Marie
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
- kate
- Christianisme [Catholique]
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Marie
Ecrit le 19 mai04, 11:35LA VIERGE MARIE
Le mois de mai est consacré à une dévotion particulière envers la Vierge Marie, selon une tradition catholique, on l’appelle le « mois de Marie », et il se termine, le 31, par la fête de la Visitation de Marie à Elisabeth. De même que le mois d’octobre, marqué (le 7) par la fête de Notre-Dame du Rosaire, est aussi appelé « mois du Rosaire », avec par exemple un grand pèlerinage du Rosaire qui clôture la saison des pèlerinages à Lourdes. C’est la raison de cette catéchèse, ce mois-ci sur Marie.
La façon de parler de Marie dans la théologie et la prière catholiques est parfois source d’incompréhensions avec la tradition protestante ; mais il serait bien exagéré de penser que c’est ce qui marque la différence entre catholiques et protestants : un groupe œcuménique, appelé « le groupe des Dombes » qui réunit depuis 1937 des théologiens catholiques et protestants a même publié, il y a une dizaine d’années, le résultat de ses belles recherches. Je me contente de signaler ce fait, et je m’attache seulement ici à détailler et faire comprendre quatre titres donnés à Marie que nous reconnaissons comme la mère du Sauveur.
Marie, mère de Jésus
« Ton père et moi te cherchons tout angoissés » Luc 2,48
La mère de Jésus, ce n’est pas un titre d’honneur, c’est simplement ce que l’Evangile nous présente de façon incontestable à son sujet. Les évangiles de Matthieu et de Luc nous livrent des épisodes concernant la naissance et l’enfance de Jésus. Ils nous disent combien la vie de Jésus fut une vie réellement humaine, commencée dans une famille. C’est une famille juive qui vit dans la foi, qui pratique le pèlerinage à Jérusalem comme les autres et avec les autres ; c’est une famille dans laquelle on n’est pas à l’abri des soucis quotidiens, ni des inquiétudes liées à l’éducation des enfants et des jeunes. Marie est la vraie mère d’un vrai homme, de cet homme Jésus.
On peut méditer à loisir sur cette condition humaine vécue dans l’ordinaire des jours. Lorsqu’il est allé en pèlerinage en Palestine en 1964, le Pape Paul VI a proposé une très belle méditation sur Nazareth où Jésus a grandi : « ici, on apprend à pénétrer la signification, si profonde et si mystérieuse, de cette très simple, très humble et très belle manifestation du Fils de Dieu. (…) Une leçon de silence d’abord, …dans notre vie moderne si bruyante et hypersensibilisée (…) Une leçon de vie familiale, communion d’amour… primordiale sur le plan social (…) Une leçon de travail, …la conscience de la noblesse du travail (…).
Marie, mère de Dieu
« Lorsque les temps furent accomplis, Dieu a envoyé son Fils, il est né d’une femme, il a été sous la domination de la loi de Moïse » Galates 4,4
Dans cette lettre de Saint Paul, la mère de Jésus n’est pas nommée; et c’est la seule fois que l’apôtre parle d’elle, de façon impersonnelle. On peut s’en étonner. C’est à l’évidence que l’humanité de Jésus ne fait pas de doute à Paul. Lui, il n’a pas approché Jésus dans sa vie terrestre, avant Pâques, mais il sait bien que Jésus de Nazareth a existé, les témoignages lui en ont été donnés. Ce qui l’a saisi, c’est que cet homme s’inscrive d’une façon unique dans le projet de Dieu : Il est l’aboutissement, Il est la Révélation définitive, Il est l’achèvement de ce que Dieu a voulu. Il est le Fils parfait : cet homme « né d’une femme », et sujet de la loi de Moïse, c’est-à-dire véritable juif, est Fils de Dieu et grâce à Lui les hommes sont appelés à devenir aussi des fils.
De cette façon, on comprend que c’est ici que commence la méditation de l’Eglise chrétienne qui aboutira à dire, en 431, au Concile d’Ephèse (ville de l’actuelle Turquie, en Asie) : Marie est « Mère de Dieu ». Cela paraît bien extraordinaire de dire d’une femme de notre race humaine qu’elle Mère de Dieu. Cela signifie que c’est par elle que Dieu, qui surpasse et domine le monde puisqu’Il l’a créé et voulu, est devenu l’un de ces hommes qui y vivent. Elle a engendré Dieu dans notre monde, parce qu’elle a accepté d’être la mère de Jésus. Peut-être pouvons-nous dire comme elle : « comment cela est-il possible ? » Si nous ne savons pas dire comment cela se fait, nous pouvons quand même comprendre que cela éclaire étonnamment notre situation d’hommes. Dieu aime et respecte tellement notre humanité qu’il emprunte les voies humaines pour se faire connaître, et pour nous entraîner jusqu’auprès de Lui.
Marie, mère de l’Eglise
« Femme, voici ton fils » Jean 19,26
Ce que Marie a vécu en accueillant Dieu fait homme, voici que de la croix Jésus lui demande de le vivre à nouveau avec ses disciples, et donc avec l’Eglise entière. Elle va permettre aux apôtres d’accueillir, d’accepter et de comprendre ce qui arrive. Jésus qui était mort, il leur faut à tous l’accueillir dans sa nouvelle présence après la Résurrection. Là encore, il faut bien se dire : comment cela est-il possible ? C’est à nouveau un acte de foi qui est demandé et rendu possible par Dieu même. Marie franchit cette étape avec l’Eglise naissante, et en quelque sorte, elle engendre l’Eglise qui devient Corps du Christ au milieu de l’humanité.
Si nous regardons ainsi Marie, nous pouvons bien la reconnaître comme celle qui, dans son humanité si proche de la nôtre, montre le chemin de l’expérience croyante, celle par laquelle Dieu en Jésus-Christ se révèle présent, vivant et actif dans le monde.
Marie, mère des hommes
« Faites tout ce qu’il vous dira » Jean 2,5
Je reviens aux débuts de l’évangile de S.Jean. C’est à Cana. Marie perçoit, et elle seule semble-t-il, qu’il manque à cette humanité, pourtant en fête de mariage, le vin de la joie. Elle presse Jésus de l’apporter, et lui il sait que cette joie ne viendra que du don parfait de sa vie qui sera réalisé sur la croix. Voilà pourquoi il dit : « mon heure n’est pas encore venue ! » Mais elle invite les serviteurs, ceux qui ne sont pas encore dans le cercle des disciples, de faire ce qu’il dira. C’est dire qu’elle compte bien que ce que fait Jésus n’est pas seulement pour ses disciples, pour ses apôtres, ses amis, l’Eglise.
Elle-même donc peut indiquer à d’autres hommes, qui ne sont pas dans l’Eglise, que Jésus sera pour eux un chemin, qu’il leur dira une parole bonne et vraie pour eux. Elle est un modèle d’humanité, elle peut faire que soit engendrée en eux , et rendue visible, la vie même de Dieu, et sa joie.
Méditer avec Marie, et avec l’exemple de sa vie, c’est méditer sur la foi qui survient en l’homme comme le don le plus merveilleux.
Le mois de mai est consacré à une dévotion particulière envers la Vierge Marie, selon une tradition catholique, on l’appelle le « mois de Marie », et il se termine, le 31, par la fête de la Visitation de Marie à Elisabeth. De même que le mois d’octobre, marqué (le 7) par la fête de Notre-Dame du Rosaire, est aussi appelé « mois du Rosaire », avec par exemple un grand pèlerinage du Rosaire qui clôture la saison des pèlerinages à Lourdes. C’est la raison de cette catéchèse, ce mois-ci sur Marie.
La façon de parler de Marie dans la théologie et la prière catholiques est parfois source d’incompréhensions avec la tradition protestante ; mais il serait bien exagéré de penser que c’est ce qui marque la différence entre catholiques et protestants : un groupe œcuménique, appelé « le groupe des Dombes » qui réunit depuis 1937 des théologiens catholiques et protestants a même publié, il y a une dizaine d’années, le résultat de ses belles recherches. Je me contente de signaler ce fait, et je m’attache seulement ici à détailler et faire comprendre quatre titres donnés à Marie que nous reconnaissons comme la mère du Sauveur.
Marie, mère de Jésus
« Ton père et moi te cherchons tout angoissés » Luc 2,48
La mère de Jésus, ce n’est pas un titre d’honneur, c’est simplement ce que l’Evangile nous présente de façon incontestable à son sujet. Les évangiles de Matthieu et de Luc nous livrent des épisodes concernant la naissance et l’enfance de Jésus. Ils nous disent combien la vie de Jésus fut une vie réellement humaine, commencée dans une famille. C’est une famille juive qui vit dans la foi, qui pratique le pèlerinage à Jérusalem comme les autres et avec les autres ; c’est une famille dans laquelle on n’est pas à l’abri des soucis quotidiens, ni des inquiétudes liées à l’éducation des enfants et des jeunes. Marie est la vraie mère d’un vrai homme, de cet homme Jésus.
