement.
Ceux qui ont l’expérience d’égorger des animaux ont sûrement remarqué que immédiatement après l’égorgement, le sang sort doucement, mais ensuite gicle abondamment. C’est le résultat des impulsions électriques du cerveau vers le cœur pour une demande urgente de sang. C’est la raison pour laquelle ces spasmes violents secouent l’animal; et ce dernier pompant le sang avec énergie accélère le processus d’hémorragie, jusqu’à ce que le sang soit vidé de son corps.

Le cerveau envoie continuellement des signaux au cœur pour un plus grand approvisionnement de sang. Le cœur obéit aux instructions du cerveau et n’envoie plus de sang vers la partie inférieure du corps afin de pouvoir pomper plus de sang vers le cerveau. Mais le conduit qui emmène le sang au cerveau est déjà coupé. Apparemment, les violentes convulsions qui résultent des contractions du muscle semblent être très douloureuses, mais en vérité, l’animal ne ressent rien car il est inconscient ; et les spasmes qui le secouent viennent en réponse aux fréquents messages du cerveau vers le cœur qui demande plus de sang.


L’égorgement à la manière islamique profite un maximum au mécanisme naturel de l’abattage de l’animal :


En coupant la plus grande partie des vaisseaux sanguins sans pour autant couper le moelle épinière, le mécanisme du corps est utilisé pour vider la carcasse de son sang (particularité de la méthode islamique) et couper la conduite du sang vers le cerveau sans intervenir dans la liaison du cerveau au cœur.

En égorgeant l’animal par une autre méthode que celle enseignée par l’Islam, le mécanisme naturel du corps ne travaille pas. Le vidage du sang n’est pas total et cela affecte sérieusement la couleur et le goût de la viande.
Il a été reconnu par des gens qui mangent aussi bien la viande licite (halâl) que illicite (harâm) que la première est bien meilleure en goût et en apparence que celle qui est illicite.


A part cela, la viande licite (halal) a une portée importante reconnue par les scientifiques :
Nous savons que le sang accomplit plusieurs fonctions dans le corps. Il apporte de la nourriture pendant son cycle pour nourrir les cellules de tissus et rejette les déchets après la consommation totale des composants nutritifs. Durant la circulation, le sang va aussi vers les reins qui le purifie pour une future utilisation . Ainsi le sang a plusieurs fonctions, autres que nutritifs.

Deux chercheurs, Gucel et Erbil ont divulgué leurs recherches qui démontraient que le sang qui transporte la nourriture nourrit aussi les organismes responsables de la maladie. Ceux-ci ne montrent aucun système clinique dans un corps sain. Mais dès qu’ils sont séparés du corps, ces maladies qui voyagent dans l’organisme deviennent extrêmement nuisibles. C’est pour cette raison que la consommation de sang est interdite dans l’islam. En outre, le sang est le principal « élevage » de toute sortes de bactéries. Si la carcasse n’a pas été correctement vidée, ce qui se produit toujours lors d’un sacrifice pratiqué par une autre méthode que celle enseignée par l’Islam, il ne purifie pas la viande et devient dangereux pour la santé. Les convulsions de l’animal sacrifié est la méthode la plus rapide et efficace pour rendre la carcasse pure de toute maladie que transporte le sang.


Nous savons aussi que le Qour’aan interdit la consommation de la viande d’un animal qui meurt suite à un choc brutal. Il est dit : "Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ceux sur quoi on a invoqué un autre nom que celui d’Allah, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d’une chute ou d’un coup de corne, et celle qu’une bête féroce a dévorée – sauf celle que vous égorgez avant qu’elle ne soit morte-. (vous sont interdits aussi la bête) qu’on a immolée sur les pierres dressées…" (Sourah 5 / Verset 3)

Les raisons médicales qui exposent le raisonnement des lois islamiques ont été étudiées par de nombreux chercheurs à travers des travaux indépendants. Leurs études ont révélé que lorsque les organismes vivants sont exposés à une peur intense, des hormones spéciales et chimiques se dégagent dans le corps et le sang. Mais ils causent aussi de nombreux dommages aux tissus, les rendant impropres à la consommation.

