Coté médecine, las arabes ont surtout profité du travail des assyriens qu'ils ont submergés puis pillés
submergé puis pillé, ou assimilés ?
d'un point de vue archéologique, rien ne permet d'affirmer qu'il y a eu une guerre. Ca parait même très improbable étant donné que l'empire assyrien disparait en -612 avec la chute de Ninive, et c'était pas des musulmans, mais des babyloniens et des mèdes...
évitez de dire n'importe quoi d'un ton docte...
pour ce qui est du fait que les arabes n'ont rien inventé de toute pièce, ça coule pourtant de source ; la quasi-intégralité des travaux de lépoques relèvent de la synthèse et de la redécouverte de travaux anciens ( et c'est tout aussi valable pour les Grecs ).
Leur grand mérite est d'avoir conservé des siècles durant, et d'avoir collecté et traduit le savoir de peuples anciens.
Ben je crois que c'est en fait des chiffres indiens
non, ce sont bien des chiffres arabes.
les chiffres indiens ont une graphie quelque peu différente, ce sont ceux utilisés par les arabes.
Par contre les grecs, européens ont bien enfanté Euclide, Thalès de Millet, Pythagore, Hippocrate en un temps où les (futurs) musulmans se contentaient de bien moindres connaissances....
oui, ils ont enfantés les mathématiciens grecs, qui ont fait de longs séjours en Egypte où les théorèmes dits de Pythagore et de Thalès étaient déjà utilisés, de même que les formules de calculs d'aire et de volume.
c'est une vanité bien occidentale de croire que les arabes n'ont fait que copier alors que les grecs ont inventé ; les grecs déjà s'inspiraient grandement du savoir du clergé Egyptien...
En fait on nous parle toujours de quatre ou cinq phénoménes toujours les mêmes.
Par exemple Averroès , qui fut un brillant commentateur d'Aristote et fut en butte aux persécutions islamiques, et dont les héritiers sont à chercher dans le moyen age chrétien.
pourquoi toujours Averroès ? pourquoi pas Al Khashi pour une fois ?
Pythagore généralisé, ça ne te dis rien ?
ça, c'est une invention d'un musulman.
ne soyez donc pas si condescendants et affirmatif ; les savants grecs qui ont marqué le temps ne sont pas beaucoup plus nombreux que les savants arabes ou indous.
Coté littérature pas grand chose à part le coran.
tu dis ça parceque tes connaissances en la matière sont proches de zéro.
quand on ne connais pas la littérature associée à une culture, on n'affirme pas qu'elle est négligeable ; renseignes-toi donc sur la poésie arabe par exemple.
Quant à Srebreniça, au Kosovo les musulmans ont allègrement rattrapé les horreurs d'alors.
non, des horreurs ne se "rattrappent" pas ; les gosses tués dans le nettoyage ethnique n'avaient tués personne.
Nous pouvons, par contre
sous entendu, il y a des massacres auquels on peut penser, d'autre pas ?
c'est bien au delà des limites, ce genre de discour.
Oh que tout ceci ressemble à de l'Islamophobie
pas seulement de l'islamophobie ; aussi de l'arabophobie, car je ne suis pas sûr qu'on puisse parler de "culture musulmane" concernant le fait qui subit le négationnisme sauvage de Canasova.
Mais grace au ciel les universités de Bologne et Paris, puis tant d'autres n'ont pas connu les douceurs de la charia, et finalement la science européenne a progressé de façon irrésistible.
après que les sciences aient échappé progressivement au controle religieux...
avant cela, c'était Copernic, Gallilée...pas la charia, mais pas mieux.
Et ça a été long et fastidieux ; depuis combien de temps peut-on publier un ouvrage exposant des vues opposées à celles du catholicisme ? deux siècles et demi ?
il faudrait voir à ne pas fixer les défauts du voisin en oubliant les siens.
Casanova, tu nous cites des exemples d'extrémisme.
ok, on est tous d'accord pour dire qu'il existe, mais il ne qualifie pas à lui seul l'Islam.
Sinon, à ce tarif là - et puisque tu es d'accord pour laisser de coté cette stupide comptabilité des morts - on pourrait parler d'inquisition, d'intégristes activistes chrétiens, ou de moines bouddhistes guerriers, au diable l'avarice !
toutes les religions ont leurs dérives, plus ou moins sanguinaires, et elles doivent être traitées comme telles.
On attaque pas une religion pour ses dérives, si nombreuses soient-elles ; on les limite par exemple par un réformisme.
En terme de peuple, la religion est un commerce ; elle doit se vendre, elle doit séduire. Quand une branche est malade, et qu'on ne peut la couper, on l'affame en favorisant ses conccurentes pour qu'elle se déssèche et tombe d'elle même.
tant que l'intégrisme sera "tendance" et n'aura pas de conccurence musulmane active, il ne cessera de croitre.