La laicité et le Droit

Principe de séparation de l'État à l'égard de la religion et des confessions religieuses.
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Par extension, laïcité et sécularisme désignent également le caractère des institutions, publiques ou privées, qui sont indépendantes du clergé. La laïcité s'oppose à la reconnaissance d'une religion d'État. Toutefois, le principe de séparation entre l'État et les religions peut trouver des applications différentes selon les pays.
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Nickie

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La laicité et le Droit

Ecrit le 11 mars04, 10:22

Message par Nickie »

Bernier.



Le mythe de l'objectivité de la justice et du droit


Dans le même ordre d'idées, on a pu longtemps croire que les systèmes de justice (aux moins eux), ainsi que la constitution d'un pays, ses chartes et ses institutions incarneraient la Justice sur la terre. Cette perception était enfantine. Sans renier la qualité de vie, notamment au Canada, quiconque a suivi l'évolution de la législation et du droit en Occident, du moins si les médias ne nous ont pas menti, ne peut que faire ce constat à l'effet que la justice suit elle-même la règle de l'offre et de la demande et la pression des lobbies. D'abord il y eu la religion d'État. Ensuite il y eu la laicité militante d'État.

Un article de presse a attiré notre attention durant l'année 2000. La sociét évoluait et le droit et la justice ave elle, disait en essence une juge, comme pour nous rassurer devant les débats de l'heure (légalisation des drogues, droit relié aux bitechnoligies, et autres).

Il est rassurant en effet de voir qu'on laisse une porte ouverte pour la mise à jour du droit et son amélioration. Mais on ne saurait prendre cette maxime du droit évoluant, uniquement dans son sens positif. Son application dans les faits a de quoi faire réfléchir; particulièrement dans une société hédoniste et très mtérialiste et par conséquent LMafia friendly au sens de sensible au pouvoirs occultes de l'argent. Car ce que l'affirmation du juge signifie aussi, c'est que la société change et avec elle la perception de ce qui est bien et mal, de ce qui est juste et équitable.

À quel moment le fait d'exprimer un désaccord d'opinion à l'encontre d'un groupe par exemple, constitue-t-il un propos haineux? Qu'arriverait-il si une majorité ne voyaient en 2025 pas de mal à la pédophilie ou à l'esclavage, par exemple et que l'opposition de la minorité était criminalisée comme propos haineux ? Le droit s'adapterait-il pour satisfaire le 75% en faveur. Nous pensons malheureusement dans l'affirmative.

Déjà aujourd'hui la règle de la majorité est appliquée ou revendiquée à outrance défunt et Très Honoralbe ex-premier ministre du Canada, Pierre E. Trudeau disait y a quelques décennies que l'État n'a pas à se mêler de ce qui se passe dans la chambre à coucher. Le problème maintenant, c'est que la chambre à coucher parade dans les rues des villes comme Montréal. Encore un peu, et on donne priorité d'ambauche à une personne sur la base de son orientation sexuelle.

Actuellement, la justice et le droit font un sérieux dérapage au Québec et au Canada.

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