Dans le sacrifice islamique, les conditions de peur sont minimisées autant que possible. C’est pour cette raison que la Chari’a a énoncé un certain nombre de recommandations qui doivent être suivies pendant l’abattage.

Le couteau ne doit pas être aiguisé devant l’animal
L’animal ne doit pas être abattu devant d’autres animaux
On doit donner à l’animal de l’eau à boire avant de le sacrifier
Il doit être couché sur le coté, tiré et placé doucement sur son dos.
Toutes ces précautions tendent à réduire la peur de l’animal le plus longtemps possible.

Dans les méthodes modernes, les techniques mécaniques ou électriques sont utilisées pour produire une action violente qui a pour effet de paralyser l’animal. Ils disent que ces nouvelles techniques sont moins douloureuses comparées à celle enseignées par l’Islam. Mais cela est faux. L’animal paralysé ressent une terrible douleur et est effrayé, mais il ne peut exprimer ses émotions. Cela donne la mauvaise impression que l’animal ne souffre pas. Tandis que dans l’abattage islamique, on a l’impression que l’animal souffre énormément mais en réalité, il ne ressent rien car il est inconscient.


En plus de toutes les applications biologiques décrites ici, il y a plusieurs facteurs psychologiques qui entrent dans le rite islamique. Ils sont principalement associés aux deux premières conditions posées par la Chari’a que sont, la personne qui égorge doit être musulmane et le nom d’Allah doit être prononcé avant l’égorgement, la face de l’animal tourné vers la Quiblah. La raison de ces deux conditions est que la personne qui sacrifie doit être pleinement consciente qu’elle prend une vie avec la permission d’Allah pour une cause valable, approuvée par Allah. Cela est très significatif parce qu’autrement, de nombreux sacrifices peuvent diminuer le caractère sacré de la vie et introduire un déséquilibre dans la nature.




L’action de prendre une vie animale doit être exécutée avec beaucoup de soins et en pleine connaissance des lois islamiques.

Article en anglais écrit par Dr Z.M.M KAMOONPURI, TANZANIE, traduit par S.G pour le C.I.R.


+++

MonstreLePuissant

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Message par MonstreLePuissant »

Abdel_du_Un a écrit :Ce que Dieu aime, ce n'est pas le sacrifice mais la piété, c'est-à-dire l'obeissance et le repentir!
Ahhh ! Voilà ! Vous commencez à relativiser. Quand iliasin nous assène à coup de versets que Dieu n'aime pas les sacrifices, il oublie de préciser ce que le contexte impose, à savoir que Dieu préfère l'obéissance et le repentir, ce qu'aucun sacrifice ne peut remplacer. Celà n'exclu donc pas que Jésus ait servi de sacrifice propitiatoire, d'offrande sacrificielle.
Abdel_du_Un a écrit :À l’instar de la bête, le pèlerin est l’offrande sacrificielle dont le parcours rituel permet à la communauté musulmane, et au-delà à l’humanité, de se régénérer.
Si un pèlerin peut être considéré comme un offrande sacrificielle, pourquoi pas Jésus ?
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Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

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Ecrit le 09 janv.08, 00:27

Message par Abdel_du_Un »

MonstreLePuissant a écrit : Ahhh ! Voilà ! Vous commencez à relativiser. Quand iliasin nous assène à coup de versets que Dieu n'aime pas les sacrifices, il oublie de préciser ce que le contexte impose, à savoir que Dieu préfère l'obéissance et le repentir, ce qu'aucun sacrifice ne peut remplacer. Celà n'exclu donc pas que Jésus ait servi de sacrifice propitiatoire, d'offrande sacrificielle.

Mais si, cela l'exclu définitivement:


Dans de nombreuses civilisations, les prêtres incitaient leur ouiailles à sacrifier leur enfants pour éloigner les calamités, et faire absoudre leur péchés!
cette pratique est hérité du diable!

