kgtgo a écrit :Jean Moulin, votre phrase ne fait que souligner l'importance de l'Immaculée Conception, car le sang d'une mère coule dans les veines de son Fils !
Vous professez une ineptie . Revoir les posts qui vous démontre scientifiquement que le sang d'une mère ne coule pas dans les veine de son enfant( même en gestation). L'enfant possède en partie l'a.d.n. de celle-ci .Les deux entités sont séparées ayant chacun son système sanguin, non commun en quoi que ce soit .
Pour preuve : la mère a l'ovulation, produit une hormone permettant de ne pas rejeter l'embryon que son système immunitaire considère dès la migration , comme un corps étranger et qu'elle risque de rejeter .( prenez des cours de biologie s.v.p. )
Ors on sait que Jacques était le frère de Jean... tous deux Fils de Zébédée et d'une autre Marie (de Clopas) , peut-être une sœur de la Très Sainte Vierge Marie, (qui se trouvait au pied de la croix) ! Jacques n'est donc pas le "frère" biologique du Christ ! Et si pourtant ce terme lui est attribué alors le mot "frère" ne se limite pas aux frères biologiques !
C'est la théorie officièle du Vatican pour ne pas mettre en danger son dogme qui fait que Marie a une soeur qui s'appelle ...Marie! S'est commode , mais farfelu et d'un ridicule sans nom . Voici la réalité des ecritures :
Il y en a au moins 3
Fils de Zébédée ; frère de Jean et un des 12 apôtres de Jésus Christ (Mt 10:2).
Il semble que sa mère était Salomé, comme l’indique la comparaison de deux récits du même événement. L’un fait mention de “ la mère des fils de Zébédée ” et l’autre l’appelle “ Salomé ”. (Mt 27:55, 56 ; Mc 15:40, 41 )
Une autre référence, Jean 19:25, paraît indiquer que Salomé était la sœur de Marie, mère de Jésus. Si c’est le cas, Jacques était cousin germain de Jésus.
Jacques est toujours mentionné avec son frère Jean, et dans la plupart des cas il est cité le premier ; cela peut laisser entendre qu’il était l’aîné. — Mt 4:21 ; 10:2 ; 17:1 ; Mc 1:19, 29 ; 3:17 ; 5:37 ; 9:2 ; 10:35, 41 ; 13:3 ; 14:33 ; Lc 5:10 ; 6:14 ; 8:51 ; 9:28, 54 ; Ac 1:13.
Jacques mourut sans doute en 44. Hérode Agrippa Ier le fit exécuter par l’épée. Ce fut le premier des 12 apôtres à mourir en martyr. — Ac 12:1-3.
Autre apôtre de Jésus Christ et fils d’Alphée (Mt 10:2, 3 ; Mc 3:18 ; Lc 6:15 ; Ac 1:13). De l’avis général, et cela est fort probable, Alphée et Clopas étaient une seule et même personne ; dans ce cas, la mère de Jacques était Marie, la même que celle qui était “ mère de Jacques le Petit et de Joses ”. (Jn 19:25 ; Mc 15:40 ; Mt 27:56.) Si on l’appelait Jacques le Petit, c’était peut-être soit à cause de sa petite taille, soit parce qu’il était plus jeune que l’autre apôtre Jacques, le fils de Zébédée.
Fils de Joseph et de Marie, et demi-frère de Jésus(Mc 6:3 ; Ga 1:19).
Quoiqu’il ne fût pas apôtre, c’est sans doute ce Jacque était surveillant dans la congrégation chrétienne de Jérusalem (Ac 12:17) et qui rédigea le livre biblique qui porte son nom (Jc 1:1). Il était peut-être le plus âgé après Jésus, car il est le premier nommé des quatre autres fils nés normalement à Marie : Jacques, Joseph, Simon et Judas -Mt 13:55 . Dans sa lettre aux Corinthiens, qu’il écrivit vers l’an 55 de n. è., Paul laisse entendre que Jacques était marié. — 1Co 9:5.
il n’était pas du nombre des disciples du Christ (Mt 12:46-50 ; Jn 7:5)..
Toutefois, après la mort de Jésus et avant la Pentecôte 33, Jacques était présent pour prier aux côtés de sa mère, de ses frères et des apôtres dans une chambre haute à Jérusalem (Ac 1:13, 14).
C’est à ce Jacques-là que Jésus ressuscité apparut personnellement, selon 1 Corinthiens 15:7, ce qui le convainquit, lui qui jusqu’alors n’avait pas cru, que Jésus était vraiment le Messie.
Par la suite, Jacques devint un membre éminent et, semble-t-il, un “ apôtre ” de la congrégation de Jérusalem . Ainsi, lorsque Paul rendit pour la première fois visite aux frères de Jérusalem (vers 36 de n. è.), il dit qu’il resta 15 jours auprès de Pierre, mais qu’il ne vit “ aucun autre des apôtres, seulement Jacques le frère du Seigneur ”. (Ga 1:18, 19.) Après avoir été miraculeusement libéré de prison, Pierre souligna le rôle important de Jacques lorsqu’il fit cette recommandation aux frères réunis chez Jean Marc : “ Annoncez ces choses à Jacques et aux frères. ” (Ac 12:12, 17). Vers 49 de n. è., la question de la circoncision fut soumise aux ‘ apôtres et aux anciens ’ de Jérusalem. Après que Pierre, Barnabas et Paul eurent témoigné individuellement, Jacques prit la parole et proposa une décision, qui fut approuvée et adoptée par l’assemblée (Ac 15:6-29 ; voir aussi Ac 16:4).
Le début de la lettre de Jacques semble indiquer qu’elle fut écrite par ce ‘ frère de Jésus ’ et non par un des apôtres du même nom (soit le fils de Zébédée, soit le fils d’Alphée). En effet, l’écrivain se présente comme un “ esclave de Dieu et du Seigneur Jésus Christ ” plutôt que comme un apôtre. De la même façon, son frère Judas (Jude) se présenta comme “ esclave de Jésus Christ, mais frère de Jacques ”. (Jc 1:1 ; Jude 1.) Tous deux évitèrent humblement de préciser qu’ils étaient les frères du Seigneur Jésus Christ.
Son surnom de “ Jacques le Juste ” vient de la tradition selon laquelle il fut appelé ainsi en raison de son mode de vie.
L’historien Josèphe, dit qu’Anan (Ananias), le grand prêtre, dans l’intervalle entre la mort du gouverneur Festus, vers 62 de n. è., et l’arrivée de son successeur
Albinus, “ réunit un sanhédrin, traduisit devant lui Jacques, frère de Jésus appelé le Christ, et certains autres, en les accusant d’avoir transgressé la loi, et il les fit lapider ”. — Antiquités judaïques, XX, 200 (IX, 1).