On peut méditer à loisir sur cette condition humaine vécue dans l’ordinaire des jours. Lorsqu’il est allé en pèlerinage en Palestine en 1964, le Pape Paul VI a proposé une très belle méditation sur Nazareth où Jésus a grandi : « ici, on apprend à pénétrer la signification, si profonde et si mystérieuse, de cette très simple, très humble et très belle manifestation du Fils de Dieu. (…) Une leçon de silence d’abord, …dans notre vie moderne si bruyante et hypersensibilisée (…) Une leçon de vie familiale, communion d’amour… primordiale sur le plan social (…) Une leçon de travail, …la conscience de la noblesse du travail (…).
Marie, mère de Dieu
« Lorsque les temps furent accomplis, Dieu a envoyé son Fils, il est né d’une femme, il a été sous la domination de la loi de Moïse » Galates 4,4
Dans cette lettre de Saint Paul, la mère de Jésus n’est pas nommée; et c’est la seule fois que l’apôtre parle d’elle, de façon impersonnelle. On peut s’en étonner. C’est à l’évidence que l’humanité de Jésus ne fait pas de doute à Paul. Lui, il n’a pas approché Jésus dans sa vie terrestre, avant Pâques, mais il sait bien que Jésus de Nazareth a existé, les témoignages lui en ont été donnés. Ce qui l’a saisi, c’est que cet homme s’inscrive d’une façon unique dans le projet de Dieu : Il est l’aboutissement, Il est la Révélation définitive, Il est l’achèvement de ce que Dieu a voulu. Il est le Fils parfait : cet homme « né d’une femme », et sujet de la loi de Moïse, c’est-à-dire véritable juif, est Fils de Dieu et grâce à Lui les hommes sont appelés à devenir aussi des fils.
De cette façon, on comprend que c’est ici que commence la méditation de l’Eglise chrétienne qui aboutira à dire, en 431, au Concile d’Ephèse (ville de l’actuelle Turquie, en Asie) : Marie est « Mère de Dieu ». Cela paraît bien extraordinaire de dire d’une femme de notre race humaine qu’elle Mère de Dieu. Cela signifie que c’est par elle que Dieu, qui surpasse et domine le monde puisqu’Il l’a créé et voulu, est devenu l’un de ces hommes qui y vivent. Elle a engendré Dieu dans notre monde, parce qu’elle a accepté d’être la mère de Jésus. Peut-être pouvons-nous dire comme elle : « comment cela est-il possible ? » Si nous ne savons pas dire comment cela se fait, nous pouvons quand même comprendre que cela éclaire étonnamment notre situation d’hommes. Dieu aime et respecte tellement notre humanité qu’il emprunte les voies humaines pour se faire connaître, et pour nous entraîner jusqu’auprès de Lui.
Marie, mère de l’Eglise
« Femme, voici ton fils » Jean 19,26
Ce que Marie a vécu en accueillant Dieu fait homme, voici que de la croix Jésus lui demande de le vivre à nouveau avec ses disciples, et donc avec l’Eglise entière. Elle va permettre aux apôtres d’accueillir, d’accepter et de comprendre ce qui arrive. Jésus qui était mort, il leur faut à tous l’accueillir dans sa nouvelle présence après la Résurrection. Là encore, il faut bien se dire : comment cela est-il possible ? C’est à nouveau un acte de foi qui est demandé et rendu possible par Dieu même. Marie franchit cette étape avec l’Eglise naissante, et en quelque sorte, elle engendre l’Eglise qui devient Corps du Christ au milieu de l’humanité.
Si nous regardons ainsi Marie, nous pouvons bien la reconnaître comme celle qui, dans son humanité si proche de la nôtre, montre le chemin de l’expérience croyante, celle par laquelle Dieu en Jésus-Christ se révèle présent, vivant et actif dans le monde.
Marie, mère des hommes
« Faites tout ce qu’il vous dira » Jean 2,5
Je reviens aux débuts de l’évangile de S.Jean. C’est à Cana. Marie perçoit, et elle seule semble-t-il, qu’il manque à cette humanité, pourtant en fête de mariage, le vin de la joie. Elle presse Jésus de l’apporter, et lui il sait que cette joie ne viendra que du don parfait de sa vie qui sera réalisé sur la croix. Voilà pourquoi il dit : « mon heure n’est pas encore venue ! » Mais elle invite les serviteurs, ceux qui ne sont pas encore dans le cercle des disciples, de faire ce qu’il dira. C’est dire qu’elle compte bien que ce que fait Jésus n’est pas seulement pour ses disciples, pour ses apôtres, ses amis, l’Eglise.
Elle-même donc peut indiquer à d’autres hommes, qui ne sont pas dans l’Eglise, que Jésus sera pour eux un chemin, qu’il leur dira une parole bonne et vraie pour eux. Elle est un modèle d’humanité, elle peut faire que soit engendrée en eux , et rendue visible, la vie même de Dieu, et sa joie.
Méditer avec Marie, et avec l’exemple de sa vie, c’est méditer sur la foi qui survient en l’homme comme le don le plus merveilleux.
- Eliaqim
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Ecrit le 19 mai04, 12:25
Marie est-elle la " Mère de Dieu " ?
" NOUS NOUS METTONS SOUS VOTRE PROTECTION, SAINTE MÈRE DE DIEU ; NE REJETEZ PAS LES PRIÈRES QUE NOUS VOUS ADRESSONS, DANS NOS BESOINS, MAIS DÉLIVREZ-NOUS DE TOUT PÉRIL, Ô VIERGE COMBLÉE DE GLOIRE ET DE BÉNÉDICTIONS. "
Cette prière résume les sentiments de millions d'hommes et de femmes voués à Marie, la mère de Jésus Christ. À leurs yeux, elle est le modèle de la mère bienveillante qui peut intercéder en leur faveur auprès de Dieu pour tempérer de quelque façon ses jugements à leur encontre.
Cependant, Marie est-elle vraiment la " Mère de Dieu " ?
Marie, " remplie de la faveur divine "
À n'en pas douter, Marie a été " remplie de la faveur divine ", en fait, plus qu'aucune autre femme (Luc 1:28, Jérusalem, note). L'ange Gabriel lui apparut et lui expliqua le privilège insigne qui l'attendait : " Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. " Comment cet événement miraculeux serait-il possible ? Gabriel poursuivit : " L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. " - Luc 1:31, 32, 35, Jérusalem.
" Marie dit alors : ' Je suis la servante du Seigneur ; qu'il m'advienne selon ta parole ! ' " (Luc 1:38, Jérusalem). Marie se soumit donc humblement à la volonté divine, et par la suite elle donna naissance à Jésus.
Il se trouve que dans les siècles qui suivirent, ses admirateurs élevèrent cette humble " servante du Seigneur " au rang de " reine mère " très influente dans les cieux. Les dignitaires de l'Église la proclamèrent officiellement " Mère de Dieu " en 431 de notre ère, lors du concile d'Éphèse. Pourquoi cette évolution ? Le pape Jean-Paul II en livre une raison : " L'authentique dévotion à la Mère de Dieu est (...) profondément enracinée dans le mystère trinitaire. " - Entrez dans l'espérance.
Ainsi donc, la qualité de " Mère de Dieu " attribuée à Marie est liée à la croyance en la Trinité. Mais la Trinité est-elle un enseignement biblique ? Examinons ce que l'apôtre Pierre écrivit dans la Bible. Il nous met en garde contre les " faux docteurs qui introduiront insidieusement des hérésies de perdition et (...) vous exploiteront au moyen de paroles trompeuses ". (2 Pierre 2:1, 3, Segond.) La doctrine de la Trinité était l'une de ces hérésies ; dès lors qu'elle fut acceptée, il semblait logique que Marie soit appelée la " Mère de Dieu ". (Grec : Théotokos, signifiant " qui enfante Dieu ".) Dans son livre La Vierge (angl.), Geoffrey Ashe explique que " si Christ était Dieu, la deuxième personne divine de la Trinité ", comme l'affirmaient les trinitaires, " alors la mère de Christ en sa manifestation humaine devenait la Mère de Dieu ".
Si Jésus était " Dieu tout entier ", comme l'affirme le nouveau Catéchisme de l'Église Catholique, alors Marie pourrait à juste titre être appelée la " Mère de Dieu ". Il faut cependant préciser que, tout comme les protestants qui, aujourd'hui, croient en la Trinité, de nombreux trinitaires de la première heure eurent du mal à accepter cet enseignement lorsqu'il leur fut soumis. On a qualifié cette doctrine de " paradoxe de la foi : ' [Marie] contint en son sein celui que les cieux ne pouvaient contenir ' ". (La Vierge.) - Voir 1 Rois 8:27.
Mais Jésus Christ est-il réellement " Dieu tout entier " ? Non, et il n'a jamais affiché cette prétention. Au contraire, il a toujours reconnu être subordonné à son Père. - Voir Matthieu 26:39 ; Marc 13:32 ; Jean 14:28 ; 1 Corinthiens 15:27, 28.