Satan se vante que ses adorateurs lui obéissent coeur et âmes en faisant passer leur enfants par l'épée: Abraham * a montré une bonne fois pour toute que les adorateurs de Dieu
ne sont pas moins attachés à Dieu:

Dieu institue d'année en année par cet exemple une contre attitude à avoir face aux incitation du diable:

le bélier donné en sacrifice à la place du fils ainé d'Abraham met fin à une
pratique ténébreuse qui influença le christianisme lui-même!

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Ecrit le 09 janv.08, 00:55

Message par MonstreLePuissant »

Abdel_du_Un a écrit :Dans de nombreuses civilisations, les prêtres incitaient leur ouiailles à sacrifier leur enfants pour éloigner les calamités, et faire absoudre leur péchés! cette pratique est hérité du diable!
Jésus n'était pas un enfant. Il était parfaitement consentant. Aucun prêtre ne l'a sacrifié.
Abdel_du_Un a écrit :le bélier donné en sacrifice à la place du fils ainé d'Abraham met fin à une
pratique ténébreuse qui influença le christianisme lui-même!
Aucun rapport ! D'ailleurs, cette pratique de donner des enfants en sacrifice ne s'est pas arrété dans le judaïsme. Les sacrifices propitiatoires étaient dans la Loi, la Loi dont vous dites qu'elle n'a pas été abolie. Donc, le sacrifice propitiatoire de Jésus est parfaitement compréhensible et absolument possible au regard de la Loi. Jésus n'a pas été sacrifié, il s'est sacrifié. C'est la différence !
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Abdel_du_Un

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Message par Abdel_du_Un »

MonstreLePuissant a écrit : Jésus n'était pas un enfant. Il était parfaitement consentant. Aucun prêtre ne l'a sacrifié.
Aucun rapport ! D'ailleurs, cette pratique de donner des enfants en sacrifice ne s'est pas arrété dans le judaïsme. Les sacrifices propitiatoires étaient dans la Loi, la Loi dont vous dites qu'elle n'a pas été abolie. Donc, le sacrifice propitiatoire de Jésus est parfaitement compréhensible et absolument possible au regard de la Loi. Jésus n'a pas été sacrifié, il s'est sacrifié. C'est la différence !
Les sacrifices propitiatoires, les parures des prêtres, les autels tout cela a bien existé, mais est-ce que Dieu aime vraiment ces choses:
pas du tout!

Ésaïe 1:11 À quoi me sert la multitude de vos sacrifices ? dit l'Éternel. Je suis rassasié d'holocaustes de béliers, et de la graisse de bêtes grasses ; et je ne prends pas plaisir au sang des taureaux, et des agneaux, et des boucs.

ces sacrifices n'ont été acceptées par dieu que pour les juifs qui sortaient d'un long abrutissement lors de leur esclavages en Egypte

si sacrifice de Jésus il y a eu ce n'était certainement pas pour servir de péché propitiatoire, d'autant qu'aucun sacrifice n'efface le péché volontaire, ni la mort d'un homme ne sert à racheter un autre!

Pourquoi un tel sacrifice hypothétique alors?
rompre une ancienne alliance et en fonder une nouvelle fonder sur l'amour et l'humilité!

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Ecrit le 09 janv.08, 01:48

Message par CHAHIDA »

MonstreLePuissant a écrit : Ahhh ! Voilà ! Vous commencez à relativiser. Quand iliasin nous assène à coup de versets que Dieu n'aime pas les sacrifices, il oublie de préciser ce que le contexte impose, à savoir que Dieu préfère l'obéissance et le repentir, ce qu'aucun sacrifice ne peut remplacer. Celà n'exclu donc pas que Jésus ait servi de sacrifice propitiatoire, d'offrande sacrificielle.
Si un pèlerin peut être considéré comme un offrande sacrificielle, pourquoi pas Jésus ?
Monstre entre le sacrifice d'animaux et de celui de Jésus (psl)il y a une large différence non!!!
tu en fait la comparaison pour justifier votre pensée du peché originel, que Jésus (psl) a rachette toutes vos fautes en se sacrifiant) c un mensonge biblique encore une fois.
Une erreur biblique, ok.

