Du moment que tu poses une valeur de vérité tu es dans une méta analyse, tu n'es plus au niveau de p => Q .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Attention cependant, je me répète certes, mais en logique classique "non P" n'implique pas nécessairement que "P" est contradictoire ou fausse. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
Si il est vrai que les histoires d'argent mal réglées finissent toujours dans le sang, alors il y a un gros bain de sang qui se prépare
15 août 2019 la descente aux enfers pour la Deustche Bank continue inexorablement avec un cours au plus bas historique en dessous des 6 euros
et cela malgré qu'en Juillet la Deutsche Bank anonce:
1) la création d'une "bad banque"
2)un plan de licenciement de 18.000 salariés sur un total de 91.000
...sauf que là il n'y a pas de plan B
cette fois-ci plus rien ne peut empêcher la Deutsche Bank d'entrainer l'Europe dans le plus grand bain de sang que celle-ci n'a jamais connu de toute son histoire
-qui n'a pas une maison et des traites à payer dessus?
-qui n'a pas un peu d'argent sur son compte?
-qui est celui qui a l'une de ces deux choses et qui est un pacifiste pur et dur au point d'accepter de tout perdre par amour du prochain?
Seul celui qui n'a rien, n'a rien a perdre, c'est celui là qui est la plus douce des brebis car quelle est la banque qui n'entretient pas des relations avec la Banque des banques : la Deutsche Bank?
Il n'était pas connu uniquement sur le billet de 500FF , il était connu pour de tas d'autres choses
que ce soit en géométrie avec sa solution d'une conique propre à cinq points (l'hexagramme mystique de Pascal-ce terme de mystique pour son hexagramme n'est pas de moi mais de son époque- permet de retrouver l'équation cartésienne d'une conique propre à partir de cinq points distincts deux à deux de cette conique)
Ce que je connais de Pascal, ce n'est pas sa conique à trois ou cinq cornes, mais la connerie de son pari ; celle-là, oui, elle s'orne de longues oreilles.
C'est vrai que parfois une ânerie peut occulter tout un tas de productions intelligentes. Ce n'est pas très étonnant, c'est l'ânerie qui a suscité le plus d'intérêts auprès de la populace qui a entendu parlé de Pascal. Son pari est beaucoup plus connu que ses travaux et réflexions incommensurablement plus intéressants.
Le pari de Pascal :
« — Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n'est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu, à l'extrémité de cette distance infinie, où il arrivera croix ou pile. Que gagerez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre; par raison, vous ne pouvez défaire nul des deux. Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien. — Non ; mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier. — Oui, mais il faut parier ; cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. (...). Votre raison n'est pas plus blessée, en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter. »
— Blaise Pascal, Pensées, fragment 397.
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : ↑23 août19, 21:03
C'est vrai que parfois une ânerie peut occulter tout un tas de productions intelligentes. Ce n'est pas très étonnant, c'est l'ânerie qui a suscité le plus d'intérêts auprès de la populace qui a entendu parlé de Pascal.
Minute là, c'est qui la populace qui a entendu parler de Pascal ? Bragon ?
Moi, Pascal, je ne l'ai pas lu une, mais plusieurs fois, et ce champion des probabs se croyait tellement fort qu'il avait cru pouvoir tricher avec Dieu en jouant avec des dés pipés.
J'm'interroge a écrit : ↑23 août19, 21:03
C'est vrai que parfois une ânerie peut occulter tout un tas de productions intelligentes. Ce n'est pas très étonnant, c'est l'ânerie qui a suscité le plus d'intérêts auprès de la populace qui a entendu parlé de Pascal. Son pari est beaucoup plus connu que ses travaux et réflexions incommensurablement plus intéressants.
Monsieur Bragon n'a jamais dit d'âneries dans sa vie
sur le forum il y avait Petitpapatahar qui se déclare comme étant le Christ donc sans péché , mais Monsieur Bragon est lui sans aucune âneries dans toute sa longue vie ...chapeau à lui
mais en même temps Monsieur Bragon se prive de beaucoup de choses dans la vie et tout ça à cause d'une ânerie prononcée par quelqu'un qui nous a tant donné
il ne connait même pas l'hexagramme de Pascal et du coup il ne connait pas son théorème et du coup il ne sait pas comment on trouve l'équation cartésienne d'une conique en connaissant les coordonnées de cinq de ses points distincts deux à deux
Bref Monsieur Bragon est parfait mais en tant que parfait ignorant
Bragon a écrit : ↑23 août19, 23:03
Minute là, c'est qui la populace qui a entendu parler de Pascal ? Bragon ?
Tu t'es senti visé ? Je disais une généralité. Toi t'es un cas.
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
San Sanchez a écrit :Sibira sans fondements on ne peut pas réflechir. Les maths sont construites justement sur des bases qui leur apporte cette solidité. Je dis qu'on devrait faire de même avec nous. Car les maths, la physique etc... Ce n'est pas nous. Je ne dis pas que tout est mauvais et que tout est à jeter, je parle de notre amélioration. Les maths, la physique ce n'est pas nous.
je me demande si ta remarque "mais ce n'est pas nous " a un sens
nous c'est quoi ?
vu que je suis perdu dans cette remarque j'ouvre ce sujet en espérant que tu prennes le temps de bien m'expliquer c'est quoi moi
un petit retour rapide puis je repart dans mon néant ceci dit JMI
je viens juste de voir un truc
Si T est une théorie égalitaire exprimée dans un langage du premier ordre (je restreint mon propos de façon précise sans toutefois me prononcer quand à une généralisation de celui-ci )
et si A et B sont deux objets de cette théorie (par exemple A et B sont des ensembles mais plus généralement A et B sont les objets dont parle cette théorie)
et si l'on veut définir l'égalité de deux objets A et B
où l'on voit ici que se donner la formule (comme axiome de cette théorie)
QQS x,QQS y (QQS z(P(x)<---> P(y))---> x=y)
QQS i.e. le quantificateur universel
où ici P est une relation qui dans cette formule permet de définir sous la condition que P(x) et P(y) ont la même valeur de vérité
alors x=y
ne permet pas de dire que A=B si P(A) et P(B) sont indécidables
donc si l'on veut définir l'égalité de deux objets en se donnant une formule supplémentaire à la précédente
alors il faut obligatoirement définir une théorie une métathéorie exprimée dans un langage du premier ordre qui parle de T
je reviendrais pour te parler de ça mais en attendant est -tu d'accord avec ce que je dis là?