Le supplice de la crucifixion était généralement précédé de flagellation (ce qui a été le cas pour Jésus, comme le rapportent les évangiles). Beaucoup mouraient lors de la flagellation (fouet avec des lanières de cuir garnies de billes métalliques et d'éclats d'os) qui déchiquetait le corps. Ceux qui ne mourraient pas, subissaient les effets d'une perte de sang importante (choc hypovolémique) : accélération du rythme cardiaque, évanouissement ou collapsus, reins qui ne produisent plus d'urine, soif intense. Jésus devait se trouver dans cet état critique grave avant la crucifixion. Il a ensuite été crucifié, puis a reçu un coup de lance dans le côté, d'où il est sorti du sang et de l'eau. Cela confirme que Jésus était bien mort lorsqu'il a reçu le coup de lance, car pour une mort par asphyxie il est médicalement connu qu'il y a une poche de liquide qui se forme autour des poumons et du coeur. C'est probablement ce liquide que Jean appelle de l'eau.
Le fait que Jésus soit mort est encore confirmé par :
- Le témoignage des évangiles qui parlent du moment où Jésus expira.
- Le témoignage du centurion rapporté dans les évangiles. A cet égard, il faut souligner que les soldats romains ayant l'habitude de ce genre d'exécution, ils savaient faire la différence entre un mort et un mourant. De plus, si un prisonnier réussissait à s'enfuir, les soldats responsables étaient exécutés à sa place : cela était donc un puissant motif pour qu'ils s'assurent de façon certaine de sa mort.
- L'absence de tout document de l'époque qui nierait le fait que Jésus soit mort.
- Le fait qu'il ait été embaumé et mis dans un linceul par Joseph d'Arimathée et Nicodème : s'il n'était pas mort ceux-ci s'en seraient rendu compte.
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Lors de l'arrestation du Seigneur, "tous l'abandonnèrent et prirent la fuite" (Marc 14.50). Après la crucifixion, ils se "barricadaient chez eux" par crainte des juifs (Jn 20.19).
- Quelques jours après, ils sont dans la joie (Lc 24.41, 52, 53). De plus, affrontant la persécution, ces hommes annoncent Christ (Ac 2.14, 5.42), et se réjouissent même d'avoir souffert pour Lui (Ac 5.41)!
Comment expliquer la propagation d'une religion basée sur l'adoration d'un homme ayant subit la mort la plus ignominieuse qui soit ?
c'etait bien difficile à Mahomet d'y croire

c'est plus facile de reprendre les histoires de l'ancien testament, de faire de Jesus (issos en grec qui devint issa en arabe) un messie, mais il est impossible pour un messie de souffrir, et lui mahomet est le dernier messager de Dieu mais c est par la glaive qu'il faut le comprendre