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Ecrit le 09 janv.08, 02:43

Message par MonstreLePuissant »

Abdel_du_Un a écrit :ces sacrifices n'ont été acceptées par dieu que pour les juifs qui sortaient d'un long abrutissement lors de leur esclavages en Egypte

si sacrifice de Jésus il y a eu ce n'était certainement pas pour servir de péché propitiatoire, d'autant qu'aucun sacrifice n'efface le péché volontaire, ni la mort d'un homme ne sert à racheter un autre!

Pourquoi un tel sacrifice hypothétique alors?
rompre une ancienne alliance et en fonder une nouvelle fonder sur l'amour et l'humilité!
Mais le sacrifice propitiatoire était dans la Loi que tu le veuilles ou non ! A l'époque de Jésus, la Loi était en vigueur. Aucun prophète n'a dit : "n'observez pas la Loi". Et Jésus n'a pas demandé non plus de ne pas observer la Loi. Donc, on en concluera que les sacrifices ne dérangeaient pas Dieu. Sinon, vous n'en feriez pas non plus chaque année.

Donc, je le répète, pourquoi le sacrifice propitiatoire de Jésus n'aurait-il pas lieu ? Rien ne l'empèche n'est ce pas ? Il sert d'agneau sacrificiel à la place d'un vrai agneau. Souviens toi que l'agneau sacrificiel devait être sans défaut. C'est pour celà que nul autre que Jésus ne pouvait servir d'agneau sacrificiel, car seul lui était sans défaut. La Loi est respectée jusqu'au bout ! La différence, c'est que le sacrifice de Jésus est perpétuel, contrairement aux sacrifices d'animaux qui devaient continuellement être renouvellés.
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Ecrit le 09 janv.08, 02:59

Message par Abdel_du_Un »

MonstreLePuissant a écrit : Mais le sacrifice propitiatoire était dans la Loi que tu le veuilles ou non ! A l'époque de Jésus, la Loi était en vigueur. Aucun prophète n'a dit : "n'observez pas la Loi". Et Jésus n'a pas demandé non plus de ne pas observer la Loi. Donc, on en concluera que les sacrifices ne dérangeaient pas Dieu. Sinon, vous n'en feriez pas non plus chaque année.

Donc, je le répète, pourquoi le sacrifice propitiatoire de Jésus n'aurait-il pas lieu ? Rien ne l'empèche n'est ce pas ? Il sert d'agneau sacrificiel à la place d'un vrai agneau. Souviens toi que l'agneau sacrificiel devait être sans défaut. C'est pour celà que nul autre que Jésus ne pouvait servir d'agneau sacrificiel, car seul lui était sans défaut. La Loi est respectée jusqu'au bout ! La différence, c'est que le sacrifice de Jésus est perpétuel, contrairement aux sacrifices d'animaux qui devaient continuellement être renouvellés.

Si jésus était seul à être sans défaut, on n'aurait pas sacrifié 2 colombes à sa naissance!

je vous répète que Dieu a accepté le sacrifice rituel, pour nourir notre corps charnel, mais il n'aime pas particulièrement le sang des moutons ni leur souffrance
comme l'explique la Bible
Par contre il a une totale abomination des sacrifices d'être humains,
qui ne sont que l'oeuvre du Tentateur!
autre enseignement de la Bible !

l'homme est beaucoup plus passible de la géhenne pour ces péchés volontaires, à côtés les péchés involontaires ne sont rien!

vous avez faux sur toute la ligne!

