jack.2b a écrit :
concernant tes arguments tu dit :
Un exemple de contradiction, concernant la même histoire racontée en deux endroits: Salomon (p) avait-il 4000 écuries ou 40 000 écuries? Dieu n’a pas pu inspirer les deux chiffres (2 Chroniques 9:25 contre 1 Rois 4:26). L’un des 2 chiffres est faux.
tu dit en gros il n'y a la diference que d'un 0 en effet entre 40 000 et 4000 il n'y a qu' un zéro de difference.
ce que tu sais pas c'est que nos cousins les juifs ne connaissaient pas le zéro quand ils écrivirent le livre. Ils ne le connaissaient pas. Ce sont leurs frères arabes qui l'ont appris de leurs pères en Inde et qui l'ont partagé avec le monde entier. Le zéro, les juifs ne le connaissaient pas. Ils l'ont écrit en mot: quatre: q-u-a-t-r-e en hébreu et quarante: q-u-a-r-a-n-t-e
Qui a fait la faute ? Dieu ou l'auteur ? On dit qu'il n'était pas à l'abri des fautes. Madame Elen G. White, (tu connais peut etre), c'est une cultiste, la prophéteuse du mouvement adventiste du 7ème jour dit, dans son commentaire de la Bible, qu'elle n'a pas de raison de mentir. Elle croit que la Bible est la parole inspirée de Dieu. Et pourtant elle dit que "La Bible que nous lisons aujourd'hui est le travail de nombreux copistes qui, dans la plupart des cas, ont accompli leur tâche avec une exactitude admirable. Mais les copistes n'ont pas été infaillibles, et Dieu très évidememment n'a pas jugé bon de les préserver totalement de l'erreur de transcription .
Autrement dit, ceci est l'affaire de Dieu. S'il le juge bon, s'il veut faire quelque chose, il le fait, s'il ne le veut pas, il dit : "Allez au diable ! C'est votre affaire . Donc Dieu n'a pas jugé bon de les préserver des erreurs de transcription. Dans les pages suivantes de son commentaire, Mme White assure plus loin : "Je vis que Dieu avait spécialement protégé la Bible.
Dieu avait spécialement gardé la Bible. Je me demande de quoi? (ps: les phrase que j'ai mit sont des propos de savants serait tu plus savant que les savant pour nous dire que la bible est bien la paroles de Dieu?)
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D'où vient le zéro ?
Comment figurer "quelque chose" là où il n'y a "rien" ? La trouvaille du zéro est à la base de toutes nos avancées technologiques...
La plus formidable découverte mathématique a sans conteste été celle du zéro. Celle du zéro-absence d'abord puis, beaucoup plus tard, du zéro-nombre, base de notre numération moderne.
Il est difficile aujourd'hui d'imaginer le temps et la réflexion nécessaires pour sauter du nombre « 1 », premier de tous les nombres, au zéro. Un saut qualitatif incroyable, car il a fallu également beaucoup de temps pour simplement considérer le 1 comme un nombre ! Pour le mathématicien grec Euclide, ce n'en était pas un : le nombre n'existait que lorsqu'il commençait à compter des objets. Alors de là à imaginer le zéro...
Trois peuples seulement, les Babyloniens, les Mayas et les Indiens, sont parvenus à cette ultime abstraction. Mais ni le zéro babylonien, ni celui des Mayas ne furent conçus comme des nombres.
D'ailleurs, les mathématiciens et astronomes babyloniens ont ignoré le zéro pendant plus de 15 siècles dans leurs calculs. Une lacune qui les a considérablement gêné. Quand on applique le principe de position, il arrive un moment où il est nécessaire de disposer d'un signe graphique spécial pour représenter les unités manquantes.
Prenons l'exemple du nombre 10. En utilisant notre numération décimale de position actuelle, on doit placer le chiffre 1 en deuxième position pour qu'il signifie une dizaine. Mais alors comment signifier que ce 1 est en deuxième position si l'on n'a rien à mettre au premier rang ? Il faut poser 1 et... rien. De même pour 702, il faut mettre un 2 en première position, un 7 en troisième et rien entre les deux.
On finira donc par prendre conscience qu'on doit figurer ce rien par « quelque chose » si on ne veut pas s'embrouiller dans les représentations chiffrées. Ce "quelque chose" qui ne veut "rien" dire, ou plutôt ce signe graphique servant à marquer l'absence des unités d'un certain ordre, ce sera finalement le zéro.
C'est vers la fin du IVe siècle av. J.-C. que les Babyloniens ont utilisé un véritable zéro pour signifier cette absence. La découverte du zéro-absence a été capitale pour que le système de position fonctionne sans équivoque.
Mais ce signe n'a jamais été conçu par les savants babyloniens dans le sens de « nombre zéro ». « Ce dernier serait apparu, explique-t-il, qu'à force d'utiliser le zéro comme absence. » Et ce sont les Indiens qui en découvrent finalement la vocation. Vraisemblablement vers le milieu du Ve siècle de notre ère.
Les astronomes indiens, qui mettent au point le système décimal de position, arrivent à la même impasse que les Babyloniens lorsque vient le temps d'indiquer une décimale manquante dans un nombre. S'il était aisé d'écrire 923, il l'était moins d'imaginer 901. Les Indiens contournent donc l'obstacle en faisant appel au mot sanskrit shûnya, signifiant « vide » et, par extension, « zéro ».
Puis, les savants indiens franchissent la dernière étape : parfaire le concept du zéro et l'enrichir de sa signification numérique actuelle. Rapidement, le concept devient le synonyme de ce que l'on appelle aujourd'hui le « nombre zéro » ou la « quantité nulle ». Et c'est alors que le shûnya est rangé dans la catégorie des Samkhyâ, c'est-à-dire celle des « nombres ». En 628 de notre ère, Brahmagupta définira le zéro comme le résultat de la soustraction d'un nombre par lui-même et décrira ses propriétés ainsi : « Lorsque le zéro est ajouté à un nombre ou soustrait d'un nombre, celui-ci demeure inchangé ; et un nombre multiplié par zéro devient zéro. »
Notre zéro était né.
Pas si arabe que ça le 0
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