Quand les Israelites sont entrés en egypte du nord l'egypte du nord etait occupée par des semites les hyksos que les egyptiens appelent les asiates. Ils ont meme eu un roi dont le nom etait Yaacob!Tromken a écrit :Ha Nassi, tu t'avances peut-être un peu vite en terme de langue.
Je ne crois pas que l'on puisse être aussi affirmatif sur les origines sémantiques.
Fabre d'Olivet estime lui que l'hébreux s'origine dans l'égyptien :
« …je dirai, sans partialité aucune, que l'hébreu renfermé dans le Sépher
est le pur idiome des antiques Égyptiens. »
De plus, l'AT lui-même dit : « Moïse l'égyptien ». Quant aux nombreux parallélismes
avec la culture religieuse égyptienne, la chose saute aux yeux.
Ils ont influencé les egyptiens en introduisant la culture du blé =Qameh, et les chars de guerre antiques etc..
il n 'y avait pas de juifs à cette epoque c'est comme tu dis les français à l'epoque de vercingetorix !Maintenant, cela n'enlève en rien le fait de l'intervention divine auprès de Moïse et du peuple juif.
Le fondateur etait Esdras qui a changé l'alphabet et introduit de nouvelles lois.C'est pourquoi, à la question :
« Qui peut être considéré comme étant le fondateur ou du moins le personnage clef qui a permis la naissance du judaïsme ? »
Comme attaturc a fait avec les turques il a changé l'alphabet arabe et l'a remplacé par le latin et a introduit de nouvelles lois : la laicité à la française!
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Mustafa Kemal, qui avait appris le français et l'allemand, considérait aussi que la réorganisation de l'État turc devait nécessairement passer par un changement linguistique radical. L'un des volets de la politique de modernisation porta le nom turc de Dil Devrimi, c'est-à-dire la «révolution linguistique». L'histoire compte peu d'exemples de ce genre où un gouvernement a entrepris des changements linguistiques d'une aussi grande envergure dans un délai aussi court et, il faut le reconnaître, avec autant de succès.
Afin de mettre en œuvre ses entreprises, Mustafa Kemal devait agir de façon autoritaire, au besoin par la violence. Le 8 août 1926, il se présenta devant l'Assemblée nationale pour expliquer les raisons qui l'avaient obligé à évincer ses adversaires:
Je suis la Turquie. Vouloir me détruire, c'est vouloir détruire la Turquie elle-même. [...] Le sang a coulé. C'était nécessaire. Une révolution qui n'est pas fondée sur le sang n'est jamais permanente. [...] Je conduirai mon peuple par la main jusqu'à ce que ses pas soient assurés et qu'il connaisse la route. À ce moment, il pourra se gouverner lui-même. Alors, mon œuvre sera accomplie et je pourrai me retirer. Mais pas avant! [Cité par Jacques Benoist-Méchin).
http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/asie/turq ... on_lng.htm