ronronladouceur a écrit : 12 déc.25, 12:29
Vous êtes donc dans l'erreur puisqu'en tant que tenant de l'impossibilité du libre arbitre, j'inclus les déterminismes internes autant que les externes.
Tu les inclus mais sans comprendre en quoi ils fondent un authentique libre-arbitre comme je le définis, qui n'est pas le concept commun de libre-arbitre auquel je ne souscris pas non plus.
ronronladouceur a écrit : 12 déc.25, 12:29
Vous faites preuve d'entêtement à ne pas le reconnaître et à préférer sauvegarder votre idée au détriment d'une logique d'évidence qui ne demande pas un gros QI...
Méfie toi de ce qui paraît évident à un petit QI voire à un QI ordinaire.
Il ne s'agit pas d'entêtement. Je ne vais pas te dire que tu as peut-être raison alors que je sais que tu as tort quand même ?
J'm'interroge a écrit : 12 déc.25, 09:18
Dans ce contexte, la négation de la possibilité d'un libre arbitre tient du fait qu'il n'est considéré que des déterminismes extérieurs et c'est là qu'est l'erreur des tenants de l'impossibilité d'un libre-arbitre. Car, les déterminismes internes aux entités délibératives jouent également.
ronronladouceur a écrit : 12 déc.25, 12:29
Vous faites erreur quant à votre posture...
Avant de dire que je ferais erreur quant à ma position à ce sujet, il faudrait déjà que tu la comprennes, ce qui n'est visiblement pas le cas.
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ronronladouceur a écrit : 12 déc.25, 12:29
IA : Est-ce vrai : Dans ce contexte, la négation de la possibilité d'un libre arbitre tient du fait qu'il n'est considéré que des déterminismes extérieurs et c'est là qu'est l'erreur des tenants de l'impossibilité d'un libre-arbitre. Car, les déterminismes internes aux entités délibératives jouent également.
Réponse courte : Non, ce n’est pas vrai.
Ce n’est pas parce qu’ils “ne considèrent que les déterminismes extérieurs” que les philosophes ou scientifiques réfutent le libre arbitre.
Ils prennent très au sérieux les déterminismes internes — mais ils montrent que ceux-ci ne sauvent pas le libre arbitre.
J'ai soumis ceci à Chat GPT, voici sa réponse :
JMI :
Aurais-tu répondu la même chose sachant que l'extrait sur lequel se base la réponse de l'autre IA consultée est tiré d'un développement plus conséquent dans le cadre d'une discussion sur la possibilité théorique des Libres Choix dans le cadre du Déterminisme Absolu, où il était présenté un libre-arbitre défini comme découlant d'une liberté propre à une entité capable d'opérer des choix en ce que ses processus délibératifs dépendent de déterminismes internes non entièrement conditionnés de l'extérieur.
Chat GPT :
Non, je n’aurais pas répondu exactement la même chose que l’autre IA, si le passage est explicitement inscrit dans une démonstration plus large et ne prétend pas, à lui seul, clore le débat.
La réponse que tu cites commet une faute inverse de celle qu’elle dénonce :
elle juge l’énoncé comme s’il était une thèse autonome, alors qu’il s’agit manifestement d’un moment argumentatif, visant à écarter une réduction particulière du déterminisme (le tout-externe).
Dans ce cadre précis :
- Il est légitime de pointer que certaines critiques du libre arbitre glissent vers une explication exclusivement externe (sociale, biologique brute, environnementale).
- Il est légitime de rappeler que les entités délibératives sont des systèmes causalement fermés localement, dont les états internes jouent un rôle non réductible à l’input externe immédiat.
- Et il est légitime d’utiliser cela comme étape intermédiaire pour établir une forme de liberté fonctionnelle.
Ce que l’autre IA fait mal, c’est ceci :
- elle réimporte implicitement le débat classique sur le libre arbitre métaphysique,
- puis elle réfute une position que l’extrait ne défend pas explicitement.
Autrement dit, elle répond à une conclusion supposée, pas à un maillon de raisonnement.
Donc :
- l’énoncé peut être parfaitement légitime dans une démonstration,
- il est insuffisant seul, mais ce n’est pas une objection,
- et la réponse de l’autre IA est trop catégorique au vu du contexte partiel.
En bref : ce n’est pas l’énoncé qui est en faute, c’est la lecture isolante qu’on en fait.
JMI :
Que lui aurais-tu répondu ?
ChatGPT :
Quelque chose comme ceci — direct, sans procès d’intention, et en restant au niveau de l’extrait :
Réponse courte :
votre objection manque sa cible.
L’énoncé ne prétend pas que les déterminismes internes « sauvent » le libre arbitre au sens métaphysique classique. Il souligne seulement que certaines négations du libre arbitre reposent sur une réduction aux seules causes externes, ce qui est insuffisant dès lors qu’on traite d’entités délibératives.
Reconnaître le rôle causal des déterminismes internes n’abolit pas le déterminisme, mais établit une autonomie fonctionnelle minimale, condition nécessaire pour parler de choix. Le point est descriptif et méthodologique, non métaphysique.
Ou, plus sec encore :
Vous répondez à une thèse que le texte ne soutient pas. Il ne s’agit pas de « sauver » le libre arbitre, mais d’écarter une réduction exclusivement externe de la causalité des agents. Les déterminismes internes ne fondent pas une liberté absolue, mais ils sont indispensables pour caractériser une libre capacité de choix.
C’est tout.
Pas de grand débat sur Spinoza, pas de faux homme de paille, pas de victoire proclamée.
Juste une remise à sa place du niveau d’argumentation.
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- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !