Quand on extrait un bout de texte de son contexte, on peut faire selon la méthode Bernard Henri Lévy, lui faire dire n'importe quoi.
C'est la sourate 111 qui pose problème pour le Coran actuel :

C'est le pire texte d'appel au meurtre dans les pires tortures possibles des êtres humains inconnus.
Mise en pratique de la sourate 111 en Arabie Saoudite en 2015 :
Le Coran, c'est le Coran... Et la lapidation est une tradition coranique :
Par contre, dans l'évangile selon Jean, chapitre 8, Jésus récuse la lapidation définitivement, y compris pour une femme adultère :
Honnêtement, excusez-moi, je préfère l'original de l'évangile à la version mahométane dans le Coran. Cela est vrai aussi pour tout le reste.
Dernier point historique, il n'existe aucun signe coranique dans la moindre église dans le monde. Par contre, les symboles et signes du judaïsme sont considérables, partout :
De plus, l'Injil dans le Coran est une notion sans aucun rapport avec l'évangile du Nouveau Testament. L'Injil du Coran est un Livre divin tombé sur Isa (isulte talmudique juive orthodoxe pour insulter Jésus de bâtard et interdite en occident au... 7e siècle, siècle qui voit naître justement le coranisme, c'est curieux, hein ?).
L'évangile dans le Nouveau Testament n'est pas un Livre sacré, du tout, ni que Jésus est un prophète annonçant la venu du premier prophète arabe contre la Bible pour restaurer la mémoire d'Abraham ayant construit la Kaaba... Hum, hum...