" Un culte logique, conforme à ce que la raison vous demande "
La Bible encourage cependant les chrétiens à pratiquer leur culte en faisant appel à leur raison. Elle ne nous demande pas de croire aveuglément à de prétendus mystères. Au contraire, l'apôtre Paul enjoint aux chrétiens de pratiquer ' un culte logique, conforme à ce que la raison leur demande '. - Romains 12:1, Kuen.
" On ne nous a jamais encouragés à nous poser des questions à ce sujet, dit Anne, élevée dans le catholicisme. Je ne me suis jamais arrêtée là-dessus. Je croyais que Jésus était Dieu, et donc que Marie était la ' Mère de Dieu ' ; cela peut paraître curieux, mais c'était ainsi ! " Il faut rappeler que, selon le Catéchisme de l'Église Catholique, chaque membre de l'" Unité divine " est " Dieu tout entier ". On y lit aussi qu'il n'y a pas trois dieux. Devrions-nous donc penser que durant la période où, dans le sein de Marie, les cellules se divisaient, " Dieu tout entier " était contenu dans l'embryon, qui à un mois mesurait seulement 5 millimètres et dont les yeux et les oreilles s'ébauchaient à peine ?
On notera que l'ange Gabriel dit à Marie que son enfant serait appelé " Fils du Très-Haut " et " Fils de Dieu ", et non " Dieu le Fils ". De fait, si Jésus était Dieu le Tout-Puissant, pourquoi l'ange Gabriel n'a-t-il pas employé la même expression que les trinitaires aujourd'hui, à savoir " Dieu le Fils " ? Gabriel n'a pas employé ce terme parce que cet enseignement ne se trouve pas dans la Bible.
Les oeuvres de Dieu, il est vrai, dépassent notre entendement. Mais une bonne compréhension des Écritures nous permet de croire que Dieu le Tout-Puissant, Créateur de toute vie, avait le pouvoir de transférer miraculeusement la vie de Jésus Christ, son Fils bien-aimé, dans le sein de Marie, et ensuite de protéger sa croissance par le moyen de sa force agissante, ou esprit saint, jusqu'à ce que Marie donne naissance à Jésus, le Fils de Dieu.
Oui, Marie reçut l'insigne privilège d'être la mère de celui qui devint le Christ. Ce n'est pas manquer de respect envers elle d'affirmer que l'enseignement clair de la Bible, y compris celui faisant état de l'attitude humble de cette femme, ne nous permet pas de lui attribuer le titre de " Mère de Dieu ".
" NOUS NOUS METTONS SOUS VOTRE PROTECTION, SAINTE MÈRE DE DIEU ; NE REJETEZ PAS LES PRIÈRES QUE NOUS VOUS ADRESSONS, DANS NOS BESOINS, MAIS DÉLIVREZ-NOUS DE TOUT PÉRIL, Ô VIERGE COMBLÉE DE GLOIRE ET DE BÉNÉDICTIONS. "
Cette prière résume les sentiments de millions d'hommes et de femmes voués à Marie, la mère de Jésus Christ. À leurs yeux, elle est le modèle de la mère bienveillante qui peut intercéder en leur faveur auprès de Dieu pour tempérer de quelque façon ses jugements à leur encontre.
Cependant, Marie est-elle vraiment la " Mère de Dieu " ?
Marie, " remplie de la faveur divine "
À n'en pas douter, Marie a été " remplie de la faveur divine ", en fait, plus qu'aucune autre femme (Luc 1:28, Jérusalem, note). L'ange Gabriel lui apparut et lui expliqua le privilège insigne qui l'attendait : " Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut. " Comment cet événement miraculeux serait-il possible ? Gabriel poursuivit : " L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. " - Luc 1:31, 32, 35, Jérusalem.
" Marie dit alors : ' Je suis la servante du Seigneur ; qu'il m'advienne selon ta parole ! ' " (Luc 1:38, Jérusalem). Marie se soumit donc humblement à la volonté divine, et par la suite elle donna naissance à Jésus.
Il se trouve que dans les siècles qui suivirent, ses admirateurs élevèrent cette humble " servante du Seigneur " au rang de " reine mère " très influente dans les cieux. Les dignitaires de l'Église la proclamèrent officiellement " Mère de Dieu " en 431 de notre ère, lors du concile d'Éphèse. Pourquoi cette évolution ? Le pape Jean-Paul II en livre une raison : " L'authentique dévotion à la Mère de Dieu est (...) profondément enracinée dans le mystère trinitaire. " - Entrez dans l'espérance.
Ainsi donc, la qualité de " Mère de Dieu " attribuée à Marie est liée à la croyance en la Trinité. Mais la Trinité est-elle un enseignement biblique ? Examinons ce que l'apôtre Pierre écrivit dans la Bible. Il nous met en garde contre les " faux docteurs qui introduiront insidieusement des hérésies de perdition et (...) vous exploiteront au moyen de paroles trompeuses ". (2 Pierre 2:1, 3, Segond.) La doctrine de la Trinité était l'une de ces hérésies ; dès lors qu'elle fut acceptée, il semblait logique que Marie soit appelée la " Mère de Dieu ". (Grec : Théotokos, signifiant " qui enfante Dieu ".) Dans son livre La Vierge (angl.), Geoffrey Ashe explique que " si Christ était Dieu, la deuxième personne divine de la Trinité ", comme l'affirmaient les trinitaires, " alors la mère de Christ en sa manifestation humaine devenait la Mère de Dieu ".
Si Jésus était " Dieu tout entier ", comme l'affirme le nouveau Catéchisme de l'Église Catholique, alors Marie pourrait à juste titre être appelée la " Mère de Dieu ". Il faut cependant préciser que, tout comme les protestants qui, aujourd'hui, croient en la Trinité, de nombreux trinitaires de la première heure eurent du mal à accepter cet enseignement lorsqu'il leur fut soumis. On a qualifié cette doctrine de " paradoxe de la foi : ' [Marie] contint en son sein celui que les cieux ne pouvaient contenir ' ". (La Vierge.) - Voir 1 Rois 8:27.
Mais Jésus Christ est-il réellement " Dieu tout entier " ? Non, et il n'a jamais affiché cette prétention. Au contraire, il a toujours reconnu être subordonné à son Père. - Voir Matthieu 26:39 ; Marc 13:32 ; Jean 14:28 ; 1 Corinthiens 15:27, 28.
" Un culte logique, conforme à ce que la raison vous demande "
La Bible encourage cependant les chrétiens à pratiquer leur culte en faisant appel à leur raison. Elle ne nous demande pas de croire aveuglément à de prétendus mystères. Au contraire, l'apôtre Paul enjoint aux chrétiens de pratiquer ' un culte logique, conforme à ce que la raison leur demande '. - Romains 12:1, Kuen.
" On ne nous a jamais encouragés à nous poser des questions à ce sujet, dit Anne, élevée dans le catholicisme. Je ne me suis jamais arrêtée là-dessus. Je croyais que Jésus était Dieu, et donc que Marie était la ' Mère de Dieu ' ; cela peut paraître curieux, mais c'était ainsi ! " Il faut rappeler que, selon le Catéchisme de l'Église Catholique, chaque membre de l'" Unité divine " est " Dieu tout entier ". On y lit aussi qu'il n'y a pas trois dieux. Devrions-nous donc penser que durant la période où, dans le sein de Marie, les cellules se divisaient, " Dieu tout entier " était contenu dans l'embryon, qui à un mois mesurait seulement 5 millimètres et dont les yeux et les oreilles s'ébauchaient à peine ?
On notera que l'ange Gabriel dit à Marie que son enfant serait appelé " Fils du Très-Haut " et " Fils de Dieu ", et non " Dieu le Fils ". De fait, si Jésus était Dieu le Tout-Puissant, pourquoi l'ange Gabriel n'a-t-il pas employé la même expression que les trinitaires aujourd'hui, à savoir " Dieu le Fils " ? Gabriel n'a pas employé ce terme parce que cet enseignement ne se trouve pas dans la Bible.
Les oeuvres de Dieu, il est vrai, dépassent notre entendement. Mais une bonne compréhension des Écritures nous permet de croire que Dieu le Tout-Puissant, Créateur de toute vie, avait le pouvoir de transférer miraculeusement la vie de Jésus Christ, son Fils bien-aimé, dans le sein de Marie, et ensuite de protéger sa croissance par le moyen de sa force agissante, ou esprit saint, jusqu'à ce que Marie donne naissance à Jésus, le Fils de Dieu.
Oui, Marie reçut l'insigne privilège d'être la mère de celui qui devint le Christ. Ce n'est pas manquer de respect envers elle d'affirmer que l'enseignement clair de la Bible, y compris celui faisant état de l'attitude humble de cette femme, ne nous permet pas de lui attribuer le titre de " Mère de Dieu ".
1 Piere 3:15 Sanctifiez le Christ comme Seigneur dans vos coeurs, toujours prêts à présenter une défense devant tout homme qui vous demande la raison de l'espérance qui est en vous, mais faites-le avec douceur et profond respect.
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Ecrit le 19 mai04, 20:17
Eliaqim dit :
Mais Jésus Christ est-il réellement " Dieu tout entier " ? Non, et il n'a jamais affiché cette prétention.
