pourquoi le coran avant tout?

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Mickael_Keul

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Ecrit le 18 juil.05, 00:32

Message par Mickael_Keul »

c'est déjà ce qu'on a dit depuis longtemps - Si le coran était tombé du ciel ou était apparu a Mahomet tout fait - on pourrait (à la rigueur) considéré que le coran est incréé - MAIS, car il y a un MAIS et de taille Mohamed n'a jamais eu (en dehors du "mira'j) de contact direct avec "Allah" mais avec Gabriel - ce qu'il aurait reçu a été transmit oralement à ses fidèles qui l'ont soit retenu par coeur soit transcrit sur divers supports dont certains périssables - 50 ans apres Uthman en fait une compilation d'ou il commence par éjecter tout ce qui n'est pas en arabe Il y a eu ensuite sous le règne du calife 'Abd al-Malik une réforme orthographique : la langue arabe des origines, non adaptée à l'écrit, était jusqu'alors écrite sans aucune marque diacritique (points, accents, cédilles), autrement dit sans aucune indication de voyelles, ce qui entraînait naturellement à la lecture de nombreuses confusions entre plusieurs significations possibles (fâcheux pour un texte religieux aussi dogmatique). Les querelles concernant l'authenticité du texte ont été très vives dans le monde islamique jusqu'au Xème siècle ; depuis lors, il n'est guère recommandé de mettre en doute cette authenticité...

On peut y ajouter le "coran d'Ali " qui n'est pas, comme on le dit faussement ci-dessus, identique a celui d'Uthman

Nous dénombrerons ici les noms des sept livres importants et notables qui furent écrits par les savants originels d'Islam, à propos des différences entre Corans :

1- Le livre de la différence des livres (les corans des habitants de la Médine, de Koufféh et de Bassora )écrit par Kassâeï

2- Le livre de la différence des livres (les Corans), oeuvre de Khalaf

3- Le livre de la différence des habitants de Koufféh, de Bassora, et de Damas en matière des livres, écrit par Farrâ.

4- Le livre de la différence de Mossahéf (les corans) d'Ibn Davoud Sédjestani

5- Le livre de Madaéni sur la différence des livres (les Corans ensemble) écrit par Madaéni

6- Le livre de la différence des livres (les Corans de) Damas, Hédjaz, l'Irak écrit par Ibn Amér Yahsébi

7-Le livre de Mossahéf (les Corans) oeuvre de Mohammad Ibn Abd al Rahaman Isphahanï.

Donc, l'on voit que les milliers de pages ont été écrites sur la différence des Corans de diverses villes et régions et en dénombrant quelques brefs exemples concis de la différence des corans d'Imam Ali et des secrétaires du prophète d'islam, nous verrons en quoi le Coran actuel - appelé désormais le Coran d'Othman- diffère des autres.

Le Coran d'Abd Allah Ibn Massoud

Fazl Ibn Châsan dit : l'ordre des sourates du coran de Mossahéf d'Abdo Allâh Ibn Massoud fut, dans un ordre différent de celui d'aujourd'hui : da Abi Lahab Va Ghad Tab Ma Aghnâ Maléhou Va Ma Cassab (Que les deux mains d'Abi Lahab périssent et qu'il périsse lui-même, ses richesses et ses oeuvres ne lui serviront à rien )-..." (Al Phéhreste d'Ibn Nadim-La liste d'Ibn Nadim).

Pour ne pas nous étaler, nous n'avons pas cité les noms de toutes les sourates, mais l'on trouve cinq problèmes dans le coran d'Abd al Rahaman Ibn Massoud :

1 - Le nombre et l'ordre des sourates diffèrent considérablement de ceux du Coran d'Othman, car dans le coran d'Ibn Massoud, il n' y a que cent dix sourates, telles que nous les avons dénombrées.

2 - Les noms de beaucoup de sourates sont plus longs que ceux du Coran d'Othman.

3 - Il y a deux sourates nommées "Sadjdéh" (prosternation).

4 - Il y avait quelques sourates supplémentaires, comme " Havâmime " ou " Mossabahât " dans le coran d'Ibn Massoud, et qu'on ne trouve pas ailleurs.

5 - Certains versets du Coran d'Ibn Massoud diffèrent de ceux du Coran d'Othman, surtout par la sourate Va al Assre dont l'on ignore le contenu dans le coran d'Othman. Il en est ainsi dans le coran d'Ibn Massoud :

"J'en jure par l'heure de l'après-midi, l'homme travaille à sa perte. Tu en excepteras ceux qui croient et pratiquent les bonnes oeuvres, qui recommandent aux autres la vérité et la patience !"

