Fides a écrit : 14 janv.25, 04:37
Il s'agit d'un constat général. On constate que les gens vivent dans le déni. Ils cherchent souvent à se cacher la réalité.
 
C'est exactement ce que font les croyants et ce que dénoncent les athées et agnostiques. N'inversons pas les rôles.
Fides a écrit : 14 janv.25, 04:37
Il n'y a pas de laissés-pour-compte. Tous ceux qui prient le Seigneur reçoivent ses bienfaits.
 
Les Mexicains qui se sont pris le toit de leur église sur la tête en pleine messe le 1er octobre 2023 à Ciudad Madero 
pourraient peut-être confirmer tes dires s'ils n'étaient pas morts. Et pas qu'eux. Mais bien sûr pour eux il ne s'agissait 
pas de bienfaits corporels mais spirituels.
Fides a écrit : 14 janv.25, 04:37
Lorsque votre maman vous demande de prendre un remède pour guérir, diriez-vous que c'est du chantage ? Non, évidemment. Le chapelet transforme les cœurs et notre maman du Ciel fait bien de nous le rappeler.
 
Pourquoi un chantage et pas un médicament ? Pour le médicament, disons que plus d'un an avant que ça n'agisse n'est pas une belle et divine performance.
En ce qui concerne le mot chantage, la phrase « Priez pour que la guerre s'arrête », qui laisse entendre que si on ne prie pas elle ne s'arrêtera pas,
indique ceci : En supposant que les prières soient adressées à quelqu'un, ce dont on ne saurait douter, et que ce quelqu'un soit probablement un membre 
de la Sainte Famille, voire son chef suprême, on comprend évidemment ce qu'attend celui-ci puisqu'on sait en quoi consiste une prière : ça consiste, dans 
ce cas particulier, à demander une faveur, l'arrêt de la guerre, en flattant autant qu'on peut le destinataire et, au besoin, en se culpabilisant soi-même 
platement et en pleurnichant maints regrets. Et ce destinataire, comprend-on encore, est alors libre d'agir en conséquence sur le devenir de cette guerre. 
En fonction de quoi ? Il semble bien que la quantité et la qualité des prières soient directement en cause. Fonction, donc, du volume et de la ferveur des 
flagorneries et des gémissements émis. Il faut tout de même que ça soit satisfaisant pour l'ego du haut personnage, on le comprend. Si donc la guerre 
continue, on peut en conclure qu'il aurait fallu faire un peu mieux. Et surtout que les guerres peuvent être entretenues de très haut lieu. Ça, ça n'est pas 
un très brillant constat. 
Bien sûr, un éminent croyant d'ici m'a déjà rétorqué qu'à ce titre le commerçant qui demande des sous en échange de son produit se livre également
à un chantage, ou que le chantage est lié à une exigence d'argent. Ben voyons !! Le coup du médicament est du même registre. Essayez peut-être 
de dire que la prière ne s'adresse pas forcément à quelqu'un du firmament mais qu'elle est une communion, Pourquoi pas ? C'est bel et bien une 
certaine communion qui déclenche les guerres !
Allons !!!
La foi dont se parent les croyants avec éblouissement et vantardise est-elle forcément l'héritière de celle dite mauvaise ?