Vrai Dieu vrai Homme
464 L’événement unique et tout à fait singulier de l’Incarnation du Fils de Dieu ne signifie pas que Jésus-Christ soit en partie Dieu et en partie homme, ni qu’il soit le résultat du mélange confus entre le divin et l’humain. Il s’est fait vraiment homme en restant vraiment Dieu. Jésus-Christ est vrai Dieu et vrai homme. Cette vérité de foi, l’Église a dû la défendre et la clarifier au cours des premiers siècles face à des hérésies qui la falsifiaient.
465 Les premières hérésies ont moins nié la divinité du Christ que son humanité vraie (docétisme gnostique). Dès les temps apostolique la foi chrétienne a insisté sur la vraie incarnation du Fils de Dieu, " venu dans la chair " (cf. 1 Jn 4, 2-3 ; 2 Jn 7). Mais dès le troisième siècle, l’Église a dû affirmer contre Paul de Samosate, dans un Concile réuni à Antioche, que Jésus-Christ est Fils de Dieu par nature et non par adoption. Le premier Concile œcuménique de Nicée, en 325, confessa dans son Credo que le Fils de Dieu est " engendré, non pas créé, de la même substance (homousios – DS 125) que le Père " et condamna Arius qui affirmait que " le Fils de Dieu est sorti du néant " (DS 130) et qu’il serait " d’une autre substance que le Père " (DS 126).
466 L’hérésie nestorienne voyait dans le Christ une personne humaine conjointe à la personne divine du Fils de Dieu. Face à elle S. Cyrille d’Alexandrie et le troisième Concile œcuménique réuni à Ephèse en 431 ont confessé que " le Verbe, en s’unissant dans sa personne une chair animée par une âme rationnelle, est devenu homme " (DS 250). L’humanité du Christ n’a d’autre sujet que la personne divine du Fils de Dieu qui l’a assumée et faite sienne dès sa conception. Pour cela le Concile d’Ephèse a proclamé en 431 que Marie est devenue en toute vérité Mère de Dieu par la conception humaine du Fils de Dieu dans son sein : " Mère de Dieu, non parce que le Verbe de Dieu a tiré d’elle sa nature divine, mais parce que c’est d’elle qu’il tient le corps sacré doté d’une âme rationnelle, uni auquel en sa personne le Verbe est dit naître selon la chair " (DS 251).
467 Les monophysites affirmaient que la nature humaine avait cessé d’exister comme telle dans le Christ en étant assumée par sa personne divine de Fils de Dieu. Confronté à cette hérésie, le quatrième Concile œcuménique, à Chalcédoine, a confessé en 451 :
A la suite des saints Pères, nous enseignons unanimement à confesser un seul et même Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, le même parfait en divinité et parfait en humanité, le même vraiment Dieu et vraiment homme, composé d’une âme rationnelle et d’un corps, consubstantiel au Père selon la divinité, consubstantiel à nous selon l’humanité, " semblable à nous en tout, à l’exception du péché " (He 4, 15) ; engendré du Père avant tout les siècles selon la divinité, et en ces derniers jours, pour nous et pour notre salut, né de la Vierge Marie, Mère de Dieu, selon l’humanité.
Un seul et même Christ, Seigneur, Fils unique, que nous devons reconnaître en deux natures, sans confusion, sans changement, sans division, sans séparation. LA DIFFERENCE DES NATURES N' EST NULLEMENT SUPPRIMEE PAR LEUR UNION MAIS PLUTOT LES PROPRIETES DE CHACUNE SONT SAUVEGARDEES ET REUNIES EN UNE SEULE PERSONNE ET UNE SEULE HYPOSTASE (DS 301-302).
468 Après le Concile de Chalcédoine, certains firent de la nature humaine du Christ une sorte de sujet personnel. Contre eux, le cinquième Concile œcuménique, à Constantinople en 553, a confessé à propos du Christ : " Il n’y a qu’une seule hypostase [ou personne], qui est notre Seigneur Jésus-Christ, un de la Trinité " (DS 424). Tout dans l’humanité du Christ doit donc être attribué à sa personne divine comme à son sujet propre (cf. déjà Cc. Ephèse : DS 255), non seulement les miracles mais aussi les souffrances (cf. DS 424) et même la mort : " Celui qui a été crucifié dans la chair, notre Seigneur Jésus-Christ, est vrai Dieu, Seigneur de la gloire et Un de la sainte Trinité " (DS 432).
469 L’Église confesse ainsi que Jésus est inséparablement vrai Dieu et vrai homme. Il est vraiment le Fils de Dieu qui s’est fait homme, notre frère, et cela sans cesser d’être Dieu, notre Seigneur :
" Il resta ce qu’Il était, Il assuma ce qu’il n’était pas ", chante la liturgie romaine (LH, In Solemnitate Sanctae Dei Genetricis Mariae, antiphona ad " Benedictus "; cf. S. Léon le Grand, serm. 21, 2 : PL 54, 192A). Et la liturgie de S. Jean Chrysostome proclame et chante : " O Fils unique et Verbe de Dieu, étant immortel, tu as daigné pour notre salut t’incarner de la sainte Mère de Dieu et toujours Vierge Marie, qui sans changement es devenu homme, et qui as été crucifié, O Christ Dieu, qui, par ta mort as écrasé la mort, qui es Un de la Sainte Trinité, glorifié avec le Père et le Saint-Esprit, sauve-nous ! " (Tropaire " O monoghenis "). (catéchisme de l'Eglise catholique)
Jésus à travers ses propos
Tout d'abord, force est de constater qu'il centre ses enseignements sur lui-même
Il est fascinant de s'apercevoir que tant de ses enseignements étaient centrés sur sa personne : "Je suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne va au Père si ce n'est par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père". C'est par Jésus que nous rencontrons Dieu le Père.
Il dit que le recevoir lui, c'est recevoir Dieu : "Celui qui vous reçoit me reçoit et celui qui me reçoit reçoit Celui qui m'a envoyé". Il parle de Dieu le Père, L'accueillir, c'est accueillir Dieu ; l'avoir vu c'est voir Dieu : "Celui qui m'a vu a vu le Père".
Voyons maintenant les affirmations indirectes de Jésus
Il dit un certain nombre de choses qui montrent qu'il se considérait comme l'égal de Dieu, même s'il n'affirme pas être Dieu de but en blanc.
L'affirmation de Jésus disant qu'il peut pardonner les péchés est bien connue. Il dit à un homme paralysé : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés". Et la réaction des chefs religieux fut : "Pourquoi parle-t-il comme cela ? Il blasphème ! Qui peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ?" Jésus prouva qu'il possédait l'autorité pour pardonner les péchés en guérissant le paralysé. Son affirmation de pouvoir pardonner les péchés a, assurément, de quoi étonner car il se comporte comme s'il était le principal concerné, le plus offensé par le péché. Cela ne peut avoir de sens que si cet homme n’est pas qu’un homme, que s’il est plus qu’un homme.
Il est le Messie mais il est plus que le Messie. IL N'EST PAS UN HOMME QUI PARLE AU NOM DE DIEU, MAIS DIEU LUI-MEME !
Une autre prétention extraordinaire de Jésus est de dire qu'un jour il jugera le monde. "Il reviendra", dit-il, et "s'assiéra sur son trône de gloire". Toutes les nations seront assemblées devant lui. Et il les jugera. Non seulement, il sera le Juge, mais il sera aussi le critère du jugement. Ce qui se passera le Jour du Jugement dépendra de notre attitude envers lui dans cette vie : "Autant de fois vous l'avez fait pour le moindre de mes frères que voici, c'est à moi que vous l'avez fait". Dans la bouche de Jésus, n'est-ce pas une affirmation indirecte de sa divinité cachée derrière son humanité ? L’évangile est le récit de son humanité, mais une humanité tellement extraordinaire qu’elle fait découvrir sa divinité. A travers son humanité, il révèle sa divinité. Sa divinité se cache car il ne veut pas s’imposer, il veut qu’on le découvre dans un choix libre.
Les affirmations directes de Jésus quant à son identité
Quand on lui posa la question, "Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ?" Jésus répondit : "Je suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite du Père, et venir sur les nuées du ciel." Alors le grand prêtre déchira ses vêtements, et dit : "Qu'avons-nous encore besoin de témoins ? Vous avez entendu le blasphème". Dans ce récit, il apparaît que Jésus est condamné à mort pour ce qu'il a dit de lui. Se déclarer l'égal de Dieu était chez les Juifs un blasphème passible de mort. Lorsque les Juifs allaient commencer à le lapider, Jésus leur demanda pourquoi ils voulaient le lapider : "Ce n'est pas pour une œuvre bonne que nous voulons te lapider, mais pour un blasphème, précisément parce que, n'étant qu'un homme, tu te fais Dieu." Ses ennemis avaient bien compris ce qu'il déclarait !
Lorsque Thomas, un de ses disciples, se prosterna devant Jésus en disant : "Mon Seigneur et mon Dieu", Jésus ne lui a pas dit : "Non, non, non, ne dis surtout pas cela ! Je ne suis pas Dieu ". Il a plutôt dit : "Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui croiront sans avoir vu ! ". Et il a plutôt reproché à Thomas d'avoir été lent à comprendre !