Le Coran d'Abi Ibn Kab

Fazl Ibn Ghasan dit : L'un de nos proches en qui l'on a confiance disait : j'ai trouvé l'ordre des sourates du Coran tel que celui d'Abi Ibn Kab, à Bassora, dans un village qui s'appelait Ghariat al Ansar à douze kilomètres de Bassora, chez Mohammad Ibn Maléké Ansari, qui nous a montré un Coran et dit : ce Coran appartient à mon père et nous le tenons de nos ancêtres. J'y ai jeté un coup d'oeil et en ai extrait les débuts et les fins des sourates ainsi que le nombre de leurs versets. Au début il y avait : Fatéhat al Kétab (l'ouverture du livre)-Bagharéh (la vache)- Néssâ (les femmes)- Allé Omran (la famille Omran) -Anâm (les bienfaits) -Eerâf (le purgatoire)- Maédéh (la table) - je doute qu'il ait eu la sourate (Younesse-Jonas)- Anfâl (les surestimations) -... Davoud (David) ... Tahâr (les propres) ...Insân (l'homme)... Nabi Aliéh al Salam (le missionnaire auquel salut)...Hai Ahl al Kétab les gens du livre) - Lam Yacon Aval Makan ... trois versets...B al Kofar Molhagh et ainsi de suite...Tous les versets furent au nombre de six mille deux cent dix. ( Al Féhreste -La liste d'Ibn Nadime Page 46).

Enfin, l'ensemble des sourates du Coran de Ben Kab n'atteignait pas les cent seize et un bon nombre de sourates de ce Coran n'existent pas du tout dans le Coran d'Othman. Comme les sourates Davoud (David), Tahâr (les propres), Nabi Aliéh al Salâm...


Malgré les précautions considérables prises pour éviter que des variantes de lecture n'affectent le texte du Coran, on peut relever un certain nombre de ces variantes. Al Baidawi en signale quelques-unes dans son commentaire sur les passages suivants : Sourates 3.100 ; 6.91 ; 19.35 ; 28.48 ; 33.6, etc. Cette dernière référence, tirée de la Sourate des Coalisés (AI-Ahzâb) de 5-7 de l'Hégire, est également soulignée par Yusuf Ali. Le texte de Uthman lit :

" Pour les croyants le Prophète a priorité sur eux-mêmes; et ses épouses sont leurs mères. "

Mais nous possédons des témoignages que le texte d'Ubai b. Ka'b comportait :

" Pour les croyants le Prophète a priorité sur eux-mêmes ; et il est un père pour eux et ses épouses sont leurs mères. "(1)

Muhammad Hamidullah traite d'une manière détaillée du problème des variantes dans l'Introduction de sa traduction française du Coran(2). II les classe en quatre groupes :

1. Les variantes dues à une erreur de copie d'un scribe. Ces variantes sont facilement décelable par simple comparaison avec d'autres copies du Coran.

2. Les variantes dues aux notes explicatives marginales. Voici ce qu'écrit Hamidullah:

" Le style du Coran exigeait parfois que même les compagnons du Prophète lui demandent explications ; parfois ils notaient ces explications en marge de leurs copies personnelles pour ne pas les oublier, et il est tout à fait compréhensible que quelquefois les copistes confondirent le texte et le commentaire, en copiant fidèlement une copie à partir de l'ancienne. On connaît le célèbre ordre d'Omar, qui avait interdit formellement d'ajouter le commentaire aux copies du Coran.

Des " variantes " de ce genre il y en a par centaines ; mais le fait que " le Coran de tel maître" a telle addition que n'a pas celui des autres ne laisse pas de doute sur l'origine de cette addition. Les données sur ce genre de variantes chez les auteurs classiques se contredisent aussi parfois : les uns disent que le Coran d'un tel avait cette addition, mais les autres le nient."

3. Les variantes dues à la permission accordée par Muhammad de réciter le Coran en d'autres dialectes que ceux en usage par les habitants de La Mecque.

" Muhammad cherchait à rendre la religion chose facile, à portée des plus humbles. De là, il tolérait des variantes dialectales même pour le texte du Coran, car l'essentiel n'était pas le mot mais le sens ; pas la récitation, mais l'application et l'assimilation. II disait volontiers : Gabriel m'a permis jusqu'à sept lectures différentes du Coran. Tout en gardant pour lui et pour ses concitoyens une certaine façon de lire, il autorisait les membres de diverses tribus à remplacer certains mots par leurs équivalents mieux connus chez eux. Lorsque le dialecte mecquois eut le dessus dans la génération suivante, le calife Othman jugea utile d'ordonner que l'on renonçât dorénavant aux différences autorisées par le Prophète, car, dit Tabari, elles n'étaient pas obligatoires, mais seulement permises. A partir des copies confectionnées par les " provinciaux " et conservées chez leurs descendants, les savants des siècles postérieurs ont pu ramasser un certain nombre de mots, tout à fait équivalents des mots employés dans la vulgate officielle. "

4. Les variantes dues à l'absence, pendant les 150 ou 200 premières années de l'Hégire, des points-voyelles dans les copies manuscrites du Coran, et à l'absence de signes pour différencier la prononciation des lettres écrites de manière identique.