MonstreLePuissant

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Ecrit le 09 janv.08, 03:07

Message par MonstreLePuissant »

Bonté d'Allah a écrit :Monstre entre le sacrifice d'animaux et de celui de Jésus (psl)il y a une large différence non!!!
tu en fait la comparaison pour justifier votre pensée du peché originel, que Jésus (psl) a rachette toutes vos fautes en se sacrifiant) c un mensonge biblique encore une fois.
Une erreur biblique, ok.
Ce n'est pas parce que le Coran réécrit l'histoire que je vais y croire. Les juifs ne sont pas complètement idiots non plus. Depuis la Loi, il a été instauré les sacrifices expiatoires pour le péché. Même si tu ne crois pas au péché originel (prouve donc qu'Adam n'a jamais péché), il n'en demeure pas moins que ces sacrifices sont inscrits dans la Loi. Donc, c'est qu'ils servaient à quelque chose.

A partir de là, qu'y a t-il d'étonnant à ce que Jésus serve de sacrifice propitiatoire pour les péches de tous, sachant que la fin du sacrifice perpétuel (le sacrifice d'animaux renouvellé d'année en année) devait disparaître, ce qu'avait prophétisé le prophète Daniel ?

(Exode 39:28-42) Voici ce que tu offriras sur l’autel: deux agneaux d’un an, chaque jour, à perpétuité. 39 Tu offriras l’un des agneaux le matin, et l’autre agneau entre les deux soirs.
40 Tu offriras, avec le premier agneau, un dixième d’épha de fleur de farine pétrie dans un quart de hin d’huile d’olives concassées, et une libation d’un quart de hin de vin.
41 Tu offriras le second agneau entre les deux soirs, avec une offrande et une libation semblables à celles du matin; c’est un sacrifice consumé par le feu, d’une agréable odeur à l’Eternel.
42 Voilà l’holocauste perpétuel qui sera offert par vos descendants, à l’entrée de la tente d’assignation, devant l’Eternel: c’est là que je me rencontrerai avec vous, et que je te parlerai.


Cette ordonnance est rappelé en Ezéchiel 6:13.

(Daniel 11:31) Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l’abomination du dévastateur.

(Daniel 12:11) Depuis le temps où cessera le sacrifice perpétuel, et où sera dressée l’abomination du dévastateur, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours.


Le sacrifice perpétuel cessa en 70 de notre ère, avec la destruction du temple de Jérusalem par les armées romaines (le dévastateur).

Puisque le sacrifice perpétuel a cessé, il y a deux solutions. Où les hommes ne sont plus pécheurs (apparemment non !), ou un autre sacrifice l'a remplacé. La réponse devrait te paraître évidente.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix

Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

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Ecrit le 09 janv.08, 03:14

Message par MonstreLePuissant »

Abdel_du_Un a écrit :Si jésus était seul à être sans défaut, on n'aurait pas sacrifié 2 colombes à sa naissance!
Les colombes étaient pour Marie, pas pour Jésus.
Abdel_du_Un a écrit :je vous répète que Dieu a accepté le sacrifice rituel, pour nourir notre corps charnel, mais il n'aime pas particulièrement le sang des moutons ni leur souffrance
comme l'explique la Bible
Dieu a instauré lui même le sacrifice perpétuel. Il savait ce qu'il faisait.
Abdel_du_Un a écrit :Par contre il a une totale abomination des sacrifices d'être humains, qui ne sont que l'oeuvre du Tentateur!
Exact !
Abdel_du_Un a écrit :l'homme est beaucoup plus passible de la géhenne pour ces péchés volontaires, à côtés les péchés involontaires ne sont rien!
Volontaire ou pas, il y a péché n'est ce pas ? C'est pour couvrir tous les péchés que Jésus est venu et s'est donné en sacrifice.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix

Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix

Abdel_du_Un

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Ecrit le 09 janv.08, 03:18

Message par Abdel_du_Un »

MonstreLePuissant a écrit : Les colombes étaient pour Marie, pas pour Jésus.
Dieu a instauré lui même le sacrifice perpétuel. Il savait ce qu'il faisait.
Exact !
Volontaire ou pas, il y a péché n'est ce pas ? C'est pour couvrir tous les péchés que Jésus est venu et s'est donné en sacrifice.
Si vous accepter les sentences de Paul:vous sauriez qu'"aucun sacrifice n'efface le péchés volontaires"

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