Mais Jésus Christ est-il réellement " Dieu tout entier " ? Non, et il n'a jamais affiché cette prétention.
Vrai Dieu vrai Homme
464 L’événement unique et tout à fait singulier de l’Incarnation du Fils de Dieu ne signifie pas que Jésus-Christ soit en partie Dieu et en partie homme, ni qu’il soit le résultat du mélange confus entre le divin et l’humain. Il s’est fait vraiment homme en restant vraiment Dieu. Jésus-Christ est vrai Dieu et vrai homme. Cette vérité de foi, l’Église a dû la défendre et la clarifier au cours des premiers siècles face à des hérésies qui la falsifiaient.
465 Les premières hérésies ont moins nié la divinité du Christ que son humanité vraie (docétisme gnostique). Dès les temps apostolique la foi chrétienne a insisté sur la vraie incarnation du Fils de Dieu, " venu dans la chair " (cf. 1 Jn 4, 2-3 ; 2 Jn 7). Mais dès le troisième siècle, l’Église a dû affirmer contre Paul de Samosate, dans un Concile réuni à Antioche, que Jésus-Christ est Fils de Dieu par nature et non par adoption. Le premier Concile œcuménique de Nicée, en 325, confessa dans son Credo que le Fils de Dieu est " engendré, non pas créé, de la même substance (homousios – DS 125) que le Père " et condamna Arius qui affirmait que " le Fils de Dieu est sorti du néant " (DS 130) et qu’il serait " d’une autre substance que le Père " (DS 126).
466 L’hérésie nestorienne voyait dans le Christ une personne humaine conjointe à la personne divine du Fils de Dieu. Face à elle S. Cyrille d’Alexandrie et le troisième Concile œcuménique réuni à Ephèse en 431 ont confessé que " le Verbe, en s’unissant dans sa personne une chair animée par une âme rationnelle, est devenu homme " (DS 250). L’humanité du Christ n’a d’autre sujet que la personne divine du Fils de Dieu qui l’a assumée et faite sienne dès sa conception. Pour cela le Concile d’Ephèse a proclamé en 431 que Marie est devenue en toute vérité Mère de Dieu par la conception humaine du Fils de Dieu dans son sein : " Mère de Dieu, non parce que le Verbe de Dieu a tiré d’elle sa nature divine, mais parce que c’est d’elle qu’il tient le corps sacré doté d’une âme rationnelle, uni auquel en sa personne le Verbe est dit naître selon la chair " (DS 251).
467 Les monophysites affirmaient que la nature humaine avait cessé d’exister comme telle dans le Christ en étant assumée par sa personne divine de Fils de Dieu. Confronté à cette hérésie, le quatrième Concile œcuménique, à Chalcédoine, a confessé en 451 :
A la suite des saints Pères, nous enseignons unanimement à confesser un seul et même Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, le même parfait en divinité et parfait en humanité, le même vraiment Dieu et vraiment homme, composé d’une âme rationnelle et d’un corps, consubstantiel au Père selon la divinité, consubstantiel à nous selon l’humanité, " semblable à nous en tout, à l’exception du péché " (He 4, 15) ; engendré du Père avant tout les siècles selon la divinité, et en ces derniers jours, pour nous et pour notre salut, né de la Vierge Marie, Mère de Dieu, selon l’humanité.
Un seul et même Christ, Seigneur, Fils unique, que nous devons reconnaître en deux natures, sans confusion, sans changement, sans division, sans séparation. LA DIFFERENCE DES NATURES N' EST NULLEMENT SUPPRIMEE PAR LEUR UNION MAIS PLUTOT LES PROPRIETES DE CHACUNE SONT SAUVEGARDEES ET REUNIES EN UNE SEULE PERSONNE ET UNE SEULE HYPOSTASE (DS 301-302).
468 Après le Concile de Chalcédoine, certains firent de la nature humaine du Christ une sorte de sujet personnel. Contre eux, le cinquième Concile œcuménique, à Constantinople en 553, a confessé à propos du Christ : " Il n’y a qu’une seule hypostase [ou personne], qui est notre Seigneur Jésus-Christ, un de la Trinité " (DS 424). Tout dans l’humanité du Christ doit donc être attribué à sa personne divine comme à son sujet propre (cf. déjà Cc. Ephèse : DS 255), non seulement les miracles mais aussi les souffrances (cf. DS 424) et même la mort : " Celui qui a été crucifié dans la chair, notre Seigneur Jésus-Christ, est vrai Dieu, Seigneur de la gloire et Un de la sainte Trinité " (DS 432).
469 L’Église confesse ainsi que Jésus est inséparablement vrai Dieu et vrai homme. Il est vraiment le Fils de Dieu qui s’est fait homme, notre frère, et cela sans cesser d’être Dieu, notre Seigneur :
" Il resta ce qu’Il était, Il assuma ce qu’il n’était pas ", chante la liturgie romaine (LH, In Solemnitate Sanctae Dei Genetricis Mariae, antiphona ad " Benedictus "; cf. S. Léon le Grand, serm. 21, 2 : PL 54, 192A). Et la liturgie de S. Jean Chrysostome proclame et chante : " O Fils unique et Verbe de Dieu, étant immortel, tu as daigné pour notre salut t’incarner de la sainte Mère de Dieu et toujours Vierge Marie, qui sans changement es devenu homme, et qui as été crucifié, O Christ Dieu, qui, par ta mort as écrasé la mort, qui es Un de la Sainte Trinité, glorifié avec le Père et le Saint-Esprit, sauve-nous ! " (Tropaire " O monoghenis "). (catéchisme de l'Eglise catholique)
Jésus à travers ses propos
Tout d'abord, force est de constater qu'il centre ses enseignements sur lui-même
Il est fascinant de s'apercevoir que tant de ses enseignements étaient centrés sur sa personne : "Je suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne va au Père si ce n'est par moi. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père". C'est par Jésus que nous rencontrons Dieu le Père.
Il dit que le recevoir lui, c'est recevoir Dieu : "Celui qui vous reçoit me reçoit et celui qui me reçoit reçoit Celui qui m'a envoyé". Il parle de Dieu le Père, L'accueillir, c'est accueillir Dieu ; l'avoir vu c'est voir Dieu : "Celui qui m'a vu a vu le Père".
Voyons maintenant les affirmations indirectes de Jésus
Il dit un certain nombre de choses qui montrent qu'il se considérait comme l'égal de Dieu, même s'il n'affirme pas être Dieu de but en blanc.
L'affirmation de Jésus disant qu'il peut pardonner les péchés est bien connue. Il dit à un homme paralysé : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés". Et la réaction des chefs religieux fut : "Pourquoi parle-t-il comme cela ? Il blasphème ! Qui peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ?" Jésus prouva qu'il possédait l'autorité pour pardonner les péchés en guérissant le paralysé. Son affirmation de pouvoir pardonner les péchés a, assurément, de quoi étonner car il se comporte comme s'il était le principal concerné, le plus offensé par le péché. Cela ne peut avoir de sens que si cet homme n’est pas qu’un homme, que s’il est plus qu’un homme.
Il est le Messie mais il est plus que le Messie. IL N'EST PAS UN HOMME QUI PARLE AU NOM DE DIEU, MAIS DIEU LUI-MEME !
Une autre prétention extraordinaire de Jésus est de dire qu'un jour il jugera le monde. "Il reviendra", dit-il, et "s'assiéra sur son trône de gloire". Toutes les nations seront assemblées devant lui. Et il les jugera. Non seulement, il sera le Juge, mais il sera aussi le critère du jugement. Ce qui se passera le Jour du Jugement dépendra de notre attitude envers lui dans cette vie : "Autant de fois vous l'avez fait pour le moindre de mes frères que voici, c'est à moi que vous l'avez fait". Dans la bouche de Jésus, n'est-ce pas une affirmation indirecte de sa divinité cachée derrière son humanité ? L’évangile est le récit de son humanité, mais une humanité tellement extraordinaire qu’elle fait découvrir sa divinité. A travers son humanité, il révèle sa divinité. Sa divinité se cache car il ne veut pas s’imposer, il veut qu’on le découvre dans un choix libre.
Les affirmations directes de Jésus quant à son identité
Quand on lui posa la question, "Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ?" Jésus répondit : "Je suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite du Père, et venir sur les nuées du ciel." Alors le grand prêtre déchira ses vêtements, et dit : "Qu'avons-nous encore besoin de témoins ? Vous avez entendu le blasphème". Dans ce récit, il apparaît que Jésus est condamné à mort pour ce qu'il a dit de lui. Se déclarer l'égal de Dieu était chez les Juifs un blasphème passible de mort. Lorsque les Juifs allaient commencer à le lapider, Jésus leur demanda pourquoi ils voulaient le lapider : "Ce n'est pas pour une œuvre bonne que nous voulons te lapider, mais pour un blasphème, précisément parce que, n'étant qu'un homme, tu te fais Dieu." Ses ennemis avaient bien compris ce qu'il déclarait !