Essayons d'imaginer ce que représente une écriture sans voyelles.

Ecrivons l'expression " la voix porte ," en supprimant les voyelles. Il nous restera : " 1 vx prt " Avec de l'exercice, on finit par s'habituer à cette écriture et, dans un contexte donné, chacun restituera intuitivement les voyelles pour que le phrase ait un sens. Cependant en vocalisant différemment ces mêmes consonnes, on peut obtenir des expressions fort éloignées les unes des autres. Ainsi, dans une salle de conférence ou de concert, " I vx prt " signifiera " la voix porte ", dans un hospice ou une maison pour personnes âgées " I vx prt ", peut signifier" le vieux part " et pour un Marseillais " le vieux port ". On constate que dans la plupart des cas, le contexte ôte l'ambiguïté, mais il peut y avoir des exceptions où le doute subsiste quant à différents sens possibles.

Hassan ABBASI

Dauphin

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Ecrit le 18 juil.05, 02:23

Message par Dauphin »

Que mérite cette intervention ? Que l'on te réponde "PEUX TU M'ENVOYER LE CORAN SELON GABRIEL que l'on vérifie ? "

...

Car à l'évidence, aucun musulman ne peut donner la moindre preuve que le Coran actuel est le "bon".

Rappel: Coran> selon eux parole d'Allah, dictée par GABRIEL a leur prophète qui... ne l'écrivait pas mais l'apprenait selon eux par COEUR et ensuite le dictait a des scribes...

Le texte de cette lecture, dictée, re-dictée....N'EXISTE PAS.

Or justement, il a été montré tout récemment que selon les Hadiths le prophète Muhammad avait reconnu avoir oublié de temps à autres des sourates... que ses compagnons en oubliaient... donc leur mémoire était défaillante. Qui dit qu'ils en ont pas oublié lors de la mise par écrit ? Qui dit qu'il ont pas oublié des parties de sourates ou les ont mal retranscrites par défaut de mémoire ?

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Dauphin

Simplement moi

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Ecrit le 18 juil.05, 05:19

Message par Simplement moi »

Dauphin a écrit :
Or justement, il a été montré tout récemment que selon les Hadiths le prophète Muhammad avait reconnu avoir oublié de temps à autres des sourates... que ses compagnons en oubliaient... donc leur mémoire était défaillante. Qui dit qu'ils en ont pas oublié lors de la mise par écrit ? Qui dit qu'il ont pas oublié des parties de sourates ou les ont mal retranscrites par défaut de mémoire ?

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Dauphin
Donc... :D notre participant Mohamed... devrait "nous ENVOYER" ses "PREUVES" :wink:

moodyman

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Ecrit le 18 juil.05, 05:47

Message par moodyman »

Or justement, il a été montré tout récemment que selon les Hadiths le prophète Muhammad avait reconnu avoir oublié de temps à autres des sourates... que ses compagnons en oubliaient... donc leur mémoire était défaillante.


Ou ca ? J'ai du louper quelque chose
Ca m'interesse comme histoire...

Dauphin

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Ecrit le 19 juil.05, 19:45

Message par Dauphin »

Voici les hadiths qui t'intéressent, Moodyman :

Aisha rapporte: Le Prophète (pbAsl) entendit quelqu'un réciter le Coran dans la mosquée la nuit et dit. "Qu'Allah lui fasse miséricorde! Car il m'a rappelé tel et tel versets de telle et telles Sourates que j'avais oublié". Sahih Al-Bukhari Book 61, Number 556

Aisha a raporté que le Messager d'Allah(pbAsl) a entendu une personne réciter le Coran la nuit. Sur quoi il a dit. "Qu'Allah lui fasse miséricorde! Il m'a rappelé tel et tel versets que j'avais oubliés dans telle et telle sourates". Sahih Muslim Book 004, Number 1720 ou 1721

D'après Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui): Le Prophète (pbAsl) s'adressa à quelqu'un qui dit: "J'ai oublié tel et tel verset", en disant: "Comme tu as mal dit! Dis plutôt: "On me l'a fait oublier". Etudiez le Coran, car il s'échappe plus facilement de la mémoire des hommes qu'un chameau débridé. Sahih Muslim 1314