Lorsque Thomas, un de ses disciples, se prosterna devant Jésus en disant : "Mon Seigneur et mon Dieu", Jésus ne lui a pas dit : "Non, non, non, ne dis surtout pas cela ! Je ne suis pas Dieu ". Il a plutôt dit : "Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui croiront sans avoir vu ! ". Et il a plutôt reproché à Thomas d'avoir été lent à comprendre !
- kate
- Christianisme [Catholique]
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- Enregistré le : 28 mars04, 20:49
Ecrit le 19 mai04, 20:50
En ce mois de Marie et en l'honneur de Marie, Mère de Dieu.
Je vous salue Marie
Je Vous salue Marie, pleine de grâces,
le Seigneur est avec Vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
priez pour nous pauvre pêcheurs,
maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
Salve Regina (11eme siècle)
Je te salue, O Reine, Mère de miséricorde,
toi qui es pour nous vie, douceur, espérance.
Vers toi, nous les fils d'Ève,
nous crions dans notre exil,
Vers toi nous soupirons
gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
Toi, notre Avocate,
tourne vers nous tes yeux pleins de bonté,
Et Jésus, ton fils béni,
montre-le nous au terme de cet exil.
O clémente, ô si bonne, ô douce,
Vierge Marie.
Magnificat : Luc 1,46-55
Mon âme exalte le Seigneur,
Exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur.
Il s'est penché sur son humble servante,
Désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles,
Saint est son nom.
Son amour s'étend d'âge en âge,
Sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
Il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leur trône,
Il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
Renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur,
Il se souvient de son amour.
De la promesse faite à nos pères,
En faveur d'Abraham et de sa race à jamais.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
Pour les siècles des siècles. Amen.
Remplis ma bouche, ô Marie,
de la grâce de ta douceur.
Éclaire mon intelligence,
toi qui as été comblée de la faveur de Dieu.
Alors ma langue et mes lèvres
chanteront allègrement tes louanges
et plus particulièrement
la salutation angélique,
annonciatrice du salut du monde,
remède et protection de tous les hommes.
Daigne donc accepter que moi,
ton petit serviteur,
je te loue et te dise
et redise doucement :
"Réjouis-toi, Marie, comblée de grâces." Saint Ephrem (v.306-373)
Je te salue, Marie, Mère de Dieu,
trésor vénéré de tout l'univers,
lumière qui ne s'éteint pas,
toi de qui est né le soleil de la justice,
sceptre de la vérité, temple indestructible.
Je te salue, Marie,
demeure de celui qu'aucun lieu ne contient,
toi qui as fait pousser un épi
qui ne se flétrira jamais.
Par toi les bergers ont rendu gloire à Dieu,
par toi est béni, dans l'Évangile,
celui qui vient au nom du Seigneur.
Par toi la Trinité est glorifiée,
par toi la croix est adorée dans l'univers entier.
Par toi exultent les cieux,
par toi l'humanité déchue a été relevée.
Par toi le monde entier a enfin connu la Vérité.
Par toi, sur toute la terre, se sont fondées des églises.
Par toi le Fils unique de Dieu
a fait resplendir sa lumière
sur ceux qui étaient dans les ténèbres,
assis à l'ombre de la mort.
Par toi les apôtres ont pu annoncer
le salut aux nations.
Comment chanter dignement ta louange,
Ô Mère de Dieu,
par qui la terre entière tressaille d'allégresse. Saint Cyrille d'Alexandrie (v.380-v.444)
Ave Maria Stella
Salut, Étoile de la mer,
Sainte Mère de Dieu,
Toi, toujours vierge,
bienheureuse porte du ciel...
Brise les chaînes des pécheurs,
rends la lumière aux aveugles,
délivre-nous de nos misères,
obtiens pour nous les vrais biens.
Montre-nous que tu es mère,
et que le Christ par toi accueille nos prières
lui qui, né pour nous,
accepta d'être ton fils.
Vierge sans pareille
et douce entre toutes,
obtiens le pardon de nos fautes,
rends nos cœurs humbles et purs.
Accorde-nous une vie sainte,
rends sûre notre route
pour que, contemplant Jésus,
nous partagions sans fin ta joie. (Hymne latine datant du Xe siècle environ)
Lorsque vous assaillent les vents des tentations,
lorsque vous voyez paraître les écueils du malheur,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si vous êtes ballottés sur les vagues de l'orgueil,
de l'ambition, de la calomnie, de la jalousie,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si la colère, l'avarice, les séductions charnelles
viennent secouer la légère embarcation de votre âme,
levez les yeux vers Marie...
Dans le péril, l'angoisse, le doute,
pensez à Marie, invoquez Marie.
Que son nom ne quitte ni vos lèvres ni vos cœurs !
Et pour obtenir son intercession,
ne vous détournez pas de son exemple.
En la suivant, vous ne vous égarerez pas.
En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.
En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.
Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas ;
si elle vous protège, vous n'aurez rien à craindre ;
sous sa conduite vous ignorerez la fatigue ;
grâce à sa faveur, vous atteindrez le but. Saint Bernard (1090-1153)
(Deuxième homélie, Louanges à Marie)
Je vous salue Marie
Je Vous salue Marie, pleine de grâces,
le Seigneur est avec Vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
priez pour nous pauvre pêcheurs,
maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
Salve Regina (11eme siècle)
Je te salue, O Reine, Mère de miséricorde,
toi qui es pour nous vie, douceur, espérance.
Vers toi, nous les fils d'Ève,
nous crions dans notre exil,
Vers toi nous soupirons
gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes.
Toi, notre Avocate,
tourne vers nous tes yeux pleins de bonté,
Et Jésus, ton fils béni,
montre-le nous au terme de cet exil.
O clémente, ô si bonne, ô douce,
Vierge Marie.
Magnificat : Luc 1,46-55
Mon âme exalte le Seigneur,
Exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur.
Il s'est penché sur son humble servante,
Désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles,
Saint est son nom.
Son amour s'étend d'âge en âge,
Sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
Il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leur trône,
Il élève les humbles.
Il comble de biens les affamés,
Renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur,
Il se souvient de son amour.
De la promesse faite à nos pères,
En faveur d'Abraham et de sa race à jamais.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit,
Pour les siècles des siècles. Amen.
Remplis ma bouche, ô Marie,
de la grâce de ta douceur.
Éclaire mon intelligence,
toi qui as été comblée de la faveur de Dieu.
Alors ma langue et mes lèvres
chanteront allègrement tes louanges
et plus particulièrement
la salutation angélique,
annonciatrice du salut du monde,
remède et protection de tous les hommes.
Daigne donc accepter que moi,
ton petit serviteur,
je te loue et te dise
et redise doucement :
"Réjouis-toi, Marie, comblée de grâces." Saint Ephrem (v.306-373)
Je te salue, Marie, Mère de Dieu,
trésor vénéré de tout l'univers,
lumière qui ne s'éteint pas,
toi de qui est né le soleil de la justice,
sceptre de la vérité, temple indestructible.
Je te salue, Marie,
demeure de celui qu'aucun lieu ne contient,
toi qui as fait pousser un épi
qui ne se flétrira jamais.
Par toi les bergers ont rendu gloire à Dieu,
par toi est béni, dans l'Évangile,
celui qui vient au nom du Seigneur.
Par toi la Trinité est glorifiée,
par toi la croix est adorée dans l'univers entier.
Par toi exultent les cieux,
par toi l'humanité déchue a été relevée.
Par toi le monde entier a enfin connu la Vérité.
Par toi, sur toute la terre, se sont fondées des églises.
Par toi le Fils unique de Dieu
a fait resplendir sa lumière
sur ceux qui étaient dans les ténèbres,
assis à l'ombre de la mort.
Par toi les apôtres ont pu annoncer
le salut aux nations.
Comment chanter dignement ta louange,
Ô Mère de Dieu,
par qui la terre entière tressaille d'allégresse. Saint Cyrille d'Alexandrie (v.380-v.444)
Ave Maria Stella
Salut, Étoile de la mer,
Sainte Mère de Dieu,
Toi, toujours vierge,
bienheureuse porte du ciel...
Brise les chaînes des pécheurs,
rends la lumière aux aveugles,
délivre-nous de nos misères,
obtiens pour nous les vrais biens.
Montre-nous que tu es mère,
et que le Christ par toi accueille nos prières
lui qui, né pour nous,
accepta d'être ton fils.
Vierge sans pareille
et douce entre toutes,
obtiens le pardon de nos fautes,
rends nos cœurs humbles et purs.
Accorde-nous une vie sainte,
rends sûre notre route
pour que, contemplant Jésus,
nous partagions sans fin ta joie. (Hymne latine datant du Xe siècle environ)
Lorsque vous assaillent les vents des tentations,
lorsque vous voyez paraître les écueils du malheur,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si vous êtes ballottés sur les vagues de l'orgueil,
de l'ambition, de la calomnie, de la jalousie,
regardez l'étoile, invoquez Marie.
Si la colère, l'avarice, les séductions charnelles
viennent secouer la légère embarcation de votre âme,
levez les yeux vers Marie...
Dans le péril, l'angoisse, le doute,
pensez à Marie, invoquez Marie.
Que son nom ne quitte ni vos lèvres ni vos cœurs !
Et pour obtenir son intercession,
ne vous détournez pas de son exemple.
En la suivant, vous ne vous égarerez pas.
En la suppliant, vous ne connaîtrez pas le désespoir.
En pensant à elle, vous éviterez toute erreur.
Si elle vous soutient, vous ne sombrerez pas ;
si elle vous protège, vous n'aurez rien à craindre ;
sous sa conduite vous ignorerez la fatigue ;
grâce à sa faveur, vous atteindrez le but. Saint Bernard (1090-1153)
(Deuxième homélie, Louanges à Marie)
Ecrit le 19 mai04, 23:17
gloire a DIEU!
comme ils inventent!
je suis tout a fait d'accord avec eliaqim!
kate, encore une fois le fait d'invoquer marie, est un blasphème contre YAHWE sabaot! jamais marie ne vous a demander de l'adoré, jamais elle vous a dit de la prendre pour divinité, arrettez de mentir contre elle et contre YAHWE!
marie etait une servante du seigneur! et sa mère anne aussi tout comme la famille d'imram,
pourkoi marie n'a t'elle pas adoré sa mère anne et pourkoi marie n'a t'elle pas rendu un culte a elysabeth, et pourkoi elysabeth n'a t'elle pas adoré marie et pourkoi jean baptiste na pas adoré le christ ni marie?
reponse:
YAHWE dit:
tu adoreras seul ton DIEU et a lui seule tu rendras un culte
marie vous rejettera ainsi que jésus parce que vous avez menti sur eux!
de plus vous vous agenouillez devant l'icone de marie alors que DIEU vous a interdit formellement de tel pratiques(exode)
un homme vint vers jésus et lui dit:
oh bon enseignant que dois je faire pour herité de la vie eternelle?
pourkoi m'appelles tu bon repondit jésus un seul est bon DIEU
tu aimeras ton DIEU de tout ton coeur de toute ton ame et de tout ton esprit!
jésus a dit a la samaritaine:
femme l'heure vient ou les vrais adorateurs adoreront le père en esprit et en vérité car le père cherche de tels adorateurs
donc kete DIEU ne te cherche pas parce que tu aodres un autre que lui et si tu veux qu'il te cherche et que tu sois un adorateur de verité alors tu dois l'adore que lui et rien que lui sionon tu serais un faux adorateur!
c'est jésus qui le dit!
comme ils inventent!
je suis tout a fait d'accord avec eliaqim!
kate, encore une fois le fait d'invoquer marie, est un blasphème contre YAHWE sabaot! jamais marie ne vous a demander de l'adoré, jamais elle vous a dit de la prendre pour divinité, arrettez de mentir contre elle et contre YAHWE!
marie etait une servante du seigneur! et sa mère anne aussi tout comme la famille d'imram,
pourkoi marie n'a t'elle pas adoré sa mère anne et pourkoi marie n'a t'elle pas rendu un culte a elysabeth, et pourkoi elysabeth n'a t'elle pas adoré marie et pourkoi jean baptiste na pas adoré le christ ni marie?
reponse:
YAHWE dit:
tu adoreras seul ton DIEU et a lui seule tu rendras un culte
marie vous rejettera ainsi que jésus parce que vous avez menti sur eux!
de plus vous vous agenouillez devant l'icone de marie alors que DIEU vous a interdit formellement de tel pratiques(exode)
un homme vint vers jésus et lui dit:
oh bon enseignant que dois je faire pour herité de la vie eternelle?
pourkoi m'appelles tu bon repondit jésus un seul est bon DIEU
tu aimeras ton DIEU de tout ton coeur de toute ton ame et de tout ton esprit!
jésus a dit a la samaritaine:
femme l'heure vient ou les vrais adorateurs adoreront le père en esprit et en vérité car le père cherche de tels adorateurs
donc kete DIEU ne te cherche pas parce que tu aodres un autre que lui et si tu veux qu'il te cherche et que tu sois un adorateur de verité alors tu dois l'adore que lui et rien que lui sionon tu serais un faux adorateur!
c'est jésus qui le dit!

- kate
- Christianisme [Catholique]
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- Enregistré le : 28 mars04, 20:49
Ecrit le 19 mai04, 23:26
IL N'A JAMAIS ETE QUESTION D'ADORER MARIE.
C'est mahomet qui, comme d'habitude, comprenait tout de travers, en a fait une déesse en croyant que les chrétiens adoraient Marie. Le comble il La met dans la Trinité. De toute façon avant son islam, mahomet adorait des déesses filles d'allah.
"[...]Alors que, selon le témoignage biblique, seuls ceux qui croient en Jésus-Christ, Fils de Dieu, et qui acceptent son sacrifice expiatoire sur la croix hériteront la vie éternelle, le Coran affirme clairement que seuls ceux qui croient que Mahomet a été le dernier prophète de Dieu et que le Coran est la pure vérité hériteront la vie éternelle. Pour les musulmans, les chrétiens avec leur doctrine de la Sainte Trinité (qui comprendrait, selon le Coran, le Père, le Fils et MARIE) commettent le plus grave des péchés: celui de polythéisme. Ces principales différences théologiques entre le Coran et la Bible manifestent clairement que le créateur omnipotent du Coran ne peut pas être le Dieu trinitaire de la Bible, le Père de Jésus-Christ.
* Christine Schirrmacher, docteur en philosophie, enseigne l'islamologie à l'Université de Bonn. Elle est l'auteur d'une introduction à l'islam en deux volumes. Traduction d'Alison Wells."
C'est mahomet qui, comme d'habitude, comprenait tout de travers, en a fait une déesse en croyant que les chrétiens adoraient Marie. Le comble il La met dans la Trinité. De toute façon avant son islam, mahomet adorait des déesses filles d'allah.
"[...]Alors que, selon le témoignage biblique, seuls ceux qui croient en Jésus-Christ, Fils de Dieu, et qui acceptent son sacrifice expiatoire sur la croix hériteront la vie éternelle, le Coran affirme clairement que seuls ceux qui croient que Mahomet a été le dernier prophète de Dieu et que le Coran est la pure vérité hériteront la vie éternelle. Pour les musulmans, les chrétiens avec leur doctrine de la Sainte Trinité (qui comprendrait, selon le Coran, le Père, le Fils et MARIE) commettent le plus grave des péchés: celui de polythéisme. Ces principales différences théologiques entre le Coran et la Bible manifestent clairement que le créateur omnipotent du Coran ne peut pas être le Dieu trinitaire de la Bible, le Père de Jésus-Christ.
* Christine Schirrmacher, docteur en philosophie, enseigne l'islamologie à l'Université de Bonn. Elle est l'auteur d'une introduction à l'islam en deux volumes. Traduction d'Alison Wells."
Ecrit le 19 mai04, 23:44
mon pauvre kate!kate a écrit :IL N'A JAMAIS ETE QUESTION D'ADORER MARIE.
C'est mahomet qui, comme d'habitude, comprenait tout de travers, en a fait une déesse en croyant que les chrétiens adoraient Marie. Le comble il La met dans la Trinité. De toute façon avant son islam, mahomet adorait des déesses filles d'allah.
"[...]Alors que, selon le témoignage biblique, seuls ceux qui croient en Jésus-Christ, Fils de Dieu, et qui acceptent son sacrifice expiatoire sur la croix hériteront la vie éternelle, le Coran affirme clairement que seuls ceux qui croient que Mahomet a été le dernier prophète de Dieu et que le Coran est la pure vérité hériteront la vie éternelle. Pour les musulmans, les chrétiens avec leur doctrine de la Sainte Trinité (qui comprendrait, selon le Coran, le Père, le Fils et MARIE) commettent le plus grave des péchés: celui de polythéisme. Ces principales différences théologiques entre le Coran et la Bible manifestent clairement que le créateur omnipotent du Coran ne peut pas être le Dieu trinitaire de la Bible, le Père de Jésus-Christ.
* Christine Schirrmacher, docteur en philosophie, enseigne l'islamologie à l'Université de Bonn. Elle est l'auteur d'une introduction à l'islam en deux volumes. Traduction d'Alison Wells."
donne nous la preuve que marie est la troisième de la trinité dans le coran!
tu retourneras bredouille!
DIEU dit seulement que marie, les chrétiens l'ont prise pour divinité, comme les cathloique en l'appellent "mère de DIEU"
mohammes sws lui qui a cotoyer les chrétiens, les juifs, etc etc, ne saurait t'il pas que le saint esprit etait le troisième de trois selon les chrétiens sectaires! car yavait de véritables chrétiens, qui adoraient que DIEU a son époque!
comme tu dois le savoir, arius qui etait evèque cathloique, lui même comndamnait la trinité, car disait t'il vous avez inventé une chose monstrueuse, et il se retira d'eux!

- kate
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Ecrit le 20 mai04, 05:18
"La Trinité"... "Marie"
Le Coran proclame que "la Trinité de la Bible" est trois dieux : "le Père, Jésus et Marie" ... comme déclaré dans la Sourate 5:116 : "Alors Dieu dira : Jésus fils de Marie, Dieu vous a créé, ne dites jamais à l'humanité :" adorez-moi et ma mère comme des dieux en plus de Dieu "...