D'après 'Abû Mûsa (qu'Allah soit satisfait de lui): Le Prophète (pbAsl) a dit: "Lisez et relisez le Coran, car, j'en jure par Celui qui tient l'âme de Mohammed en Son pouvoir, il s'échappe plus facilement que le chameau débridé". Sahih Muslim 1317

D'après 'Abu Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui):L'Envoyé d'Allah (pbAsl) nous présida dans une des deux prières de l'après-midi - le zhuhr (de midi) ou le `asr (après-midi); (le transmetteur ne se rappelle point laquelle des deux fut désignée par 'Abû Hurayra or, l'une ou l'autre se composent de quatre rak`a). Le Prophète alors pria deux rak`a; fit le taslîm; puis alla s'appuyer à un tronc d'arbre proche de la Qibla de la mosquée, tout en étant courroucé. Parmi les fidèles se trouvaient 'Abû Bakr et `Umar qui n'osèrent adresser la parole au Prophète (à propos des deux rak`a manquantes). Les gens pressés s'apprêtèrent à quitter la mosquée en disant: "La prière a été raccourcie!". A ce moment, un homme d'entre les fidèles, surnommé "Dhû Al-Yadayn", s'adressa au Prophète en ces termes: "O Envoyé d'Allah! As-tu oublié quelque chose ou bien il vous a été prescrit de raccourcir la prière?". Le Prophète (pbAsl) regarda à droite et à gauche; puis, s'adressant aux fidèles, il dit: "De quoi parle Dhû Al-Yadayn? Les choses sont-elles comme il vient de dire?". - "Oui, répliqua-t-on, il a dit vrai: tu n'as fait que deux rak`a". Aussitôt le Prophète acheva ce qu'il avait omis de la prière, fit le taslîm, prononça le takbîr, se prosterna, releva la tête en prononçant le takbîr; puis se prosterna et releva enfin la tête en prononçant de nouveau le takbîr. Sahih Muslim 896

Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui) a dit:Le Prophète (pbAsl) fit sa prière - je ne sais au juste, dit 'Ibrahim (l'un des transmetteurs du hadith) s'il l'a prolongée ou écourtée (en accomplissant, par inadvertance, des rak`a en plus ou en moins). Quand il eut fait la salutation finale, on lui dit: "O Envoyé d'Allah, est-il survenu quelque chose au cours de cette prière?". - "Pourquoi cela?", demanda-t-il. - "Parce que, répliqua-t-on, vous avez prié de telle et telle façon". Le Prophète plia aussitôt ses genoux, se tourna du côté de la Qibla, fit deux prosternations, puis fit -de nouveau- le taslîm. Quand il se retourna vers nous il dit: "S'il était survenu quelque chose, au cours de la prière, je vous en aurais informé. Mais je suis un homme tout comme vous, je risque d'oublier comme vous oubliez. Quand j'oublierai de faire quelque chose, rappelez-moi. Quand l'un de vous doute au sujet de sa prière, qu'il cherche à se corriger autant que possible, qu'il l'achève, puis qu'il fasse deux prosternations".

Ainsi ces exemples de hadiths nous indiquent que contrairement à la prétention de certains musulmans, Mohammed était très loin d'avoir une mémoire parfaite. Mohammed oubliait des versets du Coran, et oublia même des rakas lors de sa prière.

Désormais considérons ce que l'Hadith enseigne au sujet de la mémoire des compagnons de Mohammed:

Abu Harb b. Abu al-Aswad a rapporté sous l'autorité de son père qu'Abu Musa al-Ash'ari venait pour les narrateurs de Bassora. Ils sont venus à lui et ils étaient trois cents en nombre. Ils récitaient le Coran et il a dit: Vous êtes le meilleur parmi les habitants de Bassora, parce que vous êtes les narrateurs parmi eux. Continuez-ainsi la récitation (mais) que votre récitation ne puissent pas durcir vos coeurs comme ont été durcis les coeurs de ceux avant vous. Nous avons récité une Sourate qui ressemblait dans la longueur et la sévérité à (la Sourate) Bar'at. Je l'ai oublié excepté ceci dont je me rappelle : "Si le fils d' Adam possédait deux vallées pleines de richesses, il aurait désiré acquérir une troisième., et rien ne remplirait l'estomac du fils d'Adam si ce n'est la poussière." Et nous avons fait la récitation d'une Sourate qui ressemblait à une des Sourates de Musabbihat, et je l'ai oublié, mais je m'en rappelle ceci: "Ô vous qui avez cru ! Pourquoi dites-vous ce que vous ne faites pas ?" (61:2) et "Et au cou de chaque homme, Nous avons attaché son oeuvre. Et au Jour de la Résurrection, Nous lui sortirons un écrit qu'il trouvera déroulé" (17:13). Sahih Muslim, Book 00 5, Number 2286

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