... Et c'est "une erreur grossière" du Coran, puisque la Bible n'a jamais dit pas que la Trinité est " Père, Jésus et Marie", mais " Père, Verbe et Saint-Esprit " ... Dieu ne Pourrait pas faire une erreur de lecture aussi énorme!.
- Les savants musulmans voient l'ange Gabriel comme étant le Saint-Esprit.
Le Coran proclame que "la Trinité de la Bible" est trois dieux : "le Père, Jésus et Marie" ... comme déclaré dans la Sourate 5:116 : "Alors Dieu dira : Jésus fils de Marie, Dieu vous a créé, ne dites jamais à l'humanité :" adorez-moi et ma mère comme des dieux en plus de Dieu "...
... Et c'est "une erreur grossière" du Coran, puisque la Bible n'a jamais dit pas que la Trinité est " Père, Jésus et Marie", mais " Père, Verbe et Saint-Esprit " ... Dieu ne Pourrait pas faire une erreur de lecture aussi énorme!.
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Ecrit le 20 mai04, 05:36
Répondant à Eliaquim:
He bien justement, utilisant la raison on ne peut blâmer un croyant de s'adresser à la Mère, aimée de Dieu puisque choisie par lui pour donner le jour à Jésus, pour arriver a Jésus.
Si mes souvenirs sont bons, on ne parle à Marie dans une prière, non pas comme "DIEU MARIE" mais comme intercédant auprès de Jésus et de Dieu.
On ne peut penser que Dieu, qui sait tout et voit tout, puisse croire un instant que les gens se détournent de lui en louant Marie.
Marie n'est pas une "idole" contraire à Dieu, mais bien quelqu'un de très proche, aimée de Dieu et de Jésus, son fils -de Marie-.
On est bien loin d'adorer un veau d'or !
Amicalement
Qu'en est-il ?La Bible encourage cependant les chrétiens à pratiquer leur culte en faisant appel à leur raison. Elle ne nous demande pas de croire aveuglément à de prétendus mystères. Au contraire, l'apôtre Paul enjoint aux chrétiens de pratiquer ' un culte logique, conforme à ce que la raison leur demande '. - Romains 12:1, Kuen.
He bien justement, utilisant la raison on ne peut blâmer un croyant de s'adresser à la Mère, aimée de Dieu puisque choisie par lui pour donner le jour à Jésus, pour arriver a Jésus.
Si mes souvenirs sont bons, on ne parle à Marie dans une prière, non pas comme "DIEU MARIE" mais comme intercédant auprès de Jésus et de Dieu.
On ne peut penser que Dieu, qui sait tout et voit tout, puisse croire un instant que les gens se détournent de lui en louant Marie.
Marie n'est pas une "idole" contraire à Dieu, mais bien quelqu'un de très proche, aimée de Dieu et de Jésus, son fils -de Marie-.
On est bien loin d'adorer un veau d'or !
Amicalement
Ecrit le 20 mai04, 05:39
n'importe koi!kate a écrit :"La Trinité"... "Marie"
Le Coran proclame que "la Trinité de la Bible" est trois dieux : "le Père, Jésus et Marie" ... comme déclaré dans la Sourate 5:116 : "Alors Dieu dira : Jésus fils de Marie, Dieu vous a créé, ne dites jamais à l'humanité :" adorez-moi et ma mère comme des dieux en plus de Dieu "...
... Et c'est "une erreur grossière" du Coran, puisque la Bible n'a jamais dit pas que la Trinité est " Père, Jésus et Marie", mais " Père, Verbe et Saint-Esprit " ... Dieu ne Pourrait pas faire une erreur de lecture aussi énorme!.
- Les savants musulmans voient l'ange Gabriel comme étant le Saint-Esprit.
déjà tu as déformé le verset, mais on le sait, avec toi tu déformes tout!
tiens le vrai verset c'est celui là:
et quand DIEU dira oh jésus a s tu dis a ton peuple que tu etais DIEU toi et ta mère a part moi
donc ici on parle pas de trinité, puisque DIEU dit " a part moi" sinon il aurait dit :
as tu dis a ton peuple que tu etait DIEU toi et ta mère ainsi que moi!
de plus, si DIEU nous dit bien que vous avez prie marie pour une divinité c' parce que vous l'avez appellé mère de DIEU et vous lui vouer un culte, comme les juifs ont voué un culte a la reine des cieux!
Ecrit le 20 mai04, 06:00
eh ouikate a écrit :![]()
![]()
on déforme les paroles de DIEU! pourtant jésus t'a interdit de les déformer, il t'a interdit d'insulté, mais toi tu n'en fais qu'a ta tête,
eh bienb attends, et tu verras quand il reviendra, il te rejettera a cause de tes mensonges, car le diable est le père du mensonge comme le dit jésus, et puisque tu n'arrettes pas de mentir eh bien tu es fils de satan, et satan ira en enfer a tout jamais, ainsi que ceux qui le suivent!
bonne chance

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Ecrit le 20 mai04, 06:48
ah si kate ap artir du moment ou il y a "devotion" c est assimile a de la doration,te mets tu a genoux devant la statue de marie? la prie tu pour obtenir le salut par exemple ,a ces questions la reponse est oui (j ai ete eleve catholique je sais de quoi je parle le culte mariale est un point du dogme) de ce fait vous en faites legal de dieu et le coran en parle dans ce verset
5.116 (Rappelle-leur)le moment où Allah dira': "ô Jésus, fils de Marie, est-ce toi qui as dit aux gens: "Prenez-moi, ainsi que ma mère, pour deux divinités en dehors d'Allah?" Il dira: "Gloire et pureté à Toi! Il ne m'appartient pas de déclarer ce que je n'ai pas le droit de dire! Si je l'avais dit, Tu l'aurais su, certes. Tu sais ce qu'il y a en moi, et je ne sais pas ce qu'il y a en Toi. Tu es, en vérité, le grand connaisseur de tout ce qui est inconnu.(a)
5.117 Je ne leur ai dit que ce que Tu m'avais commandé, (à savoir): "Adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur". Et je fus témoin contre eux aussi longtemps que je fus parmi eux. Puis quand Tu m'as rappelé, c'est Toi qui fus leur observateur attentif. Et Tu es témoin de toute chose.
5.118 Si Tu les châties, ils sont Tes serviteurs. Et si Tu leur pardonnes, c'est Toi le Puissant, le Sage".
le fait est que l on ne peut rendre un culte a tout autre que dieu car l on de rend de culte qu a dieu peut importe les desseins et cela vaut egalement pour une demande d intercession car l on ne peut prier qqun pour qu il intercede aupres de dieu au contraire il faut prier dieu lui meme pour qu il nous pardonne
5.116 (Rappelle-leur)le moment où Allah dira': "ô Jésus, fils de Marie, est-ce toi qui as dit aux gens: "Prenez-moi, ainsi que ma mère, pour deux divinités en dehors d'Allah?" Il dira: "Gloire et pureté à Toi! Il ne m'appartient pas de déclarer ce que je n'ai pas le droit de dire! Si je l'avais dit, Tu l'aurais su, certes. Tu sais ce qu'il y a en moi, et je ne sais pas ce qu'il y a en Toi. Tu es, en vérité, le grand connaisseur de tout ce qui est inconnu.(a)
5.117 Je ne leur ai dit que ce que Tu m'avais commandé, (à savoir): "Adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur". Et je fus témoin contre eux aussi longtemps que je fus parmi eux. Puis quand Tu m'as rappelé, c'est Toi qui fus leur observateur attentif. Et Tu es témoin de toute chose.
5.118 Si Tu les châties, ils sont Tes serviteurs. Et si Tu leur pardonnes, c'est Toi le Puissant, le Sage".
le fait est que l on ne peut rendre un culte a tout autre que dieu car l on de rend de culte qu a dieu peut importe les desseins et cela vaut egalement pour une demande d intercession car l on ne peut prier qqun pour qu il intercede aupres de dieu au contraire il faut prier dieu lui meme pour qu il nous pardonne
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Ecrit le 20 mai04, 07:07
Et nous y voilà on revient toujours à ce que le Coran peut citer qui n'a aucune valeur de vérité pour un catholique comme Kate.
Donc finalement toute sourate ou verset tendant a dire le contraire n'a aucune valeur pour sa Foi.
L'on pourrait vous répondre par des textes de la Bible, mais en cela Nasser est bien plus "spécialiste" que moi, malgré que l'on ne sait toujours pas de façon exacte quel est la partie qui ne doit pas être prise comme argent comptant comme le dit le Coran !

Donc finalement toute sourate ou verset tendant a dire le contraire n'a aucune valeur pour sa Foi.
L'on pourrait vous répondre par des textes de la Bible, mais en cela Nasser est bien plus "spécialiste" que moi, malgré que l'on ne sait toujours pas de façon exacte quel est la partie qui ne doit pas être prise comme argent comptant comme le dit le Coran !

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